Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent. Il est employé pour les évènements considérés comme principaux, qui constituent la trame de l'histoire et y apparaissent dans l'ordre selon lequel ils se sont réellement produits.
De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
1 – c'est une action passée présentée comme terminée = aspect accompli, achevé Il marcha deux heures et il arriva … 2 – valeur narrative = c'est le temps habituel du récit écrit au passé → les actions ou suites d'actions sont au passé simple. 3 – valeur ponctuelle = action brève, ou soudaine, ou unique.
Temps de la narration, l'imparfait permet de décrire le cadre général de l'histoire, par exemple le décor, les habitudes de personnages, les situations préexistantes au récit. L'imparfait ne fait pas progresser l'histoire, puisque ce n'est pas le temps qui permet de décrire des incidents ou des événements soudains.
Le passé simple est un temps littéraire, utilisé presque exclusivement à l'écrit. Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
Le compte rendu est rédigé au présent de l'indicatif et sous la forme impersonnelle (l'emploi du je ou du nous est réservé au verbatim et inscrit entre guillemets). Les propos de registre familier ou de style oral doivent être repris dans un style soutenu et littéraire.
Si le narrateur se place après ce qu'il raconte, il s'agit d'un récit passé, on emploie donc plus souvent le passé simple / imparfait. Si le narrateur raconte des événements qu'il est actuellement en train de vivre, il s'agit d'un récit généralement au présent.
Gardez à l'esprit que l'imparfait est utilisé dans un récit pour y décrire le cadre général et des actions qui ne font pas progresser l'histoire. La durée est souvent complètement indéterminée. Au contraire, le passé simple est utilisé pour raconter l'histoire et les actions uniques qui font progresser le récit.
Le temps dominant dans la plupart des textes explicatifs est le présent de l'indicatif, appelé présent de vérité générale.
L'épanadiplose est également une figure de narration utilisée dans de nombreux genres littéraires ; elle est alors nommée « épanadiplose narrative ». Il s'agit de la reprise d'une scène initiale ou d'un motif initial (dans l'incipit) à la fin (ou clausule) de l'intrigue.
Une pause permet de faire le portrait d'un personnage, de décrire un lieu, de commenter l'action. Elle peut créer du suspense, en retardant la suite de l'action. Une ellipse permet de créer du suspense en passant sous silence des faits importants.
Lorsque le temps du récit est strictement égal au temps de l'histoire, il s'agit alors d'un scène. La scène présente les événements comme s'ils se déroulaient en temps réel. Tout se passe comme si le lecteur était devant une scène de théâtre, puisque ce qui est raconté correspond temporellement à ce qu'il se passe.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
Généralités sur le passé simple. Le passé simple est un temps du passé du mode indicatif, tout comme l'imparfait. Il sert à présenter une action ponctuelle, des actions successives ou encore une situation dont on perçoit les limites temporelles comme étant déterminées.
Dans un récit de style courant, on emploie le passé composé pour rapporter les actions principales : ont fait, sont tombés. L'imparfait sert, lui, à décrire les circonstances : recherchaient, était. Conjugue les verbes entre parenthèses au passé composé ou au passé simple, selon le sens.
Il faut utiliser l'auxiliaire être ou avoir conjugué au présent et le faire suivre du participe passé du verbe conjugué.
Assez simplement, le temps qu'il faut utiliser c'est :
c'est -à -dire la partie théorique et empirique du mémoire. Le passé composé peut être utilisé pour toute narration ou pour rapporter des propos, notamment en ce qui concerne la partie empirique pour vos enquêtes.
L'imparfait est utilisé pour une action passée, qui a duré et qui est terminée. Le passé simple est utilisé comme temps de narration pour une action ponctuelle qui s'est déroulée dans le passé. IMPARFAIT : Les terminaisons sont toujours les suivantes pour les trois groupes : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient.
Le passé simple est employé pour désigner une action généralement courte, terminée dans le passé. Sur une échelle de temps, le passé composé, qui exprime lui aussi une action brève, se situe plus près du présent que le passé simple, plus lointain.