Les didascalies énonciatives définissent les conditions de l'acte de parole (par exemple, « à part », « seul ») ; Les didascalies énonciatrices indiquent à qui un personnage parle ; Les didascalies mélodiques donnent des indications sur le ton (par exemple, « avec joie », « en colère »).
Indication scénique écrite par l'auteur complétant le dialogue mais n'en faisant pas partie. Exemple : La didascalie offre un éclairage totalement nouveau de l'oeuvre.
Souvent, elles renseignent sur l'attitude des personnages, l'intonation appropriée, la position physique, les jeux de lumière, les décors, etc. Comme ces didascalies sont inscrites à l'extérieur des répliques, on les qualifie d'externes, par opposition aux didascalies internes.
La didascalie peut se faire d'analyse psychologique. Elle présente des aspects du personnage, qualifiant son comportement devant les événements. Elle précise la disposition du personnage alors qu'il parle.
Les didascalies sont intercalées dans le dialogue ou le scénario, mais n'en font pas partie. Elles sont notées le plus souvent en italique, en gras ou entre parenthèses et ne sont pas prononcées par les personnages-comédiens sur scène !
Les didascalies décrivent un spectacle en train de se faire et non un spectacle à faire. C'est ainsi que le conditionnel présent est quasiment banni car il affirmerait en même temps un acte et sa possible négation.
Qu'est-ce qu'une didascalie liminaire ? Rhinocéros, II, 2: didascalie liminaire. … Une didascalie a pour fonction de présenter, d'informer sur les entrées et sorties des personnages, ainsi éventuellement, que sur les attitudes et leurs actes.
On parle de didascalie interne lorsque la réplique d'un personnage donne une indication sur la mise en scène. Enfin, on appelle didascalie initiale la didascalie qui, au début d'une pièce, présente la liste des personnages et l'apparence de la scène au moment du lever de rideau.
Les didascalies ne sont toutefois pas seules à fournir des éléments pour établir la situation d'énonciation, les répliques ne cessent d'en suggérer chaque fois qu'un personnage se réfère à son environnement ou aux êtres qui l'habitent.
Le texte de théâtre, aussi appelé texte dramatique, est le type de texte qui raconte une histoire généralement fictive par l'intermédiaire d'échanges entre des personnages. C'est un texte spécifiquement conçu pour la représentation théâtrale, le spectacle.
Exposition : début d'une pièce qui présente les personnages, le lieu et le temps de l'action, donne les informations essentielles pour comprendre la situation, et cherche à susciter la curiosité des spectateurs. Péripétie : événement qui modifie la situation, appelé coup de théâtre s'il est brutal et inattendu.
Emprunt au grec ancien διδασκαλία , didaskalía (« enseignement »).
Dialogue (nom masculin) : le texte d'une pièce de théâtre est composé de dialogues. Ce sont des personnages qui se parlent. Il n'y a donc pas de narrateur. Réplique (nom féminin) : paroles qu'un personnage dit en réponse aux paroles qui lui sont adressées lors d'un dialogue.
Définition "indication scénique"
Indication scénique de l'auteur, qui accompagne le texte d'une œuvre théâtrale.
La scène d'exposition est la première étape de toute pièce de théâtre. Elle doit contenir tous les éléments nécessaires à la compréhension de la pièce et ne doit pas dépasser le premier acte.
Emphase (typographie) — Wikipédia.
Les passages correspondant aux didascalies à insérer sont constitués d'une ligne de points lorsqu'ils sont placés entre deux répliques, ou de quelques points entre parenthèses lorsqu'ils sont placés au début ou à l'intérieur d'une même réplique.
La scène d'exposition (ou acte d'exposition) d'une pièce de théâtre est une scène (ou un acte) fournissant les éléments nécessaires à la compréhension de la situation initiale.
Les didascalies dénotent en effet des portions du monde fictionnel ou non, qui sont autant d'éléments jugés indispensables (par l'auteur dramatique) pour que le lecteur puisse interpréter les répliques, et se faire une représentation de l'action.
1. Suite continue, ininterrompue de paroles, de phrases, plus ou moins emphatiques : Une longue tirade d'injures. 2. Au théâtre, ce qu'un personnage récite d'un trait sans être interrompu.
Ces caractères penchés furent à l'origine appelés « lettres vénitiennes », et ensuite nommés « italiques », car ils venaient effectivement d'Italie. L'emploi de l'italique s'est généralisé pour citer les titres de livres à la suite de l'exemple donné par Vincenzo Coronelli (1650-1718) dans sa grande encyclopédie.
Dans une pièce de théâtre les didascalies sont écrites au présent.
Pour numéroter des lignes ou des vers, je fais un tableau : une colonne tout étroite, une autre avec le texte dedans. Dans la petite colonne je mets les numéros où je veux en me calant sur les lignes du texte souhaitées. A la fin je rends invisibles les lignes du tableau avec "bordures et trames : aucune".