Des apports réguliers en myrtilles (et notamment en anthocyanes) contribuent à réduire les risques de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2. Ils ont aussi des effets bénéfiques sur l'équilibre glycémique, la fonction vasculaire et la microflore intestinale.
Fruits frais.
Prendre de 55 g à 115 g, 3 fois par jour.
Régulation du transit intestinal
Concrètement, les myrtilles permettent donc de calmer les colites, les diarrhées infectieuses et les spasmes intestinaux. De plus, la myrtille aide à relancer le transit en cas de constipation et elle soulage le syndrome de l'intestin irritable.
Manger des myrtilles, parmi d'autres fruits serait, conseillé pour réduire son risque de diabète. Mais le bénéfice ne serait visible que s'il s'agit de fruits crus. Quelques myrtilles, des pommes ou des raisins frais réduiraient le risque de diabète de type 2.
Les flavonoïdes (antioxydants) contenues dans cette baie, participent activement à la régénérescence des vaisseaux sanguins des yeux. Ceux-ci protègent également les tissus conjonctifs de l'œil, habituellement agressés par des agents extérieurs tels que la lumière des écrans.
La myrtille serait efficace pour améliorer les troubles digestifs, notamment en cas de constipation. A consommer donc en intégrant ce fruit des bois dans votre alimentation.
Se frotter les yeux, passer du temps devant les écrans, ou encore sortir se promener sans lunettes de soleil sont des mauvaises habitudes qu'on fait tous plus ou moins ! Certaines d'entre elles peuvent participer à la fatigue des yeux ou encore représenter un danger pour eux.
Le totum de myrtille pour freiner la progression du diabète
L'usage traditionnel de la feuille et de la racine de myrtille (ou de bleuet) est confirmé par quelques recherches qui ont démontré leurs propriétés modulatrices sur la glycémie chez l'animal, notamment la souris et le chien.
Les principaux sucres présents dans la myrtille sont le fructose (4,97 g pour 100 g), le glucose (4,88 g pour 100 g) et le saccharose (0,11 g pour 100 g). Sa quantité en glucides reste inférieure à la moyenne des glucides dans les fruits frais : 11,31 g pour 100 g environ.
Les pommes de terre cuites à l'eau ont un indice glycémique élevé (IG = 70) et entraînent de ce fait une hausse importante du taux de glucose dans le sang.
2) Les myrtilles
En plus de ravir nos papilles gourmandes, elles luttent contre la rétention des liquides et contre les ballonnements. Cela est possible grâce à leur teneur en flavonoïdes. Elles sont aussi antioxydantes (pour lutter contre les radicaux libres) et anti-inflammatoires.
La pleine saison de la dégustation de la myrtille est la fin de l'été, aux mois de juillet, août et septembre.
La myrtille colore les selles en noir, ne pensez donc pas à une hémorragie interne si vous en avez consommé ! La myrtille doit être bien rincée avant d'être consommée, car des animaux sauvages pourraient avoir souillé de leur urine les petits myrtillers, apportant des maladies et des germes pathogènes.
Réfrigérez les myrtilles dans leur boîte d'origine (si elles ont été achetées dans une boîte) ou mettez-les, sans les serrer, dans un récipient peu profond et recouvrez-les d'un film plastique. Jetez les myrtilles abîmées ou moisies avant de les conserver au réfrigérateur.
Attention cependant : en mangeant les myrtilles crues et non lavées, elles peuvent être contaminées par les déjections de renards ou de chiens, et donc transmettre une échinococcose alvéolaire. En consommer en excès peut aussi provoquer des diarrhées et des maux de ventre, car elles ont des propriétés laxatives.
Très riches en fibres (près de 7 grammes pour 100 grammes), elles jouent un rôle coupe-faim et diurétique épatant. Une véritable complice de vos régimes amaigrissants, la myrtille est également idéale pour les diabétiques et les patients surveillant leur cholestérol.
Les myrtilles se préparent aussi bien crues sur une tarte par exemple que cuites dans un clafoutis ou des muffins. On peut aussi l'utiliser pour les confitures, l'eau-de-vie, le vin de fruits, la liqueur, un sorbet maison et même en tisane quand elle est séchée.
Les fruits sucrés comme la mangue, la banane et les cerises doivent être évités. Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
Même si elles paraissent très sucrées au palais, les myrtilles ne sont pas très riches : 7,92g de sucre (un peu plus d'1 morceau ¼) pour 100 g de fruits.
Le kiwi, qui est la plus grande source de vitamine C, est le meilleur fruit pour les yeux. Les poissons riches en acides gras oméga‑3 peuvent prévenir la dégénérescence maculaire liée à l'âge.
Les myrtilles et les mûres
Réputées pour améliorer la vision nocturne et testées à cet effet pendant la Seconde Guerre mondiale par les pilotes de la Royal Air Force, les myrtilles associent vitamine C et anthocyanidines, des composants qui boostent l'acuité visuelle et ont un effet bénéfique sur la fatigue oculaire.
L'obscurité n'est pas conseillée pour le visionnage d'un écran TV, car cela augmente fatigue visuelle. La solution pour s'en prémunir et profiter en plus d'une image au contraste amélioré, est de placer une source d'éclairage contrôlée derrière le téléviseur, de température de couleur du blanc proche du standard D65.