DES SOUCIS D'ORDRE JURIDIQUE
En plus de ces suppressions et changements d'ordre moral, Disney rencontre quelques problèmes d'ordre juridique qui l'empêchent provisoirement de proposer certains films sur son service de streaming.
Il faut donc passer par l'accueil, et se rendre dans "voir toutes les série" ou "voir tous les films", ou bien taper ce que l'on recherche dans la barre. Le catalogue Star contenant des œuvres destinées à un public plus adulte, un contrôle parental renforcé accompagne son arrivée sur Disney+.
Sur le podium, c'est « Blanche-Neige et les sept nains » que l'on retrouve avec plus de dix-huit millions de spectateurs cumulés depuis sa sortie en 1938. Suivis par « Le Livre de la Jungle » et « Les 101 Dalmatiens », un peu plus de quatorze millions chacun.
Sortez des classiques !
1- Le Dragon récalcitrant (1941) 2- Coquin de printemps (1947) 3- Le Crapaud et le maître d'école (1949) 4- Taram et le Chaudron magique (1985)
1. 'Le Roi Lion' (1994) — 16,37%
Une méthodologie dont il ressort que Mickey Mouse et le Woody de Toy Story sont les personnages Disney et Pixar les plus aimés dans le monde. Dans le classement Disney, la Fée Clochette de Peter Pan, Cendrillon, Vaiana et Mulan complètent le top 5 derrière la plus célèbre des souris animées.
Pour autant, Disney+ ne devrait pas avoir trop de mal à s'y faire une place de choix. Son offre est suffisamment alléchante pour séduire les spectateurs en nombre. L'aura de Disney est un facteur clé, comme les dizaines de classiques de l'animation du catalogue, couplées aux productions Star Wars et Marvel.
Du côté du catalogue, Disney+ peut compter sur ses franchises Disney, Pixar, Marvel, Star Wars et sur des contenus de National Geographic. Avatar (grâce au rachat de 21st Century Fox), La Reine des Neiges, l'intégralité des Simpsons, Le Roi Lion et bien d'autres sont ainsi proposés sur la plateforme.
depuis le décodeur Canal+ de dernière génération (4K-UHD). Accédez à l'application Disney+ via la chaîne 16.
La décision de Disney est radicale.
Depuis octobre 2020, la plateforme de streaming affichait un message de prévention avant la diffusion de certains films contenant des scènes jugées problématiques (Peter Pan, Les Aristochats, La Belle et le Clochard, Aladdin... par exemple).
Concernant Iron Man, la plateforme aux grandes oreilles avait probablement négocié un deal temporaire avec Paramount à son lancement, mais l'accord semble être arrivé à son terme. Enfin, Hulk a fait son apparition sur Disney+ Espagne plus tôt cette année, preuve que les droits peuvent se négocier au cas par cas.
La faute à une bisbille entre Sony et Disney autour des droits du personnage — d'autant que Sony a signé un accord avec Netflix pour la distribution de ses films. Article recommandé : Netflix conclut un accord avec Sony pour la distribution de ses futurs films.
1. 375 millions de visiteurs depuis 1992. Avec ses 59 attractions et 7 hôtels, Disneyland Paris est la première destination touristique en Europe.
Dans Peter Pan, les indiens sont appelés les Peaux-Rouges ; tandis que dans Dumbo, les corbeaux seraient des caricatures des Afro-Américains. Afin de ne pas offenser les spectateurs, la plateforme a donc censuré les films pour les plus jeunes mais n'est pas allée jusqu'à les retirer complètement.
C'est ce qu'estime la plateforme Disney +, qui a choisi de supprimer certains dessins animés cultes de son catalogue pour enfants. Ces dessins animés sont jugés offensants, racistes et stéréotypés.
En ce qui concerne le troisième dessin animé Disney le moins aimé, il s'agit de La ferme se rebelle !
Le classement des dessins animés préférés des Français
Selon l'étude de la plateforme OnBuy, le dessin animé Aladdin, sorti en 1992, arrive sur la première marche du podium en France.
On s'effondre avec Dumbo larmoyant, et le fim reste à ce jour pour nous le Disney le plus triste, du début à la fin, que ce soit version animé ou version Tim Burton en live action.
Initialement pensé comme une fresque épique façon Le Roi Lion en Amérique du Sud, Kuzco, l'empereur mégalo a connu de nombreuses modifications lors de sa production et s'est finalement transformé (non pas en lama, comme son protagoniste) mais en véritable cartoon à huler de rire dans les jungles péruviennes.