Parmi les arbres persistants pouvant cacher un vis-à-vis nous trouvons: Les Pins (parasol, d'Alep, maritime, noir...) Les Cèdres (du Liban, de l'Atlas, pleureur...) Les Magnolia (la variété grandiflora est persistante mais ce n'est pas le cas de toutes les variétés de Magnolias)
Il y a beaucoup de choix : Liquidambar, Liriodendron, Fagus, Fraxinus, Platanus, Salix, Tilia platyphyllos, Pallida, Quercus palustris, rubra, Betula et des conifères : Larix, Taxodium, Metasequoia.
1. Noisetier. Le noisetier (Corylus avellana), caduc, parfaitement rustique, reste l'indispensable des haies pour son développement rapide, son adaptation à tous types de sol et d'exposition.
Optez pour le laurier-tin, le troène, l'osmanthe, l'if et le houx pour les persistants ; la symphorine, le forsythia, le philadelphus, ou le wegelia pour les caducs. Pensez aussi aux arbustes à feuillage marcescent qui garderont un feuillage coloré tout l'hiver : charme, hêtre...
Arbustes persistants à croissance rapide
Les conifères ont également leurs « champions » de vitesse avec, en tête du palmarès, le cyprès de Leyland et le thuya du Canada (Thuja occidentalis) 'Brabant'. Ce ne sont pas des arbustes mais ils sont très sollicités pour réaliser rapidement des haies hautes et occultantes.
Les principaux arbres à ne pas planter près des maisons
La raison est simple : ils peuvent gêner les voisins en se développant de façon excessive et en obstruant les fenêtres par exemple. Ainsi, les variétés d'arbres à éviter près des maison sont : l'eucalyptus, le chêne, l'orme, le prunus ou encore l'acacia !
Mélangez 50% du sol de l'endroit et 50% de bon terreau et remplissez le trou. En tant que jardinier, vous devez vous assurer d'arroser l'arbre tous les jours au cours de la première semaine de plantation. Ensuite, la semaine suivante, arrosez-le tous les deux jours ou selon les besoins de votre arbre.
Le mélèze est un arbre qui vit longtemps et qui peut attendre jusqu'à 40 m de haut. Il pousse rapidement lors de sa jeunesse (environ 20 m en 20 ans), puis se stabilise. S'adaptant à tout type de climat, le mélèze est un conifère qui se plante entre mars et avril, lorsque la terre n'est pas trop humide.
Cotonéaster, sorbier, groseilliers, houx, genévrier... Les variétés sont nombreuses pour faire le bonheur de toute cette faune.
Dans le cadre d'un POS (Plan d'occupation des sols) ou d'un PLU (Plan local d'urbanisme), la hauteur du brise-vue est prise en compte. Elle est fixée à : 3,20 mètres dans une commune de plus de 50 000 habitants. Dans les autres localités, la hauteur est limitée à 2,60 mètres.
La pergola, le store ou le voile d'ombrage permettent de cacher un vis-à-vis en hauteur. Une haie d'arbustes persistants ou fleuris offre un cadre bucolique agréable en plus d'une bonne protection visuelle. C'est souvent la meilleure solution pour se cacher des voisins en lotissement.
Arrosez suffisamment
Un arbre fraichement mis en terre doit être arrosé abondamment et fréquemment. Durant les deux premières semaines suivant la plantation, il sera important de garder le sol bien humide. Si la pluie se fait rare, arrosez au moins deux fois par semaine, de manière à conserver la terre mouillée.
La plupart des arbres vivent au moins 100 ans. Bien entendu, l'espérance de vie d'un végétal a ses limites et votre pépiniériste ne peut vous offrir une garantie !
Le chêne des marais, un chêne à croissance rapide !
Quercus lyrata ou chêne des marais fait partie de la famille des Fagacées. Le chêne des marais a une croissance rapide, environ deux mètres par an, pour atteindre une taille adulte de 15 à 20 mètres de hauteur pour 10 à 15 mètres de largeur.
Lorsque la hauteur de la plantation est inférieure ou égale à 2 mètres, la distance minimum à respecter en limite de propriété voisine est de 0,5 mètre. Lorsque la hauteur de la plantation est supérieure à 2 mètres, la distance minimum à respecter en limite de propriété voisine est de 2 mètres.
Il est impératif de ne jamais s'abriter sous un arbre, surtout si cet arbre est isolé ou ne fait partie que d'un petit groupe d'arbres. Aujourd'hui, il est démontré que les risques de foudroiement d'un arbre isolé en espace ouvert est environ 50 fois supérieur à celui d'un homme debout.