Les effets indésirables avec le paracétamol sont rares. Ont toutefois été rapportés : des réactions cutanées allergiques, une hépatotoxicité (toxicité du foie) à doses trop élevées, et une destruction des cellules du foie (cytolyse hépatique ) en cas de surdosage aigu (7g et plus en une seule prise).
Au-delà de 4 grammes par jour, le paracétamol peut être toxique pour le foie. Mais même en-deçà de ces doses, cet antalgique pourrait présenter d'autres effets secondaires préoccupants, chez les personnes qui en consomment sur une base régulière.
Les contre-indications et précautions d'emploi
Le paracétamol a comme seule contre-indication les maladies graves du foie. Il est souvent bien toléré et est très rarement responsable d'effets indésirables (essentiellement des réactions allergiques de la peau et une baisse des plaquettes dans la sang).
En cas de surdosage, le paracétamol présent dans le Doliprane® (et d'autres médicaments) peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles. Le terme surdosage s'entend par l'utilisation d'un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre les prises non respecté.
A partir de 7 grammes, la dose devient toxique et peut entraîner la mort si 10 cachets de 1000 mg sont potentiellement pris en moins de 24 heures.
Le Doliprane contient du paracétamol, le seul principe actif incorporé dans ce médicament. Le paracétamol est l'antalgique et antipyrétique de référence indiqué en première intention pour soulager les douleurs (maux de tête, douleurs musculaires…) et en cas de fièvre.
o brusque gonflement du visage et du cou pouvant entrainer une difficulté à respirer (œdème de Quincke), o malaise brutal avec baisse importante de la pression artérielle (choc anaphylactique). Si une allergie survient, vous devez immédiatement arrêter de prendre ce médicament et consulter rapidement votre médecin.
Résultat : le paracétamol induit une hausse de 5 mm Hg sur la pression systolique (le plus grand chiffre de la tension) et de 1,5 mm Hg sur la pression diastolique (le plus petit chiffre). Cette augmentation n'est pas énorme mais bien réelle.
Dans la demi-heure suivant l'administration de paracétamol, la pression artérielle moyenne (PAM) diminuait significativement (de 85mmHg en moyenne à 79mmHg ; p<0.0001) de même que la température (de 38,3°C à 37,6°C ; p<0.0001).
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
En 1er choix : le paracétamol
Le paracétamol (Doliprane, Dafalgan, Efferalgan...) présente le meilleur bénéfice/risque pour les douleurs courantes (mal de tête, fièvre, douleurs dentaires...), et pour un dosage inférieur à 3 g par jour, soit trois comprimés de 1000 mg espacés toutes les quatre à six heures.
A faible dose (moins de 350mg par jour), il aura une action anti-agrégante plaquettaire c'est-à-dire qu'il pourra fluidifier le sang et éviter la formation de caillots.
Cependant en cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles dans certains cas. Le terme surdosage s'entend par l'utilisation d'un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre les prises non respecté.
"En cas de surdosage, la partie toxique contenue dans le paracétamol peut détruire les cellules du foie, ce qui peut entraîner une hépatite médicamenteuse. Cette destruction des cellules du foie peut parfois être asymptomatique et passer inaperçue, mais pas toujours.
L'huile essentielle de menthe poivrée renferme des propriétés analgésiques et anesthésiques . Elle est donc idéale pour soulager des maux de tête passagers . Lorsqu'une migraine se fait ressentir, déposez 3 à 4 gouttes d'huile sur vos tempes, puis massez avec vos doigts.
Par contre le Doliprane au coucher devrait faciliter votre endormissement du fait qu'il peut diminuer la température du corps, condition indispensable à l'apparition du sommeil.
« Le paracétamol a une action centrale, mais il n'en est pas le principe actif à proprement parler. L'effet antalgique observé provient en effet de la métabolisation du médicament dans l'organisme : il est d'abord transformé en p‑aminophénol au niveau du foie.
L'élimination est essentiellement urinaire (90%). La demi-vie d'élimination est de 1 heure 30 à 3 heures à doses thérapeutiques ; elle dépasse 4 heures en cas d'intoxication aiguë en raison de la nécrose hépatique qui limite l'élimination du paracétamol.
Ne pas dépasser 3 g de paracétamol (6 comprimés ou gélules à 500 mg) par jour sans avis médical. Dans les douleurs intenses, la posologie maximale peut être portée à 1 g de paracétamol, 4 fois par jour, uniquement sur avis médical.
La N-acétylcystéïne est un antidote en cas d'intoxication par le paracétamol. Ce médicament est un précurseur du glutathion qui diminue la toxicité du paracétamol en augmentant les réserves hépatiques de glutathion et probablement par d'autres mécanismes.
Des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales ou encore une fièvre peuvent être retrouvés (en effet, l'ictère n'est pas systématique). Les symptômes ne sont donc pas spécifiques et peuvent faire penser à toutes les maladies du foie existantes.
La pression artérielle est dite normale lorsqu'elle est inférieure à 14,5/9 ou 145/90 mmHg et supérieure à 10/7 ou 100mmHg /7mmHg.