La nature des risques et leurs impacts évoluent sans cesse dans les banques. Le règlement (UE) n°575/2013 a identifié d'autres risques comme : les risques de base, les risques de dilution, les risques de titrisation, les risques liés au modèle ou encore les risques de levier excessif.
Le risque de taux ou de taux d'intérêt est le risque financier qu'un produit perde de la valeur à la suite d'une diminution ou d'une augmentation des taux d'intérêts. Pour les particuliers, le fait d'emprunter à taux variable présente un risque de taux.
Les risques financiers liés à l'activité courante des entreprises sont au nombre de trois : le risque opérationnel, le risque de liquidité et le risque de crédit/contrepartie.
La gestion du risque de crédit consiste à limiter les pertes en vérifiant si les fonds propres d'une banque sont en adéquation avec ses provisions pour pertes de crédit attendues à un moment donné, processus qui donne depuis longtemps du fil à retordre aux établissements financiers.
Plusieurs causes sont à l'origine d'une crise d'illiquidité pour une banque : une situation d'insolvabilité déjà installée qui se répercute sur la liquidité, des difficultés à mobiliser des liquidités pour des raisons liées à l'activité ou quand la Banque centrale exerce une contrainte, ou un risque de marché.
L'évaluation du profil de risque des établissements au regard du risque de crédit est réalisée par un examen de la nature et de la qualité de leur portefeuille de crédit.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
La trésorerie d'une entreprise peut faire face à 2 grands types de risques spécifiques : Les risques de taux, quand la variation des taux d'intérêt peut impacter la valeur des placements ou des dettes de trésorerie. Les risques de change, quand la société a de la trésorerie dans plusieurs monnaies.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
le risque lié à l'inflation; le risque lié au marché Votre revenu est lié au rendement d'un placement en titres de participation (comme une action ou un indice boursier). Vous ne perdrez cependant pas d'argent si vous conservez le placement jusqu'à son échéance.
On appelle risque systémique le risque qu'un événement particulier entraîne par réactions en chaîne des effets négatifs considérables sur l'ensemble du système pouvant occasionner une crise générale de son fonctionnement.
Le risque de liquidité correspondrait à la probabilité de survenance de l'état d'illiquidité. Borio (2000), Strahan (2008) et Brunnermeier et Pedersen (2009) définissent la liquidité de financement comme la capacité à obtenir du cash à court terme soit par la vente d'actifs, soit par un nouvel emprunt.
Les principaux risques de marché sont de quatre ordres : risque de taux, risque de change, risque actions, et risque matières premières.
Le tableau de bord est un outil de pilotage d'une entreprise constitué de plusieurs indicateurs de performance et qui a pour principales vocations d'anticiper les évolutions prévisibles et d'inciter le chef d'entreprise à prendre des décisions.
Parmi d'autres risques, on peut trouver : les risques environnementaux, y compris les catastrophes naturelles. la gestion des risques des employés, telle que la conservation d'un nombre suffisant de membres du personnel et de remplaçants, la sécurité des employés et des compétences à jour.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
risque zéro l.m.
Risque considéré comme nul. Celui qui entreprend ou suscite une action considère qu'il prend un risque nul lorsqu'il espère ne prendre aucun risque en accomplissant cette action.
Le comité de Bâle définit le risque opérationnel comme le risque de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ou d'événements externes. Ces risques correspondent aux erreurs du personnel, à la défaillance des systèmes, des risques technologiques, etc.
En France, le contrôle des banques et des assurances est exercé par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). L'ACPR est une autorité administrative dont le code monétaire et financier établit l'indépendance pour l'exercice de ses missions et l'autonomie financière.
Ainsi, le rôle de la Commission bancaire s'étend bien au-delà du simple contrôle du respect, par les établissements de crédit, des normes prudentielles. La Commission bancaire dispose d'un secrétariat général auquel elle donne des instructions pour effectuer le contrôle des établissements.