Qu'est-ce que le risque de contrepartie ? Quelqu'un achète et quelqu'un vend : le risque de contrepartie, se manifeste lorsque la défaillance de l'autre partie l'empêche de respecter ses engagements en occasionnant une perte financière. Ce défaut peut être volontaire ou dû à l'impossibilité (faillite, etc.)
Un risque de contrepartie est un risque de défaillance d'un emprunteur qui ne peut plus rembourser sa dette dans son intégralité. Toute personne qui accorde un crédit prend un risque de contrepartie.
Un risque financier est un risque de perdre de l'argent à la suite d'une opération financière (sur un actif financier) ou à une opération économique ayant une incidence financière (par exemple une vente à crédit ou en devises étrangères).
La contrepartie financière (ou indemnité compensatrice) est versée par l'employeur au salarié qui s'engage à ne pas faire concurrence à son ancien employeur à la fin de son contrat de travail. Si le salarié ne respecte plus la clause, l'employeur peut interrompre le versement de la contre-partie.
Le risque de liquidité pour un investisseur
En effet, un investisseur souhaitant vendre sa position peut rencontrer des difficultés à trouver une contrepartie acheteuse disponible au prix de marché (une difficulté d'autant plus grande que sa taille de position est importante et que les volumes échangés sont faibles).
La contrepartie est la partie opposée. Par exemple, l'acheteur est la contrepartie du vendeur et, en même temps, le vendeur est la contrepartie de l'acheteur. La même chose se produirait dans un prêt. Ainsi, l'emprunteur est la contrepartie du prêteur et inversement.
L'indemnité constituant la cause de l'obligation de non-concurrence, une contrepartie financière dérisoire équivaut à une absence de contrepartie rendant la clause nulle (Cass. soc.
– Un contrat à titre onéreux est nul lorsque, au moment de sa formation, la contrepartie convenue au profit de celui qui s'engage est illusoire ou dérisoire ».
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
La trésorerie d'une entreprise peut faire face à 2 grands types de risques spécifiques : Les risques de taux, quand la variation des taux d'intérêt peut impacter la valeur des placements ou des dettes de trésorerie. Les risques de change, quand la société a de la trésorerie dans plusieurs monnaies.
1Le risque de défaillance, dit aussi de faillite, ou encore d'illiquidité, est un risque majeur car, à la différence du risque de perte, il est sanctionné juridiquement ; une entreprise qui fait des pertes peut continuer ses activités tant qu'elle est en mesure de payer ses dettes ; en revanche, le fait de cesser ses ...
Le comité de Bâle définit le risque opérationnel comme le risque de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ou d'événements externes. Ces risques correspondent aux erreurs du personnel, à la défaillance des systèmes, des risques technologiques, etc.
Les principaux risques de marché sont de quatre ordres : risque de taux, risque de change, risque actions, et risque matières premières.
Ce qui sert à compenser, à équilibrer quelque chose ; ce que l'on fournit en échange de quelque chose ; compensation : Vous aurez la contrepartie financière de la perte de temps subie. 2.
Définition du terme Contrepartie
Il est plus souvent employé pour désigner la prestation qui constitue la cause juridique de l'obligation que le signataire d'un contrat synallagmatique s'engage à fournir.
Le montant de la contrepartie financière
Ce montant est généralement calculé sur la base du salaire des trois ou douze derniers mois. L'employeur doit seulement veiller à ce que ce montant ne soit pas dérisoire.
A noter que la clause de non-concurrence, pour être valable, doit être : Limitée dans l'espace à un secteur géographique précis ; Limitée dans le temps à une durée précise ; Et assortie d'une compensation financière, dite indemnité de non-concurrence, prévue à l'avance.
les FIA : sont par exclusion, tous les fonds d'investissements collectifs qui ne sont pas conformes à la directive OPCVM. Ils sont des organismes de placement collectif qui lèvent des capitaux auprès d'au moins deux investisseurs en vue de les investir avec une politique définie.
La gestion active a pour objectif de « surperformer » l'indice de référence d'un portefeuille, appelé également le benchmark. On oppose la gestion active à la gestion passive (indicielle) dont le but est de répliquer les performances d'un benchmark (le SBF 120).