L'accident le plus fréquent est l'accident de désaturation (ADD) (53 %), suivi par le barotraumatisme grave (15 %) et par l'accident cardiovasculaire d'immersion ou œdème pulmonaire d'immersion (OPI) (5 %).
Les accidents de décompression sont principalement connus pour être des accidents de plongée. Ils surviennent lorsque l'azote se dissout lors de la plongée dans les tissus de l'organisme lorsque la pression environnante est élevée, forme des bulles de gaz lorsque la pression baisse.
La plongée sous-marine est une activité de loisir relativement sans danger pour la personne en bonne santé convenablement formée. Les cours sur la sécurité en plongée sous-marine proposés par des organismes nationaux de plongeurs sont largement disponibles.
C'est la pression à laquelle est soumis le corps lors de la plongée qui va causer l'accident lors de la remontée à la surface. Si celle-ci est trop rapide, « l'azote se dilate dans le sang » ce qui créer une bulle qui peut se retrouver bloquée dans un vaisseau sanguin.
Vous n'avez pas le niveau pour le site ou le type de plongée prévu. Vous avez une condition médicale (cardiaque, épileptique, enceinte…) ou psychologique (schizophrénie, paranoïaque, claustrophobie ou autres) qui ne permet pas de plonger. Il n'y a pas d'équipement de premier secours sur le bateau ou au club de plongée.
La décompression
Durant la remontée et pendant les heures qui suivent l'immersion, votre corps va devoir consommer de l'énergie pour évacuer ce surplus d'azote afin de retrouver son état de fonctionnement normal. Ce travail supplémentaire explique en partie pourquoi vous êtes fatigué après la plongée.
Pour prévenir les accidents de décompression, respectez la vitesse de remontée (un mètre toutes les quatre secondes, soit la vitesse de remontée des petites bulles) sans retenir votre respiration et en observant éventuellement des paliers de décompression qui permettent à l'organisme de se débarrasser de l'azote ...
L'accident de décompression est un trouble au cours duquel l'azote, qui s'est dissout dans le sang et les tissus lorsque la pression était élevée, forme des bulles gazeuses lorsque la pression diminue. Les symptômes peuvent comprendre fatigue et douleurs dans les muscles et les articulations.
Définitions de « plongeur »
Les causes humaines les plus fréquentes : l'alcoolémie et la vitesse sont présentes respectivement dans 31% et 25% des accidents mortels, la fatigue ou la somnolence sont en cause dans près de 8% des accidents mortels. La distraction est aussi un facteur humain d'accident de la route.
L'accident de décompression pulmonaire, aussi appelé "Choke" (de l'anglais to choke : suffoquer) survient en général lorsque la remontée a été trop rapide (remontée d'urgence, exercice mal contrôlé).
La maladie des caissons (ou mal de décompression) résulte d'une exposition rapide de l'organisme à une diminution significative de la pression atmosphérique.
Les deux causes principales sont l'accident cardiovasculaire d'immersion et la noyade secondaire à un problème technique et/ou médical.
Collision aérienne de Tenerife
Il s'agit du pire accident de l'histoire de l'aviation : le 27 mars 1977, deux Boeing 747 entrent en collision à l'aéroport de Los Rodeos sur l'île de Tenerife aux Canaries, tuant 583 personnes.
En cas de consommation d'alcool, il y a un risque d'accident même lorsque le taux d'alcool dans le sang du conducteur est bas, et ce risque augmente sensiblement lorsque le taux est ≥ 0,04 g/dl. En cas de conduite sous l'emprise de stupéfiants, le risque d'accident augmente différemment selon la drogue utilisée.
La narcose, aussi appelée « l'ivresse des profondeurs », est un phénomène naturel, du à un excès d'azote qui, par conséquent, agit sur le système nerveux et provoque des troubles comportementaux.
Si vous êtes le premier arrivé, la première chose à faire en cas d'accident de la route : vous arrêter. Ne pilez pas. Cela risquerait de créer un suraccident, si vous êtes suivi. Arrêtez-vous sur le bas-côté de la route à 150 mètres de l'accident pour faciliter l'accès aux secours et allumez les feux de détresse.
C'est à ce moment-là que l'avion après une plongée comporte des risques. En effet, les cabines des avions sont pressurisées une fois en altitude, cela peut entraîner une augmentation du volume d'azote encore présent dans votre organisme.
9- Pas de sport violent après la plongée
Toujours à cause de la saturation en azote des tissus, il est recommandé de ne pas faire d'apnée ni de sport après une plongée. Un effort violent favorise en effet les accidents de décompression. Ce serait quand même dommage de se blesser après avoir plongé.
Combattre les risques à la source : mettre en place des protections appropriées après évaluation (comme un garde-corps). Donner la priorité aux mesures de protection collective, en privilégiant les installations permanentes ou en utilisant des plates-formes élévatrices de personnel, des échafaudages…
La bouteille est donc très lourde, et elle pourrait déséquilibrer lors d'un saut en avant, si la hauteur est insuffisante. En plongeant le dos en avant, c'est cette dernière qui touche en premier l'eau. Cela garantit une entrée bien plus en douceur ! C'est donc pourquoi les plongeurs plongent en arrière.
L'importance de la fluidité de la respiration en plongée
Ne jamais bloquer. C'est le blocage de l'expiration qui la cause majeure de surpression pulmonaire, qui peut être mortelle. Alors entrainez-vous en piscine. Forcez l'expiration.
De même, à 20 m il pourra rester 1800/60 = 30 min, et à 30m : 1800/80 = 22 min et 30 s Page 8 On peut noter : qu'en surface (pression = 1 bar), lors d'un effort modéré, la consommation d'air d'un plongeur est d'environ 15 à 20 litres par minute.