KPI est l'abréviation de Key Performance Indicator, ou indicateurs clés de performance (ICP) en français. Ces indicateurs font référence à un ensemble de mesures quantifiables utilisées pour évaluer la performance globale à long terme d'une entreprise. En soi, les KPI n'ajoutent aucune valeur à une entreprise.
On peut distinguer quatre types d'indicateurs : les indicateurs d'activité, d'efficacité, d'efficience et de performance.
Les indicateurs de gestion des ressources humaines comprennent entre autres le taux d'absentéisme, le taux d'accidents du travail, les coûts de production, la capacité de production. Ils sont indispensables pour mesurer les marges de progression des différents services de l'entreprise.
Les indicateurs clés de performance (KPI, key performance indicators) sont des mesures quantifiables qui aident les entreprises à évaluer leur progrès afin d'atteindre des objectifs importants.
Ils sont fiables par définition et étroitement adaptés au contexte du décideur, à la métrique et au type de performance à mesurer. Il semble donc évident qu'un indicateur est impérativement choisi par celui ou ceux qui devront l'utiliser.
Un « bon » indicateur, adapté à ses besoins, doit disposer de 3 qualités : Simplicité, Représentativité, Opérationnalité.
Un bon indicateur devrait être SMART: – Specific (spécifique): l'indicateur doit être clair et univoque. – Measurable (mesurable): l'indicateur doit pouvoir être mesuré à un coût approprié. – Achievable (atteignable): le seuil donné par l'indicateur doit pouvoir être atteint.
- Quantitatifs : ils sont quantifiables (ratios, chiffres, pourcentage…) ; - Qualitatifs : ils sont mesurables (satisfaction client, fidélisation…). Les objectifs de l'entreprise sont traduits en termes d'indicateurs (critères). Ces indicateurs permettent de mesurer la performance de l'entreprise.
Résumé Les indices d'activité et de chiffre d'affaires permettent de mesurer mensuellement, et de façon précoce, l'évolution de l'activité (en valeur) des entreprises relevant des secteurs concernés. Ils représentent à ce titre une information essentielle pour le suivi du cycle conjoncturel.
Pour formuler des indicateurs, voici une proposition d'une règle de base. Chaque indicateur se formule à partir de deux éléments : un mot variable et un objet spécifique. Il s'agit d'une méthode conventionnelle de formulation qui aide à bâtir des indicateurs plus spécifiques et donc plus fiables.
L'objectif définit le résultat que l'on souhaite atteindre. Il ne s'agit pas ici d'un paramètre quantifiable. L'indicateur est ensuite utilisé pour mesurer l'évolution vers l'objectif. Dans l'exemple illustré plus bas, la pauvreté est mesurée à l'aune du taux de pauvres.
L'indicateur, ou un ensemble d'indicateurs, permet de mesurer méthodiquement un résultat, une évolution ou une situation. Ainsi, l'indicateur peut être quantitatif (basé sur des éléments chiffrés) ou qualitatif lorsqu'il se rapporte à des perceptions, des opinions, des attitudes ou des valeurs.
Les indicateurs de création de valeur. Les indicateurs de création de valeur mesurent la capacité d'une entreprise à rentabiliser les fonds investis par ses propriétaires, l'entreprise créée de la valeur quand elle offre une rentabilité supérieure au coût des fonds confiés par ces derniers.
Principaux indicateurs : espérance de vie à la naissance, taux de mortalité prématurée, taux bruts et standardisés de mortalité (ICM et SMR), prévalence et incidence.
Les indicateurs de performance des ventes peuvent être quantitatifs, c'est-à-dire qu'ils se mesurent avec une valeur précise, par exemple la fréquence des interactions commerciales, les chiffres de prévision de vente, le retour sur investissement des campagnes de fidélisation, la croissance du panier moyen par client ...
Les critères qualitatifs reposent sur des appréciations. Au contraire des critères quantitatifs, ils ne sont pas quantifiables. La notoriété, l'image de marque, le bien-être des salariés, la satisfaction des clients, la qualité des services… sont des indicateurs qualitatifs.