7 configurationsmodifier. Mintzberg décrit 7 types d'organisation : L'entreprise entrepreneuriale, la bureaucratie simple, deux méritocraties (la bureaucratie professionnelle et l'adhocratie), l'entreprise divisionnalisée, l'entreprise missionnaire, l'arène politique.
Mintzberg considère l'organisation comme un système. Il détermine des profils d'organisation en fonction de la combinaison des différents éléments qui le constituent.
Mintzberg définit des configurations structurelles, c'est-à-dire des assemblages vers lesquels tendent les organisations. C'est généralement une organisation de petite taille, relativement jeune où le mécanisme de coordination prédominant est l'ajustement mutuel ou la supervision directe.
Selon Henry Mintzberg une stratégie peut être délibérée, lorsqu'elle est construite et planifiée ; ou émergente, lorsqu'elle est consécutive à des événements non prévus auxquels l'entreprise doit réagir. Ces deux stratégies coexistent le plus souvent dans l'entreprise et aboutissent à la stratégie réalisée.
Après avoir suivi le quotidien de plusieurs gestionnaires, Henry Mintzberg a identifié que les dirigeants effectuaient essentiellement trois rôles : un rôle interpersonnel, un rôle informationnel et un rôle décisionnel.
On peut distinguer cinq grands types d'organisations différentes : l'organisation personnalisée, l'organisation bureaucratique, l'organisation pyramidale, l'organisation duale et l'organisation cellulaire.
La technostructure comprend l'ensemble des analystes et experts qui réalisent des tâches administratives de planification et de contrôle. Les fonctions de support logistique ont pour rôle de fournir des services internes (cafétéria, conseil juridique…).
Trois éléments caractérisent la structure de toute entreprise : la spécialisation (comment et jusqu'ou diviser le travail dans l'entreprise ?), la coordination (comment faire collaborer les différentes unités au sein de l'entreprise ?) et la formalisation (jusqu'à quel point faut-il écrire les règles de fonctionnement ...
Un organigramme présente la structure interne d'une organisation ou d'une entreprise. Les employés et fonctions sont représentés par des rectangles ou d'autres types de formes, parfois complétés de photos, de coordonnées, de liens, d'icônes ou d'illustrations.
Selon H. Mintzberg, toute organisation est constituée de 5 catégories d'acteurs : le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, le centre opérationnel, la technostructure et les fonctionnels de soutien.
Les structures hiérarchiques et fonctionnelles.
Le management est posé comme l'art de diriger une organisation et de prendre les décisions nécessaires à la réalisation de ses objectifs. Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
Il existe trois niveaux de management : le management stratégique, le management opérationnel et le management tactique. Combinés, ils sont la colonne vertébrale de la gestion des ressources humaines en entreprise.
Première légende : le manager est un planificateur systématique, réfléchi. Plusieurs études ont démontré que les managers enchainaient des tâches de très courtes durées avec très peu de réflexion. En effet, les managers passent sans arrêt d'un sujet à l'autre en répondant aux diverses sollicitations en temps réelles.
Mintzberg (1990) identifie quant à lui des facteurs qui influencent le plus le système de gestion (l'âge, la taille, la technologie, l'environnement, la culture, les relations de pouvoir). En plus de ces facteurs, P. Chapellier (1993) ajoute la nature de l'activité de l'entreprise.
la structure matricielle
À la recherche d'une meilleure efficacité, certaines entreprises mixent l'organisation verticale par fonction avec une organisation transversale par projet ou activité. L'organisation matricielle permet de profiter des compétences métiers tout en organisant leur coopération.
Définition de l'organisation pyramidale
L'organisation pyramidale est très courante en entreprise. La hiérarchie y est très forte. Les niveaux de « pouvoir » sont répartis entre le dirigeant, les managers et les opérateurs. L'importance des décisions et des actions va du haut vers le bas.