Les principaux auteurs et penseurs structuralistes sont : Claude Lévi-Strauss, Louis Althusser, Jacques Lacan, Michel Foucault et Jacques Derrida.
Claude Lévi-Strauss, anthropologue, père du structuralisme.
L'œuvre de Claude Lévi-Strauss est évidemment liée à un vaste mouvement d'idées né dans les années 1960 et que l'on a appelé le structuralisme.
Courant de pensée des années 1960, visant à privilégier d'une part la totalité par rapport à l'individu, d'autre part la synchronicité des faits plutôt que leur évolution, et enfin les relations qui unissent ces faits plutôt que les faits eux-mêmes dans leur caractère hétérogène et anecdotique.
Critiques du structuralisme. Il y a eu une tentative de généralisation du langage, c'est-à-dire de ramener tout ce qui touche l'homme à des effets de langage. Mais aussi, à un langage lui-même ramené à la syntaxe et peut-être finalement à une unique « structure du symbolique ».
Le structuralisme tire son origine du Cours de linguistique générale (1916) de Ferdinand de SAUSSURE qui envisage d'étudier la langue comme un système dans lequel chacun des éléments n'est définissable que par les relations d'équivalence ou d'opposition qu'il entretient avec les autres.
Le rapport entre le fonctionnalisme et le structuralisme s'établit ici : l'action causale des parties sur le tout est structural ; l'action causale exercée par un phénomène social sur le tout social est elle-même déterminée par le tout social, est fonctionnelle.
Malgré les efforts de Fechner pour ancrer la psychologie au sein des sciences exactes, il revient plutôt à Wilhelm Wundt (1832-1920) d'avoir promu la psychologie en tant que discipline scientifique autonome.
Or le premier critère du structuralisme, c'est la découverte et la reconnaissance d'un troisième ordre, d'un troisième règne : celui du symbolique. C'est le refus de confondre le symbolique avec l'imaginaire, autant qu'avec le réel, qui constitue la première dimension du structuralisme.
I La Linguistique et ses écoles
On y trouve les linguistiques structurales proprement dites (fonctionnalisme, distributionnalisme, psychosystématique, générativisme reliés au structuralisme à des degrés divers) et les linguistiques énonciatives qui en découlent.
Le « signe » est le fondement de la linguistique structurale, et comprend deux composants : un « signifié » est une idée ou un concept, le « signifiant » est un moyen d'exprimer le signifié. Le « signe » est donc la combinaison du signifiant et du signifié.
Le structuralisme est un ensemble de courants de pensée holistes apparus principalement en sciences humaines et sociales au milieu du XX e siècle, ayant en commun l'utilisation du terme de structure entendue comme modèle théorique (inconscient, ou non empiriquement perceptible) organisant la forme de l'objet étudié ...
Ce que appelle champ du pouvoir est un lieu de mise en rapport de champs et de capitaux divers : c'est là où s'affrontent les dominants des différents champs, "un champ de luttes pour le pouvoir entre détenteurs de pouvoirs différents 5".
Courant philosophique qui part des relations pour penser les éléments constitutifs d'un domaine d'étude donné : le structuralisme pense les sujets et les objets non pas à partir de leur supposée nature, mais à partir des liens (entre eux, avec leur environnement, par rapport au système dans lequel ils évoluent...) qui ...
structuralisme
Courant de pensée des années 1960, visant à privilégier d'une part la totalité par rapport à l'individu, d'autre part la synchronicité des faits plutôt que leur évolution, et enfin les relations qui unissent ces faits plutôt que les faits eux-mêmes dans leur caractère hétérogène et anecdotique.
Le structuralisme vise à analyser les éléments de base ou la structure d'une expérience mentale consciente. Leurs études se sont concentrées sur l'investigation des processus de pensée et la structure de l'esprit. Les éléments d'une expérience consciente peuvent être des sensations ou des émotions.
Le mot psychanalyse, apparu en 1896 sous la plume de Sigmund Freud, ne désigne d'abord qu'un mode d'exploration de l'inconscient. Il devient ensuite une technique thérapeutique, puis une nouvelle théorie du psychisme humain, fondée sur l'idée d'un inconscient dominé par la pulsion sexuelle.
Fondée par Kurt Lewin, la théorie cognitive consiste à montrer que la perception qu'ont les individus sur les évènements constitue ce qui pèse le plus sur leurs comportements, démontrant ainsi que les constructions mentales influent sur les conduites des individus.
Sigmund Freud
Il est très probablement le psychologue le plus connu au monde.
Théodule Ribot (1839-1916) est généralement considéré comme le fondateur de la psychologie en France. Sigmund Freud (1856-1939) est le fondateur de la psychanalyse. Heinz Hartmann (1894-1970) est considéré comme le fondateur de l'Ego-psychology, courant devenu important aux États-Unis.
Le père de la psychologie est né en Allemagne en 1832 et s'appelait Wilhelm Wundt.
L'orientation synchronique du structuralisme (on étudie un état de langue et non le devenir d'une langue, son évolution diachronique) découle de ce premier principe : les sujets parlants ignorent les lois d'évolution de la langue qu'ils parlent ; ils obéissent à des contraintes de structure « actuelles ».
Au sens large, le terme « fonctionnalisme » désigne un modèle d'analyse dans lequel les faits sociaux sont appréhendés selon la fonction qu'ils remplissent dans un système plus global.
On regroupe sous le terme « fonctionnalisme » un ensemble de courants qui, insistant sur le rôle essentiel de la langue comme instrument de communication, se donnent pour objectif de caractériser dans cette perspective les diverses fonctions des éléments linguistiques.