aguets, alentours, armoiries, arrhes, annales, archives, bestiaux, condoléances, confins, décombres, dépens, doléances, ébats, entrailles, environs, fonts, frais, fiançailles, funérailles, gens, gravats, honoraires, matines, menstrues, mœurs, obsèques, pierreries, prémices, représailles, rillettes, sévices, ténèbres, ...
Les mots finissant par « -s », « -z » ou « -x » au singulier ne changent pas de forme au pluriel : Un cas, des cas. Un gaz, des gaz. Un houx, des houx.
Il y a des noms ou des adjectifs qualificatifs qui sont invariables. Ce sont des noms qui s'écrivent de la même façon au singulier et au pluriel. Ils ont en commun de se terminer tous par la lettre –s ou la lettre –x ou la lettre -z. Exemples : le bras, le tas, le mois, la souris, la noix, le nez…
Les noms funérailles et obsèques s'emploient tous deux uniquement au pluriel. Le nom funérailles désignerait une cérémonie solennelle, tandis que le nom obsèques serait plus général. Mais, comme le souligne le Multidictionnaire de la langue française, cette distinction n'est pas toujours observée.
A pluriels = abats , abois , aboutissants , accointances* , accordailles* , affres* , agapes* , agissements , agrès , aguets , ailleurs , albinos , alentours , alluvions* , ambages* , amourettes* , annales* , antirides , appas , appointements , appuie-bras , arcanes , archives* , armoiries* , arrérages , arrhes* , ...
«Filotimo», «Gattara»... Ces termes étrangers sont intraduisibles en français.
Les noms se terminant en « ou » se terminent par « ous » au pluriel comme : bisous, clous, écrous, filous, flous, gourous, mous, sous, trous, etc.
Pourquoi le mot "amour" est-il masculin au singulier mais féminin au pluriel ? On a trois mots dans la langue française qui ont cette particularité: amour, délice, orgue.
Et les lunettes au pluriel, alors ? Elles ont été inventées au Moyen Âge, probablement en Italie, quand on s'est dit qu'un verre grossissant de lunette astronomique pourrait sans doute aider les bigleux comme moi à mieux voir.
Les noms terminés par « z » sont invariables : un nez, des nez.
La forme correcte est : Je n'ai pas faim. Marielle ne mange aucun légume. L'erreur à l'écrit se produit particulièrement lorsque le mot qui précède le verbe se termine par la lettre n ou le son [n].
En effet, à la place de bisou , on peut dire : une baise (terme du nord de la France), un bécot (moins utilisé de nos jours), un poutou (venant à l'origine de l'ouest de la France).
Boussa signifie "bisou" en arabe.
Synonyme : – Argotique : baveux, palot, smack. – Familier : bec, bécot, bise, bisou, bizou, mimi, poutou. – Populaire : patin, pelle.
Synonyme : afin de, dans le but de, dans l'intention de, de manière à, en vue de. 2. Désigne ce dont on prend la défense.
Attention à la confusion ! Hein ? L'interjection « hein » (huh en anglais) et le mot le plus universel du monde, selon une étude de l'institut Max-Planck de psycholinguistique. Utilisé pour qualifier la surprise ou un problème d'incompréhension, il est identique dans 31 langues différentes.
Les noms qui se terminent en -s, -x et -z ne prennent pas la marque du pluriel.
Un caillou, des cailloux. Un chou, des choux. Un genou, des genoux. Un hibou, des hiboux.
Pour former le pluriel des noms qui se terminent par –au, –eau et –eu, il faut ajouter un x à la fin du nom singulier : un chameau, des chameaux. ATTENTION. – Quatre noms font exception à cette règle ; il s'agit des noms landau, sarrau, bleu et pneu, auxquels on ajoute plutôt un s.