Selon H. Mintzberg, toute organisation est constituée de 5 catégories d'acteurs : le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, le centre opérationnel, la technostructure et les fonctionnels de soutien.
La coordination se fait par échange, négociation et compromis. Elle réalise la coordination du travail par le biais d'une seule personne qui donne les ordres et les instructions à plusieurs autres qui travaillent en interrelations. Exemple : un patron explique à ses employés ce qu'ils doivent faire.
Mintzberg dénombre six composantes de base de la structure organisationnelle : le centre opérationnel, le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, la technostructure, les fonctionnels de support logistique et l'idéologie (Fig. 2).
Ces trois principes peuvent être associés à trois mécanismes de coordination des activités économiques : les « marchés », les « hiérarchies » et les « réseaux ».
Mintzberg considère l'organisation comme un système. Il détermine des profils d'organisation en fonction de la combinaison des différents éléments qui le constituent.
On peut distinguer cinq grands types d'organisations différentes : l'organisation personnalisée, l'organisation bureaucratique, l'organisation pyramidale, l'organisation duale et l'organisation cellulaire.
Selon Henry Mintzberg une stratégie peut être délibérée, lorsqu'elle est construite et planifiée ; ou émergente, lorsqu'elle est consécutive à des événements non prévus auxquels l'entreprise doit réagir. Ces deux stratégies coexistent le plus souvent dans l'entreprise et aboutissent à la stratégie réalisée.
Henry Mintzberg définit les mécanismes de coordination comme étant « les moyens fondamentaux par lesquels les organisations peuvent coordonner leur travail ». Une entreprise n'emploie pas qu'un seul mécanisme de coordination.
Décision et modes de coordination: supervision, standardisation, ajustement mutuel – H.
Mintzberg distingue en effet trois composantes essentielles des organisations, étroitement coordonnées entre elles : la coordination des opérateurs et la division du travail ; les buts organisationnels ; La distribution du pouvoir.
Après avoir suivi le quotidien de plusieurs gestionnaires, Henry Mintzberg a identifié que les dirigeants effectuaient essentiellement trois rôles : un rôle interpersonnel, un rôle informationnel et un rôle décisionnel.
Selon H. Mintzberg, les différents composants et paramètres d'une organisation ont tendance à s'aligner en des ensembles cohérents que l'on appelle des configurations organisationnelles.
La démarche stratégique est essentielle pour garantir à tout entrepreneur la réussite du lancement d'un nouveau produit ou service. Cette démarche se décompose en cinq étapes principales, Segmentation, Attractivité, Compétitivité, Ciblage et Positionnement qui sont présentées en détail au sein de cet article.
Porter a présenté les trois choix stratégiques au niveau des DAS : la domination par les coûts, la différenciation et la focalisation.
Exemples : aristocratie, démocratie, république. Les différents types d'organisations sont eux aussi supportés par des choix de hiérarchie : pyramidale, matricielle, polyarchie, anarchie, etc.
Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
La structure mécaniste
Dans une structure mécaniste, le travail du centre opérationnel est effectué sur la base de procédures élaborées par des départements spécialisés, de type méthodes dans l'industrie, ou informatique et organisation dans les entreprises de services.
Mintzberg (1990) identifie quant à lui des facteurs qui influencent le plus le système de gestion (l'âge, la taille, la technologie, l'environnement, la culture, les relations de pouvoir). En plus de ces facteurs, P. Chapellier (1993) ajoute la nature de l'activité de l'entreprise.
En conclusion, les dix rôles des managers définis par Mintzberg sont essentiels pour un management efficace. Ces rôles aident les managers à comprendre leurs responsabilités dans différentes situations et contextes.
Les conjonctions de coordination sont celles qui relient des mots, des groupes de mots, des propositions ou des phrases : mais, ou, et, donc, or, ni, car. Elles peuvent marquer l'union (et), l'opposition (mais, pourtant), l'alternative ou la négation (ni, ou), la conséquence (donc), la conclusion (ainsi, enfin).