Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Les principaux risques connus et identifiés des THM sont le cancer du sein (sur-risque qui augmente avec la durée du traitement), le cancer de l'endomètre (l'augmentation du risque est liée au traitement estrogénique, c'est pourquoi un progestatif y est toujours associé chez les femmes non hystérectomisées), le cancer ...
Le traitement hormonal substitutif (ou THS) permet d'améliorer la qualité de vie en plus d'apporter des avantages préventifs au niveau osseux, cardio-vasculaire… À la ménopause, les taux d'hormones féminines dans le sang diminuent fortement. Il peut en résulter une série de symptômes désagréables.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.
Il doit être administré pendant au moins 12 jours par cycle et être interrompu au moins les 5 derniers jours du cycle (ce qui permet une baisse du risque relatif de cancer du sein). Chez les femmes ayant comme antécédent une hystérectomie, le traitement progestatif est inutile.
L'utilisation d'hormones par la voie cutanée a l'avantage de minimiser le risque cardiovasculaire. Cette voie d'administration est donc considérée comme étant plus sécuritaire chez les personnes présentant un risque de maladies cardiovasculaires.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Le traitement hormonal de la ménopause n'est indiqué qu'en cas de symptômes forts et très gênants. Il peut venir à bout des bouffées de chaleur et réduire la fatigue associée. C'est également le moment de revoir son hygiène de vie.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
Les hormones contrôlent la libido, la faim, la fatigue, notre humeur et bien plus encore.
Un traitement hormonal, à base d'estrogènes et/ou de progestatif, peut s'avérer bénéfique pour certaines femmes qui ont des symptômes modérés à intenses. C'est souvent un choix de la patiente, orienté par le médecin, et le traitement doit s'amorcer dans les 10 années qui suivent la ménopause.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
Dans l'organisme, un taux élevé de certaines hormones favorise la perte de poids et stimule le métabolisme tout entier. De ce fait, chercher à stimuler la synthèse de ces hormones peut constituer une excellente stratégie pour réussir à perdre du poids plus facilement.
Ainsi, la Sauge, le Trèfle rouge, le Houblon, les isoflavones de soja, le Gattilier, l'Actée à grappes noires… Sont des alternatives naturelles au Traitement Hormonal Substitutif.
Un traitement hormonal substitutif de la ménopause (THM) peut être proposé par le médecin traitant ou le gynécologue.
La ménopause est la période de la vie d'une femme où les règles ( menstruations ) s'arrêtent définitivement. Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans et en général aux alentours de 50 ans.
Les œstrogènes apparaissent comme un facteur clé dans la survenue des migraines en raison de la forte prévalence des migraines chez les femmes réglées et l'association de certains types de migraines avec les changements hormonaux relatifs à cette période.
Par les symboles qui y sont attachés, la ménopause représente une période de crise pour de nombreuses femmes. Mais l'arrêt de la sécrétion des hormones sexuelles (estrogènes et progestérone) peut exercer également un effet direct sur le moral.
Plus précisément, la diminution de la fonction des ovaires qui se produit à la ménopause cause une diminution de la dépense énergétique associée au métabolisme de base, et ce sans changement à la dépense énergétique par l'activité physique ou à autre (1).
Pour simplifier au maximum, la leptine est l'hormone qui dit à ton corps quand il faut arrêter de manger. Si tu as un faible niveau de leptine cela peut souvent entraîner des fringales dans la journée et donc ton corps aura tendance à stocker davantage.
« La ghréline est l'hormone de la faim qui va inciter une personne à manger. La leptine est une hormone qui empêche la faim dans votre mode de vie global ». Elle ajoute qu'il est important de prêter attention aux signaux de faim et de satiété en mangeant, « sinon, nous risquons d'ignorer les signaux de ces hormones.
Ces hormones jouent un rôle différent sur l'organisme et notamment sur les cheveux. Les hormones femelles ou œstrogènes participent à la croissance du cheveu en ralentissant sa pousse et en prolongeant la phase anagène. A l'inverse, les hormones mâles ou androgènes, eux, ont pour action d'accélérer le cycle pilaire.