Un surdosage de Lexomil® n'engage pas le pronostic vital du sujet s'il est pris seul. Néanmoins, il peut provoquer des signes de confusion mentale, une apnée, des troubles de l'élocution, une hypotension, une hypotonie, une dépression cardio-respiratoire, un coma et de façon exceptionnelle un décès.
L'utilisation concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou apparentés tels que LEXOMIL avec des opioïdes augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison de l'effet dépresseur additif sur le système nerveux central (SNC).
En France, vingt molécules de la famille des benzodiazépines -des médicaments psychotropes- sont commercialisées, dont le Lexomil, le Temesta, le Xanax ou le Tranxene. Selon le dictionnaire médical Vidal, "cette famille de médicaments à des effets tranquillisants, sédatifs et anti-convulsivants.
Il existe des alternatives naturelles sérieuses et efficaces, citons le griffonia, la L-théanine ou la valériane.
Le bromazépam (Lexomil®) est un médicament anxiolytique de la famille des benzodiazépines dont il partage toutes les caractéristiques. On utilise le bromazépam-Lexomil® dans les troubles anxieux aigus (crise de panique, ou crise d'angoisse) ou durables (anxiété généralisée), et dans le sevrage d'alcool.
Anxiolytique naturel, doux et efficace, le CBD est de plus en plus privilégié pour réduire l'anxiété passagère ou chronique. C'est d'ailleurs plus de 260 millions de personnes qui souffrent de troubles anxieux, selon les dernières études de l'Organisation mondiale de la Santé.
Un bon sevrage nécessite, outre une grande motivation, un suivi régulier avec un psychiatre, qui dure environ six mois selon la fiche technique (voir ci-contre) réalisée par la Haute autorité de santé sur l'arrêt chez les personnes âgées.
Le lexomil appartient en effet à la famille des benzodiazépines et cette classe de médicaments peut entrainer une dépendance physique et psychique.
Le médecin établit avec le patient un calendrier du sevrage. Le principe est simple : il consiste à réduire la dose d'un demi-comprimé à la fois, en respectant des paliers de 2 à 4 semaines. Si ce rythme paraît trop rapide au patient, des pauses sont possibles.
Des sensations de faiblesse, de fatigue, des impressions de vertige, de la dysarthrie, de l'ataxie, une confusion… ont déjà été rapportées. Dès 1989, l'effet délétère de ces médicaments sur la mémoire a été démontré. Cette amnésie antérograde existe avec toutes les molécules.
les benzodiazépines (BZD) à visée hypnotique : appelés couramment somnifères, ce sont les médicaments les plus souvent prescrits. Ils agissent sur l'endormissement, le maintien et la durée du sommeil.
Les benzodiazépines et les antidépresseurs inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) sont les traitements pharmacologiques les plus reconnus pour les troubles anxieux généralisés (TAG) et les plus souvent prescrits.
Anxiolytique léger : exemples, quelles indications ? Il n'y a pas d'anxiolytique anodin. "Toutefois l'oxazepam (Seresta®) a une durée d'action plus courte et est souvent prescrit chez la personne âgée.
Adulte : 6 mg par jour, habituellement répartis en 1/4 de comprimé le matin, 1/4 de comprimé le midi et 1/2 comprimé le soir.
Les plus fréquemment retrouvés sont : le Lexomil®, le Rivotril®et le Xanax®. Les benzodiazépines (BZD) appartiennent une classe de médicaments aux pro- priétés hypnotiques, anxiolytiques, antiépileptiques, amnésiantes et myorelaxan- tes.
Trois antidépresseurs ont récemment démontré leur efficacité dans l'anxiété généralisée: la venlafaxine, la paroxétine et l'escitalopram.
car ils ralentissent la fréquence cardiaque.
Après 65 ans, le risque de développer la maladie d'Alzheimer accroit de 51% avec ce type de somnifère. En conclusion, la Zopiclone augmente la probabilité de mortalité accélérée 4,6 fois supérieure à la normale.
Fréquemment la crise d'angoisse ou crise de panique est associée à d'autres problèmes psychologiques : un syndrome de dépression, des phobies (phobie sociale, agoraphobie ou phobie des transports…)
D'une part, la crise d'angoisse peut être déclenchée par un "processus névrotique", c'est-à-dire par le conflit qu'engendre l'existence simultanée d'un désir et d'un interdit pour un même objet. D'autre part, elle peut avoir pour origine une phobie, correspondant à une peur maladive liée à un mauvais souvenir.