Droits des grands-parents
Les grands-parents ont un droit de visite et d'hébergement de leurs petits-enfants, mais aussi le droit d'échanger une correspondance avec eux et de participer à leur éducation dans la mesure où ils ne se substituent pas aux parents. Ces droits restent valables : en cas de divorce des parents.
Si les grands-parents choisissent de s'occuper d'un petit-enfant et d'ignorer l'autre, c'est un signe avant-coureur d'une relation toxique. Ces grands-parents peuvent aussi comparer les enfants et leur dire des choses comme: « Tu n'es pas aussi intelligente que ta sœur » ou « Ton frère a fait mieux ».
Quels sont les devoirs des parents vis-à-vis de leur enfant ? Les parents doivent veiller sur sa sécurité et contribuer à son entretien matériel et moral, c'est-à-dire le nourrir, l'héberger, prendre des décisions médicales, surveiller ses relations et ses déplacements...
Les prérogatives des grands-parents sont reconnues depuis la loi n°70-459 du 4 juin 1970 relative à l'autorité parentale. En effet, les grands-parents peuvent disposer d'un droit de visite et/ou d'hébergement sur leurs petits-enfants ainsi qu'un droit de correspondance.
Il s'agit d'un manque ou d'une absence de soins nécessaires pour répondre à ces besoins selon son âge et son niveau de développement. »
Le rôle "classique" de la grand-mère est très agréable : débarrassée de l'autorité, elle transmet l'histoire familiale et mène des activités ludiques qui constituent de vrais moments privilégiés d'amour et de partage.
En principe, il n'est pas possible d'empêcher les grands-parents de voir leurs petits-enfants. Les prérogatives des grands-parents sont reconnues depuis la loi n°70-459 du 4 juin 1970 relative à l'autorité parentale.
Pour empêcher les grands-parents de voir leurs petits-enfants, il faut apporter la preuve qu'il n'est pas dans l'intérêt de l'enfant de fréquenter ses grands-parents. Il faut toutefois savoir que rien n'est figé dans le temps après le jugement : si de nouveaux éléments surviennent, le juge doit réexaminer le dossier.
Pourtant, être mamie n'est pas synonyme de vieillesse. Etre mamie, ça veut aussi dire profiter de sa famille, aimer ses enfants, les voir heureux. C'est aussi retomber dans sa jeunesse et se rappeler des premiers pas de ses enfants. Et oui, devenir mamie peut être une cure de jouvence !
1. Mère du père ou de la mère.
Grands-parents aimants
Les grands-parents ont une place importante dans la vie et l'éducation des enfants. En France, ils sont très présents dans le quotidien des parents et peuvent devenir une aide quand ils vivent à proximité.
Le droit de visite et d'hébergement consiste le plus souvent à prendre les enfants en fin de semaine et pendant une partie des vacances scolaires. Dans la pratique, ce droit s'effectue 1 week-end sur 2 et la moitié des vacances scolaires.
« Jusqu'à sa majorité (18 ans), ce sont les parents qui décident du lieu de vie de l'enfant, ou le juge aux affaires familiales s'ils ne parviennent pas à trouver un accord. Un enfant mineur ne peut donc pas décider de son lieu de résidence, mais il peut donner son avis.
Le plus souvent, lorsque des grands-parents demandent un droit de visite, c'est en raison des circonstances suivantes : les parents ne vivent plus ensemble; l'un d'eux est décédé ou est atteint d'une maladie mentale; l'un des parents se remarie et le beau-parent adopte les enfants.
La place des grands-parents dans la vie des enfants
Bien souvent, les grands-parents sont là pour jouer les intermédiaires entre les générations différentes. Beaucoup plus disponibles et souvent plus à l'écoute que les parents, ils occupent à la fois un rôle éducatif et affectif.
La meilleure façon d'éviter que grand-maman s'immisce dans votre vie à un degré qui vous rend inconfortable, c'est de lui en parler avant même la naissance du bébé et d'établir vos limites avec elle afin qu'elle se prépare à les respecter après la naissance.
Mon petit-fils chéri, Tu es mon essentiel, tu m'es si précieux, Tu es mon obsession, ma passion. Et mon affection t'est toute acquise.
L'abandon de famille est considéré par le Code pénal comme un délit. Il y a abandon de famille lorsqu'une personne ne remplit plus ses obligations vis-à-vis de sa famille, et en particulier de ses enfants, pendant plus de deux mois.
Un tiers peut faire une demande en justice pour obtenir la garde de cet enfant. Cette demande n'est pas nécessairement liée à un comportement malsain des parents. Le tiers qui désire obtenir la garde de l'enfant doit démontrer au juge que c'est l'intérêt de l'enfant qui rend cette décision nécessaire.
Le recours à un avocat est vivement conseillé. La solution dégagée par le juge dépendra de votre cas particulier, de l'âge du ou des bambins et des conditions de leur scolarité... Le critère essentiel est l'intérêt de l'enfant et non celui de la famille ou de tel ou tel de ses membres.