Le Yubari King est le fruit d'un croisement de deux variétés de melon, le Burpee's Spicy Cantaloupe et le Earl's Favourite. Ce melon peut coûter en moyenne 300 euros, mais en 2018 deux Yubari King ont été vendus aux enchères pour 3,2 millions de yens, soit plus que 25 000 euros !
Le kiwano
Il est appelé le « melon à cornes », car il ressemble à un gros melon jaune, mais avec des piquants sur sa coque. Mûrs, ils présentent une couleur jaune à l'extérieur et verte à l'intérieur. Ce fruit a un goût frais entre le concombre, le kiwi et la banane.
La banane. Riche en potassium, la banane permet de réguler la pression sanguine, préserve le corps des accidents cardiovasculaires et limiterait la formation de calculs rénaux. Sa richesse en fibres favorise le transit intestinal.
Aliment pas cher : Les pommes, poires, bananes.
Le riz (1,80 € le kg)
Comme les pâtes, il est facile à préparer et rassasiant. Le petit avantage par rapport aux pâtes : il ne contient pas de gluten, idéal pour les personnes qui y sont intolérantes.
Si les melons sont en général plus chers en début de saison quand la production est plus faible, cette année, les tarifs battent des records. Il y a certes l'inflation avec des coûts de production qui ont enflé de 30% cette année avec l'augmentation des prix de l'énergie et des matières premières.
1-Prune de kakadu. C'est la championne de ce palmarès. Avec jusqu'à 5300 mg de vitamine C pour 100g de fruits, elle est 100 fois plus riche en acide ascorbique que l'orange. Ce petit fruit vert originaire d'Australie est juteux et légèrement acidulé.
Pour près de 30 % des hommes interrogés, la banane était le fruit favori, comparé à environ 20 % qui préféraient la cerise.
Le record ? 12 849 € pour un seul ananas ! Un cas particulier car en général, ce fruit coûte environ 1369 € la pièce. Une affaire !
La Bonnotte, la variété de pomme de terre la plus chère au monde, est récoltée sur l'île de Noirmoutier, dans le département de la Vendée. La Bonnotte a un goût salé inimitable, dû à l'eau et aux algues.
Incontestablement, la pomme est le fruit préféré des français.
Les tomates et les salades coûtent plus cher, car chaque intermédiaire voit aussi sa facture augmenter. Il est quatre heures du matin et tout le monde ne parle que de la tomate.
En moyenne, ces melons de luxe coûtent 30 euros pièce mais vendus aux enchères, ils atteignent des prix exorbitants ( jusqu'à 1000 euros un lot de deux melons !) A croire que les champignons détiennent la palme du luxe.
Le fruit préféré des militaires est la grenade.
100 grammes d'ananas contiennent 47,8 milligrammes de vitamine C. Si vous en mangez 200 gr, vous ingérez donc la quantité quotidienne recommandée de vitamine C. L'apport journalier idéal s'élève à 75 milligrammes pour une femme et à environ 90 milligrammes pour un homme. Sans oublier ses vertus anti-inflammatoires.
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Elle permet donc de faciliter la digestion d'un repas riche et d'éviter les ballonnements, troubles digestifs et brûlures d'estomac. Ses fibres douces, sa richesse en eau et en potassium (minéral à l'effet diurétique) et la broméline font de l'ananas un fruit dépuratif et détoxifiant.
La fraise tient la première place en ce qui concerne la teneur en eau (91.6%); on peut dire qu'il s'agit d'un fruit bien juteux qui vous mettra l'eau à la bouche en cette période de forte chaleur. Elle contient très peu de glucides et de lipides, et s'avère être un fruit très peu calorique.
Pastèque et melon : 90,9 % d'eau
Ces deux fruits très riches en eau sont un excellent moyen de s'hydrater. Ils se dégustent nature, en entrée ou en dessert, en jus, en gaspacho, en salade. Et comme il en existe de toutes les couleurs et toutes les tailles, aucune excuse pour s'en priver.
1. La goyave. Avec un apport en vitamine C d'environ 228 mg aux 100 g, la goyave se classe en toute logique sur la première marche du podium des aliments les plus riches en vitamine C.
Toutes les productions végétales sont exposées aux caprices du climat. Certains fruits et légumes le sont plus particulièrement. Le vent, le gel, la grêle et la pluie peuvent détruire ou retarder les récoltes. Les fruits et légumes se font alors rares, entraînant une flambée des prix.
L'histoire du melon de Cavaillon
Il était déjà cultivé en Egypte cinq siècles avant notre ère. Il parviendra en Grèce, puis à Rome, vers le 1er siècle. A la Renaissance, des moines le cultivent pour les Papes, dans leur résidence d'été de Cantalupo, près de Rome... d'où le nom "cantaloup".