Inconvénients d'un mauvais facteur de puissance (cosφ) : Pénalités (en tarif vert) par le fournisseur d'énergie électrique. Augmentation de la puissance souscrite par le fournisseur d'énergie électrique. Augmentation des pertes Joules et de la chute de tension.
Un faible facteur de puissance entraîne des chutes de tension et des pertes d'énergie sur le réseau, ce qui contraint Hydro-Québec à surdimensionner ses installations entre la centrale et le panneau électrique du client.
6- Un facteur de puissance trop faible entraîne une intensité en ligne élevée.
L'amélioration du facteur de puissance permet un dimensionnement réduit des transformateurs, des appareillages, des conducteurs, etc. ainsi qu'une diminution des pertes en ligne et des chutes de tension dans l'installation.
Le facteur de puissance est un indicateur de la qualité de la conception et de la gestion d'une installation électrique. Il repose sur deux notions très basiques : les puissances active et apparente.
Le signe de la puissance réactive est fonction de l'angle de déphasage produit par le récepteur considéré : pour un récepteur inductif (> 0) la puissance réactive est positive, pour un récepteur capacitif (< 0) la puissance réactive est négative.
™ Un facteur de puissance égal à 1 ne conduira à aucune consommation d'énergie réactive (résistance). ™ Un facteur de puissance inférieur à 1 conduira à une consommation d'énergie réactive d'autant plus importante qu'il se rapproche de 0 (inductance).
Il y a donc intérêt à avoir un bon Cos phi (Cos phi proche de 1 d'où un angle phi petit) car si le Cos phi est petit (déphasage important) pour une puissance wattée donnée il faudra fournir une puissance S plus grande d'où une intensité plus grande.
Le Facteur de puissance
C'est le cosinus de l'angle entre la tension et le courant, on le calcule en effectuant la division de la puissance réelle (Watt) par la puissance apparente (VA). Il est compris entre zéro et un.
Causes électriques : Sous-tension ou surtension, courant triphasé asymétrique, résistance d'isolement faiblissante. Impacts environnementaux : Températures ambiantes élevées, ventilation faible ou inexistante, installation en haute altitude (faible densité de l'air).
Le temps de démarrage dépend de l'inertie de la masse en mouvement, de la vitesse de rotation finale et du couple d'accélération du moteur. Les valeurs du courant crête sont encore plus élevées, et peuvent atteindre 10 fois la valeur du courant efficace nominal.
L'ensemble balais, porte-balais et collecteur. Le point de contact entre les balais et le collecteur constitue le point faible du moteur à courant continu.
Tout d'abord, pour être qualifié de puissance, il faut que le pays possède des ressources humaines (sa population), et des ressources matérielles (ses terres, son capital).
En particulier, dans une liaison parfaite, la puissance des interactions est nulle. On obtient cette grandeur par le calcul du co-moment des torseurs cinématique et statique de la liaison.
Le facteur de puissance du moteur est l'angle de phase entre la tension et l'intensité (cosφ). cos phi (φ) sert, entre autres, à calculer la consommation électrique d'un moteur. La consommation électrique est d'une grande importance pour les pompes.
La puissance absorbée (puissance apparente installée) est souvent supposée être la somme arithmétique des puissances apparentes de chaque récepteur (cette sommation est exacte si toutes les charges ont le même facteur de puissance).
Définition de la puissance réactive
La puissance réactive correspond à la puissance « non utile », « invisible » de l'électricité, dans le sens où elle ne produit pas de travail thermique. Elle n'est pas transformée en énergie utile. Elle n'est pas directement convertie en chaleur, en mouvement ou en lumière.
Cos phi = mesure du déphasage entre tension et courant
Si le cosinus phi est différent de 1, par exemple égal à 0.8, l'installation va tirer plus de courant du réseau pour avoir la même puissance utile.
Re : dephasage tension courant explication
En regime alternatif la tension et l'intensité se retrouvent donc déphasées, quand l'une est nulle l'autre est maximum et le courant est en avance sur la tension. Pour la self c'est identique sauf que c'est le courant qui ne peut pas s'établir instantannément.
Conclusions. Le placement du condensateur a permis de diminuer le courant, sans modifier la consommation d'énergie du circuit ! Le condensateur a redressé le cos phi de l'installation, c'est un “condensateur de compensation”.
Contrairement à la puissance active qui permet de générer un travail ou de la chaleur, la puissance réactive sert à créer un champ magnétique qui va faire fonctionner certaines machines électriques dotées d'un bobinage (transformateurs, machines à induction, etc.).
Avec les conventions choisies, lorsque la puissance instantanée est positive, la charge stocke de l'énergie, puis lorsqu'elle est négative, elle la déstocke. Autrement dit, ce type de charge, purement réactive, ne consomme pas d'énergie mais fait circuler du courant entre la source (réseau) et la charge.
Pour augmenter le facteur de puissance (cosφ), il faut compenser la puissance réactive consommée par les récepteurs inductifs.