Grâce à des sondes satellites (Cobe en 1989 ou WMAP en 2001), les cosmologistes ont analysé les spectres lumineux émis par des amas d'étoiles et ont déduit la composition chimique de l'Univers : 73,9 % d'hydrogène, 24 % d'hélium, 1 % d'oxygène et 0,5 % de carbone.
De tous les éléments du tableau périodique, l'hydrogène est celui que l'on trouve le plus en abondance au sein de l'Univers.
Réponse : l'oganesson. Son noyau dense renferme le nombre record de 118 protons.
C'est l'astate qui est l'élément le plus rare du monde. En tout et pour tout, il n'existerait en effet que moins de 30 g de ce minerai dans toute la croûte terrestre, selon des scientifiques de l'université d'Oxford. A titre de comparaison, on considère qu'environ 2 500 tonnes d'or sont extraites chaque année.
La matière de notre planète est composée de 92 éléments chimiques naturels. Une trentaine sont très répandus et une demi-douzaine sont réellement indispensables à la vie. Le plus abondant est l'oxygène avec près de 47 % de la croûte terrestre.
Les sept éléments de l'art sont la ligne, la forme, la forme, l'espace, la valeur, la couleur et la texture. Ces éléments sont les composants essentiels, ou blocs de construction, de toute œuvre d'art.
La matière connue de l'Univers est formée principalement d'hydrogène et d'hélium alors que la Terre est surtout constituée d'oxygène, d'hydrogène, de fer, de silicium, de magnésium.
Par masse, 99 % du milieu interstellaire prend une forme de gaz, avec 1 % sous forme de poussière. Parmi ces gaz, 89 % d'atomes sont d'hydrogène, 9 % d'hélium et 2 % d'atomes d'éléments plus lourds (appelés métaux dans le langage astronomique) que ces deux.
Grâce à des sondes satellites (Cobe en 1989 ou WMAP en 2001), les cosmologistes ont analysé les spectres lumineux émis par des amas d'étoiles et ont déduit la composition chimique de l'Univers : 73,9 % d'hydrogène, 24 % d'hélium, 1 % d'oxygène et 0,5 % de carbone.
La théorie de la nucléosynthèse stellaire qui décrit la production des noyaux dans les étoiles jusqu'au fer est bien assise depuis cette époque. Mais les débats continuent quant à l'origine des éléments plus lourds, comme les noyaux d'or, de plomb et d'uranium.
Il a ainsi fallu 380 000 ans pour que les électrons soient capturés dans l'orbite des noyaux, donnant naissance aux premiers atomes. Il s'agissait essentiellement d'hélium et d'hydrogène, qui sont encore aujourd'hui, et de loin, les éléments les plus répandus dans l'Univers.
L'Eau correspond à un tempérament variable, pouvant être colérique comme calme. Cet élément est opposé au Feu, mais ce sont les éléments les plus puissants.
Le premier élément chimique à avoir été découvert est le phosphore et celui le plus récemment découvert est l'hassium.
Le premier élément chimique dont l'électronégativité est la plus faible est le francium et celui dont l'électronégativité est la plus forte est le fluor. L'électronégativité peut-être donnée selon Pauling comme ici ou selon d'autre personne suivant la manière dont elle est calculée.
Les quatre éléments,
la terre, l'eau, l'air et le feu, considérés dans l'Antiquité comme les constituants fondamentaux de l'univers. (La théorie des quatre éléments apparaît chez les présocratiques.)
Or ce qui compose la phusis, la « physique » naturelle, ce sont, depuis les anciens Grecs, en ce qui concerne notre culture, les quatre éléments : l'eau, le feu, l'air et la terre.
Les couches de la Terre : Le manteau
Le manteau est la partie qui recouvre le noyau. Il est également composé de deux sections: le manteau inférieur et le manteau supérieur. Ce dernier comprend l'asthénosphère (voir la figure 1). Le manteau est composé de roches semi-solides chaudes et denses.
98.5% de la masse du corps humain sont représentés par seulement six éléments: oxygène, carbone, hydrogène, azote, calcium, phosphore.