Comme toutes les théories, celle de constructivisme a aussi les limites. On peut citer quelques-uns: - L'idée d'une simple accumulation du savoir : la pédagogie constructiviste reste très limitée pour comprendre les difficultés et les erreurs et à forte raison, pour apporter les moyens d'y remédier.
Le constructivisme peut faire obstacle à l'analyse, enfin, à chaque fois qu'il se traduit par une critique de l'artificialité du réel – à chaque fois, autrement dit, qu'il fait porter sa critique du monde social sur le fait même que la réalité est construite.
Dans ce modèle, dit aussi de « conditionnement », on considère que la tête de l'apprenant est une « boite noire » dans le sens où l'on ne peut pas savoir quels processus s'y opèrent au moment de l'apprentissage.
Un apprentissage selon le modèle constructiviste donne une grande autonomie à l'apprenant, en lui permettant de s'auto-réguler et d'avoir la mainmise sur ses stratégies d'apprentissage.
Le but du constructivisme n'est pas de mettre les jeunes dans des situations où ils se sentent complètement démunis ou impuissants. Utiliser cette pédagogie pour renforcer des apprentissages qu'ils ont déjà faits ou au moins effleurés.
Behaviorisme, Cognitivisme, Constructivisme, Socio-constructivisme, Connectivisme… Il n'est pas toujours facile de se retrouver dans ces différents modèles !
Peter L. Berger et Thomas Luckmann - Les fondateurs du constructivisme.
Le courant de recherche du constructivisme est né au 20e siècle des travaux de Berger et Luckmann. Il consiste en l'étude de phénomènes sociaux qui à-priori semblent naturels et allant de soi, et propose d'en faire la genèse, de montrer qu'ils sont construits, contingents, et historiquements situés.
Les pédagogues constructivistes insistent sur le fait que quelle que soit la méthode sélectionnée, que ce soit une étude de cas, un travail de réflexion en petit groupe ou encore un jeu de questionnement entre l'élève et l'enseignant, l'élève doit construire son savoir à partir de l'activité mise en place par l' ...
apprendre c'est traiter de l'information, par les mécanismes mentaux internes constitutifs de la pensée et de l'action (le cognitivisme). apprendre c'est construire des images de la réalité dans des situations d'action (le constructivisme);
Des critiques du connectivisme limitent la portée des apports. Le connectivisme en intégrant des théories déjà existantes serait moins une théorie qu'une proposition pédagogique. A cet égard la mise en œuvre des MOOC (massive online open courses) est un exemple pratique de pédagogie connectiviste.
Avantages et limites du behaviorisme
Ces théories sont basées sur l'idée que les enfants apprennent plus efficacement lorsqu'ils reçoivent une rétroaction immédiate sur leurs comportements. Les avantages du comportementalisme comprennent une motivation accrue des élèves, une meilleure attention des élèves.
Le constructivisme est une théorie de l'apprentissage fondée sur l'idée que la connaissance est construite par l'apprenant sur la base d'une activité mentale. Les apprenants sont considérés comme des êtres actifs cherchant à donner du sens et des significations à ce qu'ils perçoivent à partir de leurs expériences.
La théorie cognitiviste comporte toutefois une limite importante, liée au fait qu'un matériel bien structuré ne suffit pas pour assurer un apprentissage, il faut aussi que l'étudiant ait le désir et la motivation d'apprendre.
Parmi les références du constructivisme, plusieurs auteurs se sont référés à des époques différentes aux « nouvelles sciences » : Giambattista Vico et son ouvrage La scienza nuova dès 1708, Gaston Bachelard et Le nouvel esprit scientifique (1934), Herbert Simon et la nouvelle science de l'artificiel (The science of the ...
Le paradigme épistémologique constructiviste radical prend une position radicalement différente, que Riegler (2001) qualifie métaphoriquement d'agnostique : dans ce paradigme épistémologique on ne se prononce pas sur l'existence, ou la non-existence, d'un monde peuplé d'entités indépendantes de l'esprit humain.
La théorie pédagogique vise à décrire comment aider les gens à apprendre et à se développer, à créer des conditions qui augmentent les chances d'apprendre et à améliorer l'instruction. Il en existe trois sortes : behavioriste, cognitive et constructiviste.
Style d'apprentissage (performance relative) identifié à partir de trois styles possibles : – Style visuel; – Style auditif; – Style kinesthésique.
Les formes d'apprentissage classiques, lecture, relecture et prise de notes de manière intensive paraissent être les plus efficaces. Pareil pour l'éducation, nous pensons que l'enseignement classique, la présentation du cours puis la pratique d'exercice est la meilleure technique.
Les difficultés d'apprentissage de la lecture peuvent avoir différentes origines : milieu socio-culturel défavorable, troubles auditif ou visuel non diagnostiqués ou déficits cognitifs. Le trouble de la lecture le plus connu concerne les enfants présentant une dyslexie développementale.
Il est possible d'atteindre les objectifs intermédiaires sans atteindre l'objectif général. Difficulté à transférer les connaissances à une nouvelle situation (trop de guidage). L'élève a de la peine à donner du sens aux connaissances enseignées.
L'essentiel des critiques du béhaviorisme portent sur le fait qu'il limite trop l'apprentissage à l'association stimulus-réponse et considère le sujet comme une boîte noire (il ne prend pas en compte, par exemple, les connaissances préalables du sujet).
Appliqué à la pédagogie, le behaviorisme considère qu'apprendre consiste à transmettre des savoirs, en renforçant des comportements via des stimulis positifs (récompenses) ou négatifs (punitions) qui vont conditionner l'apprenant à donner de bonnes réponses.
Ainsi, comme nous venons de le voir, la pédagogie actuelle repose sur cinq grands courants pédagogiques (transmission, béhaviorisme, cognitivisme, constructivisme, socioconstructivisme) qui sont encore d'actualité.