Ces stades sont : l'intelligence sensori-motrice du bébé (0-2 ans), fondée sur ses sens et ses actions, puis l'intelligence logique conceptuelle (nombre, catégorisation, raisonnement), d'abord concrète chez l'enfant (vers 7 ans), puis abstraite chez l'adolescent (vers 12-14 ans) et l'adulte.
Pour Piaget, il existe indéniablement une base biologique au développement de l'intelligence, qui prend la forme de mécanismes fonctionnels, existants chez l'être humain dès la naissance. Cela ne veut pas dire que l'être humain dispose dès la naissance de structures cognitives préprogrammées.
Selon Vygotski, l'étude du développement des fonctions psychiques supérieures impose la prise en compte de leur ancrage historique et culturel : le développement des fonctions psychiques supérieures résulte de l'évolution historique et culturelle de la société.
Wallon considère l'individu en tant que personne. Considérer l'individu dans sa globalité et sa complexité consiste à prendre en compte plusieurs dimensions du fonctionnement humain : l'affectivité, l'acte moteur, la connaissance et la personne.
L'intelligence désigne communément le potentiel des capacités mentales et cognitives d'un individu, animal ou humain, lui permettant de résoudre un problème ou de s'adapter à son environnement. Elle se résume souvent au cerveau.
L'intelligence sensori-motrice est l'activité ordonnatrice et auto-organisée grâce à laquelle le sujet structure ses actions et les milieux avec lesquels il interagit, de manière à atteindre les buts qu'il se fixe.
On distingue classiquement : le stade oral, le stade anal et le stade phallique.
Pour Jean Piaget, l'intelligence n'est pas une faculté mentale parmi d'autres, mais une modalité d'une fonction plus générale: "l'adaptation". Il la définit comme l'état d'équilibre maximum entre un organisme vivant et le milieu. Cette adaptation s'acquiert selon différentes formes ou structures.
Le développement cognitif fait référence à l'évolution de fonctions comme l'intelligence, la mémoire, le langage ou la numération. Chez l'enfant, l'interaction avec l'environnement physique et socioculturel est particulièrement importante pour un bon développement cognitif.
L'intelligence artificielle symbolique désigne l'ensemble des approches et techniques en intelligence artificielle qui sont fondées sur des représentations « symboliques » (c'est-à-dire lisibles par l'homme).
Notre intelligence
Les chercheurs ont en tout cas émis des hypothèses sur les causes de cette baisse du QI : l'alimentation, le système éducatif, et l'usage des écrans.
L'hérédité reste donc un déterminant important de l'intelligence dans la seconde partie de la vie. Les données recueillies confirment le faible rôle joué sur le développement intellectuel par l'environnement commun, ainsi que par l'âge à la séparation, donc par le temps passé avec la mère biologique avant l'adoption.
La sapiosexualité est une préférence sexuelle. Une personne sapiosexuelle est une personne qui est attirée par quelqu'un en fonction de son intelligence et non pas de son apparence physique.
Selon ce système de classification, il existe quatre types d'IA ou de systèmes basés sur l'IA : les machines réactives, les machines à mémoire restreinte, la théorie de l'esprit et l'IA auto-explicative.
Les plus fréquemment admises sont les aptitudes mentales primaires (aptitudes verbales, numériques, spatiales), le raisonnement et la fluidité. D'autres auteurs enfin ont défini l'intelligence comme la forme la plus élaborée de l'adaptation de l'être humain à son environnement.
Les stades impulsif et émotionnel (de 0 à 3 mois, puis de 3 mois à 1 an) Le stade sensori-moteur et projectif (de 1 à 3 ans) Le stade du personnalisme (de 3 à 6 ans) Le stade catégoriel (de 6 à 11 ans)
D'une manière générale, on peut diviser le développement humain en quatre stades principaux : 1° Première enfance, 2° Latence, 3° Adolescence, 4° Age adulte. Erik Erikson (1962) a développé cette classification, situant davantage la théorie du développement psycho-sexuel dans le contexte de l'environnement social.