Quelques exemples suffiront à mettre en lumière la structure de cette prière : Ps 9,3 : « Je te louerai (ἐξομολογήσομαί σοι) de tout cœur / je raconterai (διηγήσομαι) toutes tes merveilles / je me réjouirai et j'exulterai (ἀγαλλιάσομαι) en toi/je jouerai en l'honneur de ton nom, Très Haut / parce que... » (cf.
L'action de grâce est, selon le lexique de la Conférence des évêques de France, « une attitude de reconnaissance envers Dieu » : l'homme « comblé de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans le Christ » reconnaît de quel amour il est aimé de Dieu et l'en remercie.
Le texte du Psaume 90 a une portée rhétorique. Comme on peut le voir, au v. 13, le même verbe shûb du v. 3, qui sert pour inviter l'homme à revenir auprès de Dieu, est utilisé comme une prière pour demander à Dieu de revenir auprès de son peuple.
D'abord dire comme le psalmiste : « sauve-moi dans ton nom ». Crier à Dieu est très bien et lui demander le salut la meilleure des choses, Dieu n'est pas sourd, et il sauve. Mais plus précisément Dieu peut nous sauver, « dans son nom », c'est une indication très importante.
Le psaume 35 (34 selon la numérotation grecque) est un psaume qui exprime la prière d'une personne persécutée.
Pour prier ce psaume, on peut suivre plusieurs pistes. Il invite à rejoindre la prière du Christ qui met sa confiance en son Père. Les versets 22-23 résument ce passage de la mort à la vie : 'La pierre rejetée des bâtisseurs est devenue pierre d'angle. C'est là l'œuvre du Seigneur, une merveille à nos yeux'.
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu'au verset 11 est constituée d'une hymne et d'un développement de l'expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.
Il aurait été écrit par le roi David, qui demandait pardon auprès de Dieu après qu'il eut séduit Bethsabée, la femme d'un de ses officiers, Urie le Hittite, en profitant d'une de ses absences.
Ce psaume est chanté pour demander de l'aide à celui qui a créé la vie, pour être protégé durant le voyage souvent long, pénible et potentiellement dangereux. 4- Voici ! Il ne sommeille ni ne dort, celui qui garde Israël.
L'Action de grâce (en anglais : Thanksgiving) est célébrée au Canada le deuxième lundi d'octobre pour célébrer les récoltes et rendre grâce des bonheurs reçus pendant l'année.
Il distingua notamment trois formes de grâce intervenant dans le processus de salut : la grâce prévenante (préparatrice), la grâce justifiante (régénératrice et résistible), et la grâce sanctifiante (accompagnante jusqu'au salut final).
Comme les pionniers, nous devons remercier Dieu de l'adversité que nous rencontrons et prier pour être guidés pour l'affronter. Grâce à cette attitude et par notre foi et notre obéissance, nous ferons s'accomplir les promesses que Dieu nous a faites. Tout cela fait partie du plan.
Ô mon Dieu ! Je te demande pour moi et pour ceux qui me sont chers la grâce d'accomplir parfaitement ta sainte volonté, d'accepter pour ton amour les joies et les peines de cette vie passagère afin que nous soyons un jour réunis dans les cieux pendant toute l'éternité.
Donne toi-même, Seigneur, à l'âme de ton serviteur défunt (NOM) le repos dans un lieu lumineux, verdoyant et frais, loin de la souffrance, de la douleur et des gémissements. Que le Dieu bon et miséricordieux lui pardonne tous ses péchés commis en parole, en action et en pensée.
Ce psaume montre que cet amour fraternel est à la fois ce qui est "bon", c'est le bien par excellence, et aussi, que "c'est là que l'Eternel donne la bénédiction et la Vie éternelle", ce qui n'est pas rien.
Origène a exploité la notion d'alphabet en la croisant avec le thème du respect de la Loi, thème central dans le psaume 119 : selon lui, de la même manière que l'alphabet est le commencement de l'apprentissage humain, le respect de la Loi est le point de départ de tout enseignement religieux.
Le psaume associe l'homme à la gloire de Dieu. Sous le firmament, l'homme est à l'abri des forces du mal. La relation privilégiée entre l'homme et Dieu se décline sous trois thèmes : le souvenir, la prise en charge et l'exaltation.
Le psaume 103 (102 selon la numérotation grecque) est attribué à David. C'est une hymne à la bonté de Dieu, difficile à classer, et de datation probablement tardive car on y trouve des mots araméens.
Le psaume 67 (66 selon la numérotation grecque) exprime l'universalité de la louange due à Dieu. Il a les mêmes indications que le psaume 68, et on peut le ranger dans le groupe des psaumes 65 à 68, qui sont destinés à la louange et à l'action de grâce, avec les instruments à cordes.
Jésus, par cette parole en exergue du psaume, entend rappeler dans son râle de mourant non pas un terrible doute envers Dieu mais au contraire l'immense espoir de la résurrection.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.
Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l'émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.