Il est « Brundtland » parce qu'on y réalise aussi des actions touchant, entre autres, la démocratie, le partage, la coopération, l'équité, la solidarité, le respect, la paix et les droits humains, autant de préoccupations majeures apparaissant dans le Rapport Brundtland ».
Il repose sur quatre principes fondateurs : la solidarité, la précaution, la responsabilité et la participation.
Elles répondent aux objectifs généraux suivants : éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes et dans tous les pays, protéger la planète et garantir la prospérité pour tous (voir : trois piliers du développement durable).
lutte contre le changement climatique. préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources. cohésion sociale et solidarité entre les territoires et les générations. épanouissement de tous les êtres humains.
17 Objectifs de développement durable (ODD) ont été fixés. Ils couvrent l'intégralité des enjeux de développement dans tous les pays tels que le climat, la biodiversité, l'énergie, l'eau, la pauvreté, l'égalité des genres, la prospérité économique ou encore la paix, l'agriculture, l'éducation, etc.
Il sert à préserver les ressources pour garantir l'avenir de l'Humanité : réduire l'empreinte laissée par l'homme sur l'environnement et lutter contre le réchauffement de la terre et le changement climatique.
Définition. Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
L'histoire du développement durable. C'est en 1987 que l'expression « développement durable » apparaît pour la première fois, dans le rapport Brundtland rédigé par la Commission mondiale pour l'environnement et le développement de l'ONU – Organisation mondiale des nations unies –, intitulé Notre avenir à tous.
Les hommes, l'innovation, l'international et le financement : voici les quatre piliers du développement d'entreprise.
Toutefois, il faut attendre 1992 pour que le Sommet de la Terre qui se tient alors à Rio (sous l'égide des Nations Unies) officialise cette notion et celle de ses trois piliers : économique, écologique et social.
En septembre 2015, les 193 États membres de l'ONU ont adopté le programme de développement durable à l'horizon 2030, intitulé « Agenda 2030 ». C'est un plan d'action pour l'humanité, la planète et la prospérité.
L'agenda 2030 est un programme universel pour le développement durable. Il porte l'ambition de transformer notre monde en éradiquant la pauvreté et les inégalités en assurant sa transition écologique et solidaire à l'horizon 2030.
Citoyens, entreprises, collectivités territoriales, gouvernements, institutions, associations, scientifiques : pour réagir et agir face aux menaces qui pèsent sur les hommes et la planète, toutes les parties prenantes doivent se mobiliser.
Contrairement au développement économique, le développement durable est un développement qui prend en compte trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Les trois piliers du développement durable qui sont traditionnellement utilisés pour le définir sont donc : l'économie, le social et l'environnement.
Optimiser la consommation de matières ou d'énergies et réduire les pertes en modifiant les procédés, les machines ou les façons de faire. Favoriser les matières réutilisables, recyclables ou biodégradables dans la fabrication. Éliminer ou réduire les produits et les émissions toxiques dans la fabrication du produit.
acidification de l'air ; formation d'ozone troposphérique ; appauvrissement de la couche d'ozone ; particules et effets respiratoires des substances inorganiques.
Le premier pilier du développement durable est social.
Globalement, il s'agit de lutter contre les inégalités sociales et, plus globalement, des conséquences sociales du développement des sociétés humaines. Cela passe par un mode de développement qui ne se fait pas aux dépens des autres, mais en collaboration avec eux.
Les trois enjeux du développement durable : économie, environnement, société Traditionnellement, les enjeux du développement durable sont répartis en trois catégories, conformément à la définition du développement durable, élaborée en 1987 dans le Rapport Bruntland. Il y a l'économie, l'environnement, et la société.
Quelques années plus tard, elle se répandra dans la foulée de la publication, en 1987, du rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement, Notre avenir à tous (aussi appelé rapport Brundtland, du nom de la présidente de la commission, Mme Gro Harlem Brundtland).
Dans le domaine de l'environnement, le développement durable réduit les émissions de gaz à effet de serre ainsi que les matières nuisibles pour la couche d'ozone. Les activités associées au développement durable au sein de l'entreprise permettent de gérer efficacement l'énergie utilisée et protéger la biodiversité…
Donc le développement durable est limité par le changement du mode de vie actuel, caractéristique du système de production dominant. Sans modification du mode de vie et des valeurs actuelles, l'adaptation des gens et les capacités de charges des écosystèmes connaîtront des difficultés.
Le projet de développement durable vise à développer sur un territoire les activités économiques et sociales innovantes et créatives, préservant l'environnement. Il cible les actions contribuant au mieux et de façon interactive à plusieurs enjeux. Il promeut les technologies et opportunités favorables à ses objectifs.
Cela dit, le développement durable est avantageux pour la simple raison qu'il permet d'augmenter les chiffres d'affaires. Pour que le développement durable génère des avantages tangibles, il faut axer les efforts sur l'efficacité environnementale et le développement de la créativité des employés.