D'abord, le cloud computing augmente le risque de perte de données. En effet, une simple suppression accidentelle ou la fermeture du service peut bloquer l'accès à des documents importants. L'affaire Megaupload illustre bien les dangers de cette technologie.
Ci-dessous sont développés trois principaux risques liés à la sécurité du cloud. La surface d'attaque est l'exposition totale d'un environnement. L'adoption de microservices peut conduire à une explosion de la charge de travail publiquement disponible. Chaque charge de travail ajoute à la surface d'attaque.
L'une des plus grandes menaces pour la sécurité du cloud est liée à l'erreur humaine : il s'agit d'une mauvaise configuration des paramètres de sécurité. Ceci peut provoquer une exposition ou une fuite de données.
Par le passé, les principales menaces planant sur le Cloud étaient les attaques DDoS, la perte de données, les malwares ou encore les failles de sécurité.
Les risques d'attaque et de perte de confidentialité sont augmentés car selon le système utilisé, l'entreprise ne pourra pas forcément travailler ou disposer de ses données hors réseau, Le retour à un service informatique « internalisé » est souvent coûteux et complexe.
L'un des principaux enjeux du Cloud Computing est, comme dans toute stratégie d'externalisation, d'ordre financier. Dès le départ, il exonère l'entreprise d'un investissement (parfois lourd) en achat de licences et de matériels : des économies facilement et rapidement mesurables.
Risque de violation des données : L'un des principaux inconvénients du stockage en nuage est le risque de violation des données. Les données étant stockées sur des serveurs distants, elles sont vulnérables au piratage et à d'autres cyberattaques.
Ces données peuvent être revendues à des concurrents ou bien être utilisées contre l'entreprise à des fins malveillantes. La sécurité et la confidentialité des données peuvent être insuffisantes à cause d'une mauvaise gestion des droits d'accès, de mots de passe peu sécurisés, de piratages etc.
Les informations contenues dans le cloud sont exposées aux cyberattaques et aux piratages informatiques. Les personnes à l'origine de ses actions tentent d'exploiter les failles de sécurité du cloud pour lancer des attaques dans le but d'interrompre les services ou de mettre la main sur des données sensibles.
Oui, notamment si les accès physiques des datacenters sont sécurisés. Afin que seules les personnes autorisées puissent pénétrer dans le datacenter, on maintient un contrôle strict des accès.
Il existe quatre principaux types de cloud computing : cloud public, cloud privé, cloud hybride et multicloud. Il existe aussi trois principaux types de services de cloud computing : IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) et SaaS (Software-as-a-Service).
L'utilisation de VPN est également très populaire. D'autre part, les fournisseurs d'accès doivent assurer une sécurité accrue du Cloud grâce à des outils de défense qui détectent et bloquent les tentatives d'accès non autorisées et les logiciels malveillants.
Le numérique émet 3,9% des gaz à effet de serre du monde[4]. C'est plus que le transport aérien civil. D'ici 2025, ce chiffre pourrait doubler. La consommation d'énergie des centres de données passera d'environ 200 térawattheures (TWh) par an à près de 3 000 TWh/a en 2030[8].
Les données dans un Cloud Public
Les fournisseurs mettent en place des mécanismes de sécurité pour garantir la confidentialité des données ainsi que des droits d'accès. Dans cette configuration, les données sont stockées généralement dans de grands centres de données.
pCloud et kDrive représentent deux des meilleures solutions pour ceux qui cherchent une solution cloud professionnelle. Les deux services ont leurs forces et leurs faiblesses. À vous donc de définir quels sont vos besoins et de voir qui y répond le mieux.
Le cloud le plus sécurisé en 2023 est celui proposé par pCloud. Cette entreprise basée en Suisse offre des plans pour les particuliers et les entreprises.
Les données stockées dans un cloud privé restent entièrement sous le contrôle de l'entreprise. Les clouds privés sont souvent utilisés pour les applications critiques et sécurisées, car ce modèle est celui qui répond le mieux aux préoccupations de nombreuses entreprises en matière de confidentialité et de sécurité.
Inconvénients : Le plus gros point faible de OneDrive, c'est la limite du stockage. Pour lever cette limite, il faut obligatoirement souscrire à Microsoft 365.
La réponse de Cécile Dard: Le mot Cloud est le mot générique qui désigne l'espace de stockage à l'extérieur de votre ordinateur et auquel vous accédez par internet. OneDrive est le nom du Cloud de Microsoft, tous les constructeurs, éditeurs et opérateurs internet en proposent (voir notre article).
Enfin, le développement exponentiel du cloud computing génère un impact énorme sur la consommation mondiale d'électricité et génère lui aussi du dioxyde de carbone : ce secteur pourrait, d'ici 2025, consommer 20% de l'électricité mondiale et émettre 5% de CO2 selon une récente étude suédoise.
Le cloud computing (en français, « informatique dans les nuages ») fait référence à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul des ordinateurs et des serveurs répartis dans le monde entier et liés par un réseau.