La science et la philosophie furent longtemps inséparables. Dans l'Antiquité, la philosophie représentait la science suprême, celle « des premiers principes et des premières causes ». Les autres sciences, et notamment la physique, recevaient d'elle leurs fondements.
Ils sont de deux sortes: la philosophie reçoit des autres sciences et leur donne. La philosophie emprunte aux autres sciences un grand nombre de faits sur lesquels elle réfléchit et qui servent à faciliter l'explication de son objet.
Dans un premier temps, la science se trouve purement et simplement assimilée à la philosophie, dans la mesure même où cette dernière se veut recherche systématique de la vérité, ce qui implique une démarche de rupture avec l'opinion (doxa), c'est-à-dire l'ensemble des « préjugés » qui nous tiennent lieu ordinairement ...
La différence entre la science et la philosophie est que la science étudie la réalité de manière méthodique, tandis que la philosophie la réfléchit à travers le raisonnement et la logique. Par conséquent, chacun a un objectif différent.
La philosophie est une science mise au service d'une autre science suprême : la science du Bien. Elle n'est réductible ni à des procédés techniques ni à des opinions individuelles : elle se réfère à une Norme intelligible. Elle est la science du bon usage de ce qu'on sait : telle est la thèse de Platon.
En conclusion, il est clair que la philosophie et la science n'ont pas les mêmes notions et surtout ne peuvent être enseignés de la même façon. Le but à atteindre ne sera jamais pareil dans les deux cas et les chances de les atteindre ne le sont pas non plus.
L'épistémologie, au contraire, s'appuie sur l'analyse de chaque discipline particulière relevant des épistémologies dites « régionales ». L'épistémologie permettra la reconnaissance de la science et des sciences comme disciplines autonomes par rapport à la philosophie.
La philosophie ne contribue en rien au progrès scientifique. Mais la science ne peut pas, d'un point de vue méthodologique et éthique, se passer de la philosophie. La philosophie ne peut pas prétendre à la même rigueur que la science.
Philosophie et science peuvent être complémentaires l'une à l'autre. La méthode de pensée philosophique, ainsi que la méthode scientifique, exige une réflexibilité qui permettrait à un raisonnement de contester un autre mais aussi d'être contesté.
La philosophie est une des disciplines des sciences humaines, elle appartient au champ d'investigation des sciences. Elle ne peut donc en aucun cas se substituer au territoire auquel elle appartient.
La science apporte des solutions aux défis de la vie courante et nous aide à répondre aux grands mystères de l'univers. En d'autres termes, la science est l'une des voies les plus importantes de la connaissance.
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
La philosophie n'est pas un système de propositions, elle n'est pas une science. Mais qu'est-elle alors? Certes pas une science, mais néanmoins quelque chose d'une si grande importance que l'on pourra continuer à la vénérer, dans le futur comme par le passé, comme la reine des sciences.
La première valeur de la science est connue de tous. La connaissance scientifique nous permet de faire et de réaliser toutes sortes de choses. Bien sûr, si nous faisons de bonnes choses, ce n'est pas seulement au bénéfice de la science, c'est aussi au bénéfice du choix moral qui nous a conduits à un bon travail.
La philosophie n'est pas une théorie mais une activité. Une œuvre philosophique se compose essentiellement d'éclaircissements.
Phénarète ou Phaenarete (en grec ancien : Φαιναρέτη / Phainarétē) est la mère du philosophe athénien Socrate et de son demi-frère Patroclès.
Il est l'inventeur de la philosophie mais n'a pas écrit une ligne. On ne le connaît que par ses épigones. Souvent le portrait est élogieux.
Les premières traces d'activités scientifiques datent des civilisations humaines du néolithique où se développent commerce et urbanisation. Ainsi, pour André Pichot, dans La Naissance de la science, la science naît en Mésopotamie, vers - 3500, principalement dans les villes de Sumer et d'Élam.
La civilisation mésopotamienne aboutit ainsi à la constitution des premières sciences telles : la métrologie (La métrologie est la science de la mesure au sens le plus large.), très adaptée à la pratique, l'algèbre.
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
La science a permis, aux niveaux technologique, physique, chimique, astronomique et biologique, d'enregistrer certains acquis, considérés jadis comme impossibles, qui ont permis à l'homme d'évoluer et d'avancer pour progresser et améliorer sa qualité de vie.
La science, aujourd'hui, est devenue partie intégrale de notre vie. Les connaissances que nous possédons et les technologies mises au point proviennent à peu près tous de la science. Sommes-nous plus heureux à l'aide de celle-ci.
On dit que la philosophie est la mère des sciences parce qu'elle existe depuis très longtemps. C'étais la seule science qui regroupait toutes les autres (la magie, la médecine, l'astrologie, la nature...) De plus, les sciences cherchent à comprendre ce qui nous entoure, contrairement aux croyances.