Logiquement, l'excellence opérationnelle est le premier critère de la performance managériale pour 88% des managers. Viennent ensuite la qualité de la production, le développement des compétences et l'autonomie des collaborateurs et enfin le climat social et la motivation au sein de l'équipe.
Les enjeux : définition
Cette définition peut concerner ce qui est matériel, comme l'argent ou bien ce qui est plus dématérialisé, comme une conquête. En management de projet, par exemple, un enjeu du responsable sera d'optimiser la gestion de son équipe, quand son objectif sera de réduire les coûts de fonctionnement.
Ses enjeux sont triples : manager le but, manager les interactions et manager l'organisation. Etre une boussole plus qu'une horloge, plus inspirant, plus stimulant, plus responsabilisant. Et la façon de se projeter doit évoluer en s'appuyant sur un management par la confiance : en soi, en l'autre et en l'avenir !
Savoir mettre du sens dans l'intelligence collective ; Relayer la culture et les objectifs de l'entreprise ; Être capable de déléguer et de faire confiance à ses collaborateurs ; Prendre en charge l'animation du travail au quotidien.
De réels besoins de formation exprimés
Le leadership. L'innovation, le digital, l'agilité La gestion des conflits. La communication.
La transversalité, l'agilité, la personnalisation, la collaboration... sont devenus des mots clés dans le vocabulaire du management mais ces démarches privilégient à chaque fois deux grands enjeux que sont la confiance et la responsabilité partagée.
Le bon Manager est celui qui nous donne envie de venir au travail parce qu'on sait qu'on sera compris, apprécié, encouragé et reconnu dans un contexte bien structuré. Pourtant, le but d'un bon Management ne consiste pas seulement à devenir populaire au sein de son équipe de travail.
Parmi les erreurs de management qui causent des démissions, on retrouve les grands classiques : la dérive du petit chef, l'incapacité à déléguer, la non-gestion des conflits, ou encore l'absence d'intelligence relationnelle dans les pratiques managériales… Autant d'erreurs qui perturbent le turnover, la productivité et ...
Le manager de demain connaît l'importance du réseau dans la réussite d'un projet. Il profite ainsi de sa situation privilégiée pour tisser des liens entre les membres de son équipe, en favorisant notamment les échanges, mais aussi avec d'autres professionnels et des entreprises.
Il en ressort que le « manager de demain » devra être un pilote ouvert et souple, aux fortes compétences relationnelles. Il devra fédérer son équipe autour d'une vision et s'appuyer sur une base personnelle de courage et d'équilibre.
Qu'est-ce que le management des compétences ? Le management de compétences consiste à développer les compétences de chaque membre d'une entreprise pour permettre d'atteindre les objectifs de cette dernière.
L'enjeu correspond à quelque chose que l'on peut gagner ou perdre si l'on atteint ou pas l'objectif. Si l'on veut que l'enjeu soit positif, le ou les objectifs doivent être remplis. L'enjeu peut donc être perçu comme une source de motivation pour atteindre un objectif.
Les enjeux sont, au sens littéral, la somme d'argent ou les biens qui sont risqués au cours d'un jeu ou d'un pari et qui sont attribués au vainqueur à l'issue de la partie. Par extension, le terme désigne tout ce qui peut être remporté ou perdu dans une entreprise, quelle qu'elle soit.
Le rôle du manager consiste donc à respecter 4 points clés : Impulser la cohésion d'équipe. Maintenir la motivation. Déléguer les tâches et l'organisation.
Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
Il existe huit rôles de management différents : le pilotage, l'organisation, le développement des collaborateurs, l'animation d'équipe, la négociation avec les parties prenantes, le reporting, le réseautage et la représentation de l'unité à l'extérieur.
Ne pas faire confiance en ses collaborateurs
Ne pas faire confiance en son équipe et ne pas déléguer les tâches, telle est l'une des principales erreurs de management à éviter absolument. Vous devez ainsi accepter que chaque membre de votre équipe ait ses défauts et sa manière de travailler.
Le mauvais manager a tendance à imposer son autorité. Dénué de charisme, il va donc jouer sur d'autres leviers : décisions arbitraires, sanctions. Dans son équipe, mieux vaut adopter une posture de suiveur que de faire preuve de leadership. Autonomie et prise de responsabilité ne sont pas autorisées.
Selon Rensis Likert, psychologue américain, on peut distinguer quatre grands types de management : le management directif, le management persuasif, le management participatif, et le management délégatif.
Les théoriciens du management actuel montrent que les nouvelles formes d'organisation du travail mettant à l'honneur les relations humaines et le « savoir-être » fonctionnent autant dans de petites entreprises que dans de grandes structures, et que globalement tout le monde a à y gagner : salariés épanouis, manager ...
Le rôle des managers de proximité devient encore plus stratégique et leur mission est de plus en plus complexe. Ils font face à des injonctions paradoxales : concilier exigence et bienveillance pourfaire perdurer l'activité tout en étant vigilant à la qualité de vie au travail des équipes.