Dans un mécanisme, quand une pièce est en contact avec une autre, il y a entre ces deux pièces une liaison mécanique. Dans ce cas les surfaces de contact sont le plus souvent : planes / cylindriques / sphériques / hélicoïdales / coniques.
Tout d'abord, les caractéristiques de liaisons permettent de décrire les nombreuses façons de lier ensemble des pièces dans un objet technique. Par conséquent, une liaison peut être (1) directe ou indirecte (2) démontable ou indémontable (3) rigide ou élastique et (4) complète ou partielle.
On peut la considérer comme une liaison sphérique ayant un degré de liberté supprimé par l'ajout d'un doigt complémentaire. La liaison est caractérisée par deux degrés de liberté, deux rotations dont les axes, perpendiculaires entre eux, sont également perpendiculaires à l'axe ou la direction du doigt.
Liaison rigide ou élastique
Liaison rigide: Cette liaison ne permet aucune déformation de pièces assemblées. L'organe de liaison est rigide et il ne permet aucun changement de position des pièces qu'il relie.
Une liaison est polarisée si les deux atomes liés possèdent une électronégativité différente. L'atome le plus électronégatif (celui qui possède l'électronégativité la plus grande) attire davantage les deux électrons du doublet liant (ceux qui constituent la liaison covalente) que l'atome le moins électronégatif.
Il existe trois principaux types de liaisons chimiques: les liaisons covalentes, qui se forment spécifiquement entre les éléments non métalliques, les liaisons ioniques, qui se forment entre un métal et un non-métal, et les liaisons métalliques qui se forment entre métaux.
Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
Les liaisons chimiques. Les atomes s'assemblent en molécule en mettant en commun ou en cédant des électrons. Le but étant que la molécule soit plus stable que chaque atome isolé.
Lorsque deux atomes interagissent, ils peuvent former une liaison chimique. Généralement, cette liaison chimique est covalente ou ionique.
La liaison est obligatoire, dans le groupe nominal, entre le déterminant (possessif, indéfini, numéral, interrogatif ou exclamatif) et le nom qu'il accompagne, ou avec l'adjectif qui précède ce nom. La liaison est aussi obligatoire, dans le groupe nominal, entre le nom et l'adjectif qui le précède.
Lorsqu'un mot se termine par une consonne muette, il arrive, quand on parle, que cette consonne soit liée à la voyelle ou à l'h muet qui débute le mot suivant. On dit que l'on fait une liaison. Paul joue avec ses_amis. Michel est un enfant intelligent.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
La liaison chimique est le phénomène physique qui lie les atomes entre eux en échangeant ou partageant un ou plusieurs électrons ou par des forces électrostatiques. Des liaisons fortes existent dans les molécules, les cristaux ou dans les solides métalliques et elles organisent les atomes en structures organisées.
Les interactions non covalentes peuvent être classées en différentes catégories, telles que les effets électrostatiques, les effets π, les forces de van der Waals et les effets hydrophobes.
Détermination du nombre de liaisons
A partir du numéro atomique d'un atome, on connait le nombre d'électrons qu'il possède (numéro atomique = nombre de protons = nombre d'électrons). A partir de ce nombre d'électrons, on détermine le nombre d'électrons pour chaque couche électronique.
Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle deux atomes se partagent deux électrons (un électron chacun ou deux électrons venant du même atome) d'une de leurs couches externes afin de former un doublet d'électrons liant les deux atomes.
Une liaison covalente est polarisée (ou polaire) si les atomes engagés dans la liaison ont des électronégativités différentes. On détermine le sens de la polarité en comparant les électronégativités.
Les liaisons faibles sont représentées principalement la liaison de Van der Waals et la liaison hydrogene.
La liaison hydrogène (HB) ou pont hydrogène est une liaison de faible intensité qui relie les molécules. Elle implique un atome d'hydrogène et un atome assez électronégatif (comme l'oxygène par exemple).
Un enchaînement = lie deux mots par une consonne finale qui est normalement prononcée si le mot est isolé. Exemple : par, dans par avion. Une liaison = lie deux mots par une consonne finale qui n'est pas prononcée si le mot est isolé. Exemple : les, dans les amis.
Une molécule est polaire si les centres des charges partielles négatives et positives sont différents. Exemple : la molécule de sulfure d'hydrogène H2S. Une molécule est apolaire si les deux centres des charges partielles sont confondus.
Liaisons polaires : Une liaison covalente est polaire, si la différence des électronégativités des deux atomes formant la liaison n'est pas nulle . L'atome le plus électronégatif d'une liaison polaire attire plutôt vers lui les électrons de la liaison covalente.
Plus le moment dipolaire est élevé, plus la liaison est dite polaire. La dissymétrie de charges entre les deux noyaux est due à une différence d'électronégativité (c'est-à-dire de tendance à s'accaparer les électrons) entre les deux atomes. On pourra donc prédire la polarité d'une liaison en calculant cette différence.