La contraction musculaire nécessite des ions calcium et l'utilisation d'ATP comme source d'énergie. Dans certaines myopathies, la dégénérescence des cellules musculaires est due à un défaut dans les interactions entre les protéines membranaires des cellules et la matrice extra-cellulaire.
Le muscle squelettique est un assemblage de cellules musculaires qui regroupent des myofibrilles. Les myofibrilles sont constituées de protéines dont les glissements déterminent le raccourcissement du muscle, donc la contraction. La contraction musculaire nécessite du calcium et de l'énergie.
Les deux filaments caractéristiques du sarcomère sont l'actine et la myosine.
Pour bien fonctionner, les muscles ont besoin de deux carburants : l'oxygène, apporté par la respiration, et l'ATP (Adénosine TriPhosphate), produite par la transformation des glucides de l'alimentation (sucres). Ainsi, pour un effort sportif, mieux vaut privilégier les glucides (pâtes, pommes de terre, riz…).
La contraction du muscle strié squelettique est liée à l'excitation préalable des fibres musculaires par les motoneurones a. Cette excitation conduit in fine au glissement des filaments fins et épais les uns contre les autres.
Le muscle consomme davantage de dioxygène et de glucose pendant un effort, et il rejette plus de dioxyde de carbone. Ces échanges sont indispensables pour que les cellules réalisent la respiration cellulaire et ainsi produisent de l'énergie.
Les mouvements volontaires du corps sont commandés par le cerveau.
L'ATP est un nucléotide chargé en énergie qui est capable de libérer cette énergie selon les besoins du muscle. Toutes les fibres musculaires contiennent une petite réserve d'ATP qui va permettre au muscle de se contracter très rapidement, notamment en cas d'effort rapide.
Pour fonctionner, les cellules musculaires ont besoin d'énergie sous forme d'ATP. Cette molécule peut être générée de différentes façons. La respiration cellulaire, un métabolisme réalisé en aérobie qui permet la synthèse de 36 36 36 ATP à partir d' 1 1 1 molécule de glucose et de 6 6 6 molécules de dioxygène.
La contraction musculaire nécessite des ions calcium et l'utilisation d'ATP comme source d'énergie. Dans certaines myopathies, la dégénérescence des cellules musculaires est due à un défaut dans les interactions entre les protéines membranaires des cellules et la matrice extra-cellulaire.
Les muscles ont besoin de davantage de sang pour fonctionner lors d'une activité physique intense. Le muscle (comme n'importe quel organe) doit utiliser du dioxygène (O2) et des nutriments (comme le glucose) pour fonctionner. Ce fonctionnement crée un déchet: le dioxyde de carbone (CO2).
Cette fatigue musculaire est le signe que nous avons fortement sollicité nos muscles et que c'est le manque d'oxygène dans les muscles qui a entraîné cette sensation d'essoufflement musculaire. Dans certains cas, cette très grande fatigue musculaire peut-être nommée asthénie musculaire (épuisement du muscle).
Les cellules musculaires (myofibres) contiennent des protéines contractiles telles que des filaments d'actine et de myosine, collectivement appelés myofilaments. Dans les muscles squelettiques, ces myofilaments sont disposés en groupes appelés sarcomères qui donnent aux myofibres un aspect strié.
Les muscles
Tous les mouvements du corps humains sont dus à des contractions musculaires. Quand un muscle se contracte, il se raccourcit et grossit et tire sur les os comme un levier, les rapprochant l'un de l'autre. Pendant un même temps, un muscle antagoniste se relâche pour permettre le mouvement.
L'ATP (adénosine triphosphate) est la principale source d'énergie pour la plupart des fonctions cellulaires. Elle stocke et libère l'énergie nécessaire aux réactions chimiques, au transport actif à travers les membranes et à la contraction musculaire.
La molécule d'ATP
L'ATP n'est pas stockée dans la cellule mais est constamment régénérée par le métabolisme. Dans la cellule musculaire, il existe deux grandes voies métaboliques d'utilisation du glucose pour produire de l'ATP : la respiration cellulaire et la fermentation lactique.
L'ATP en tant que tel ne peut être stocké dans les cellules, de sorte que l'énergie métabolique est stocké par exemple sous forme de lipides dans le tissu adipeux ou de glucides tels que le glycogène chez les animaux ou d'amidon chez les plantes.
Un message nerveux moteur emprunte la racine ventrale de la moelle épinière, puis circule dans un neurone moteur (ou motoneurone) jusqu'au muscle.
Il existe 4 types de contractions musculaires différentes : Isométriques, Concentrique, Excentrique et Pliométrique.
La contracture musculaire
Elles sont souvent associées à un surentraînement sportif ou un surmenage du muscle concerné. Ce type de douleur musculaire atteint souvent les jambes comme les mollets, les cuisses ou des zones plus hautes comme les fesses ou le cou (torticolis).
Une contraction volontaire sur un muscle trop fatigué peut entraîner une blessure, notamment lorsqu'une forte charge y est ajoutée et que vous n'avez pas encore pleinement conscience du muscle qui se contracte à l'effort.
L'oxygène est un catalyseur d'énergie : il facilite l'utilisation des sucres et des graisses par les muscles. Au début d'un effort, les besoins en oxygène montent en flèche : votre respiration s'accélère et votre cœur bat plus vite. Résultat: les muscles s'oxygènent mieux et travaillent plus efficacement.
Les muscles sont fixés aux os par des tendons. Le système musculaire forme, avec le squelette et une partie du système nerveux, l'appareil locomoteur.
Le muscle stapédien dérive du deuxième arc pharyngé. Le muscle stapédien est le plus petit muscle squelettique de l'être humain.