Le risque de crédit est assimilable aux pertes potentielles qu'une banque endosse dès qu'elle prête de l'argent à un agent économique. Si le débiteur, qu'il s'agisse d'un particulier ou d'une entreprise, ne parvient pas à rembourser sa dette à échéance, la banque perdra une partie des fonds qu'elle prête à tempérament.
Un risque financier est un risque de perdre de l'argent à la suite d'une opération financière (sur un actif financier) ou à une opération économique ayant une incidence financière (par exemple une vente à crédit ou en devises étrangères).
Le crédit sert à financer des opérations sur les marchés financiers qui peuvent être très rentables car fondées sur un fort effet de levier grâce aux crédits bancaires mais aussi très risquées, déstabilisantes et dont l'utilité sociale n'est pas toujours bien établie.
Un crédit est une avance de somme d'argent. Vous devez vous assurer de votre capacité de remboursement et prendre en compte la durée de votre engagement. Il existe différents types de crédit : La banque cherchera avec vous la formule la plus adaptée à votre situation.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
La gestion des risques bancaires est réalisée par des experts formés et diplômés qui, après estimation de ces mêmes risques, effectuent les placements les plus avantageux possible. De leur côté, les établissements bancaires doivent se conformer à des normes sécurisantes telles que celles des Accords de Bâle.
Le risque opérationnel correspond aux pertes potentielles résultant de lacunes ou de défauts attribuables aux ressources humaines et matérielles : procédures des systèmes internes défaillants, événements déclencheurs externes, fraudes, etc.
Qu'est-ce que le risque stratégique ? Les risques stratégiques désignent les risques qui affectent une stratégie de gestion de l'entreprise ou les objectifs stratégiques. Ces risques peuvent être des incertitudes ou des opportunités et ils correspondent généralement aux problèmes clés qui préoccupe la direction.
Ce dernier est défini comme le risque de sanction – notamment administrative –, de perte financière ou encore d'atteinte à la réputation qui naît du non-respect des dispositions propres aux activités bancaires et financières.
Qu'est-ce que le risque de contrepartie ? Quelqu'un achète et quelqu'un vend : le risque de contrepartie, se manifeste lorsque la défaillance de l'autre partie l'empêche de respecter ses engagements en occasionnant une perte financière. Ce défaut peut être volontaire ou dû à l'impossibilité (faillite, etc.)
Demander les comptes annuels
Les credit managers demandent souvent les comptes annuels de l'entreprise pour évaluer sa solvabilité. Le plus souvent, ils comparent ceux des trois dernières années. Mais attention : les comptes annuels fournissent par définition des informations vieillies et manipulées.
Le risque de crédit désigne une éventualité de non-remboursement d'une dette contractée par un emprunteur auprès d'un établissement bancaire. La bonne gestion de ce risque est un enjeu majeur, car il y va de la survie de l'établissement bancaire.
Le risque de liquidité correspondrait à la probabilité de survenance de l'état d'illiquidité. Borio (2000), Strahan (2008) et Brunnermeier et Pedersen (2009) définissent la liquidité de financement comme la capacité à obtenir du cash à court terme soit par la vente d'actifs, soit par un nouvel emprunt.
On distingue par exemple les risques individuels des risques collectifs, les risques militaires des risques civils, les risques économiques/financiers des risques sociaux et des risques politiques, les risques professionnels (monde du travail) des risques de la vie courante (sphère privée), les risques technologiques ...
risque zéro l.m.
Risque considéré comme nul. Celui qui entreprend ou suscite une action considère qu'il prend un risque nul lorsqu'il espère ne prendre aucun risque en accomplissant cette action.
L'analyse crédit étudie la situation financière des prospects de la banque et en optimise les garanties. - Etudier la solvabilité de l'entreprise emprunteuse par l'analyse des bilans et documents financiers, sur la base de ratios financiers mais aussi d'analyses économiques.
De fait, la banque doit alors faire principalement face à deux types de risques : le risque de marché et le risque de contrepartie. Le risque de marché est issu des positions prises par la banque.
L'élément déterminant pour une saine gestion du portefeuille consiste à accorder des prêts aux personnes ou aux entités qui présentent les capacités de remboursement nécessaires, et les refuser aux autres. L'étude attentive du risque de crédit par l'IMF est fondamentale.
Cachez le clavier du terminal ou du distributeur lors vous effectuez une opération ; Signez votre carte bancaire dès sa réception. Vous éviterez ainsi qu'un fraudeur appose sa propre signature en cas de perte ou de vol par exemple ; Surveillez vos relevés de compte régulièrement.
Le risque de change est un risque auquel s'expose tout investisseur se portant acquéreur d'un actif libellé dans une autre devise que celle ayant cours légal dans son pays.
Le risque de non-conformité est défini par le Comité de Bâle 1 comme un risque de sanction judiciaire, administrative ou disciplinaire, de perte financière, d'atteinte à la réputation, du fait de l'absence de respect des dispositions législatives et réglementaires, des normes et usages professionnels et déontologiques, ...
La contrepartie financière (ou indemnité compensatrice) est versée par l'employeur au salarié qui s'engage à ne pas faire concurrence à son ancien employeur à la fin de son contrat de travail. Si le salarié ne respecte plus la clause, l'employeur peut interrompre le versement de la contre-partie.