RSE comme Redonner du Sens à l'Entreprise, à l'Économie, à l'Engagement, à l'Éthique des affaires, croire dans les vertus d'une économie responsable, durable et innovante constituent les fondements des Trophées Défis RSE.
Les enjeux sociaux
Les actions mises en place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de travail serein. La RSE intègre également des valeurs en matière d'égalité, de non-discrimination et de juste rémunération au sein de l'entreprise.
Absence de normes et de régulations
Manque de clarté : les entreprises peuvent avoir du mal à savoir quelle est la bonne approche à adopter en l'absence de normes claires. Cela peut les empêcher de mettre en place des pratiques RSE solides et efficaces.
La contribution au développement local ; Les relations et conditions de travail ; Les bonnes pratiques des affaires ; La protection des consommateurs.
La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) regroupe l'ensemble des pratiques mises en place par les entreprises dans le but de respecter les principes du développement durable (social, environnemental et économique).
En d'autres termes, la RSE c'est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable.
Autour de ses trois grandes dimensions économique, sociétale et environnementale, et à travers les sept piliers sur lesquels se structure son standard ISO 26000, la RSE poursuit un objectif éthique : elle vise à responsabiliser les entreprises vis-à-vis de l'impact environnemental et humain de leurs activités.
La RSE est donc un vecteur de marque employeur. Elle favorise la fierté d'appartenance. La démarche contribue également à l'amélioration des conditions de travail. Intégrer les principes de Responsabilité Sociétale au centre de la stratégie et des pratiques de l'entreprise est donc un gage de pérennité.
Les principaux risques encourus par une entreprise qui se lance dans la mise en place d'une démarche RSE peuvent être : un risque juridique, puisque certains engagements peuvent mettre votre entreprise ou un salarié à mal vis-à-vis de la loi, des autorités administratives, du droit du travail ou du droit des affaires.
L'absence de définition collective claire de la « responsabilité » de l'entreprise. Voilà le fond du problème, la raison pour laquelle la RSE ne fonctionne pas. C'est que nous n'avons jamais défini collectivement ce qu'était la « responsabilité » de l'entreprise.
L'exercice permettant d'identifier vos enjeux RSE consiste à conduire une analyse de matérialité. Autrement dit, il s'agit de faire ressortir les enjeux « matériels » (pertinents) pour l'entreprise. Dans un second temps, ces enjeux sont croisés avec les attentes des parties prenantes internes et externes.
Cette loi PACTE rend obligatoire pour toutes les entreprises la prise en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de son activité » (Article 1833 du Code Civil).
Le Responsable RSE (RRSE) connaît une autre appellation, à savoir directeur du développement durable. Il est chargé de piloter les actions engagées par l'entreprise, mesurer leurs effets et valoriser l'image de l'entreprise.
Deux types de risques sont concernés : d'une part, ceux liés aux activités de l'entreprise donneuse d'ordre, d'autre part, ceux liés aux activités des tiers sous-traitants et fournisseurs avec lesquels l'entreprise donneuse d'ordre entretient une relation commerciale établie.
Les actions RSE sur le plan économique
soutenir l'économie locale en faisant appel à des partenaires locaux (fournisseurs, transporteurs…) acheter local et faire appel aux circuits courts, acheter responsable en se tournant vers des produits et des fournisseurs respectueux de l'environnement.
Tout d'abord le travail obligatoire ou forcé, l'exploitation des enfants, les mauvaises conditions de travail, les risques sanitaires, les rémunérations abusives, etc.
Solidarité, santé, éducation, protection de l'environnement, justice et accès aux droits, culture, cohésion sociale ...
La RSE devrait, dans un avenir plus ou moins proche, tendre vers un renforcement de la gestion des données détenues par les entreprises en incitant ces dernières à former aux enjeux du numérique les dirigeants, salariés et autres acteurs de l'entreprise.
La Commission Européenne, qui élabore la réglementation en matière de RSE au niveau européen, définissait d'ailleurs en 2001 la RSE comme « l'intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes ».
Elle conduit les organisations à intégrer les enjeux sociaux et environnementaux à leurs activités et prises de décisions. Cette démarche stratégique est garante d'une meilleure performance notamment car elle permet aux entreprises d'anticiper les évolutions sociétales.
En conclusion, la RSE et la digitalisation offrent tous deux des avantages et des inconvénients pour une entreprise. La RSE peut améliorer la réputation, l'engagement des employés et la gestion des risques, mais elle peut également impliquer des coûts supplémentaires et des défis de conformité.
Les motivations sont ces croyances et ces forces qui donnent à un individu l'impulsion pour agir. Les freins, en revanche, sont les croyances et les forces qui empêchent le changement, même lorsque de façon rationnelle, les individus souhaitent adopter de nouveaux comportements.
La RSE améliore la performance des entreprises françaises
En résumé, les entreprises mettant en place une politique RSE sont en moyenne 13% plus performantes que les autres.