Causes de la colite : constipation, médicaments, stress...
Quand elle est aiguë, la colite peut être causée par : la consommation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, une infection bactérienne, virale ou parasitaire. la première poussée de maladie inflammatoire chronique (rectocolite hémorragique ou maladie de Crohn) ...
Quel est le risque de complication ? Affectant l'ensemble du côlon, la pancolite est une forme grave de colite. En l'absence d'un traitement médical adéquat, le développement de l'inflammation peut entraîner des effets néfastes pour la santé. Une pancolite augmente notamment le risque de cancer du côlon.
la douleur abdominale est le symptôme le plus fréquent. Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.
De nombreux experts recommandent l'association de métronidazole et de ciprofloxacine. La rifaximine, un antibiotique non absorbable, à la dose de 200 mg par voie orale 3 fois/jour ou 800 mg par voie orale 2 fois/jour, peut également constituer un traitement bénéfique de la maladie de Crohn active.
Parfois aussi des symptômes extradigestifs, comme des maux de tête, des douleurs musculaires ou une grande fatigue... Bien que bénin, le syndrome de l'intestin irritable (SII) peut avoir un retentissement très important sur la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Le symptôme le plus généralement répandu est la douleur. Celle-ci peut irradier dans le dos ou à la racine des cuisses et occasionner une simple gêne ou une sensation très violente.
le fait de manger; les flatulences (excès de gaz); les hormones féminines (chez les femmes atteintes du SCI, les symptômes s'aggravent souvent pendant les menstruations); l'utilisation de certains médicaments et de certains aliments (par ex.
Les signes de la maladie de Crohn sont essentiellement digestifs : une diarrhée parfois abondante et liquide, avec éventuellement une perte de sang dans les selles (rectorragie) et du mucus ou du pus dans les selles. Cette diarrhée atypique s'associe le plus souvent à une douleur du ventre (crampes abdominales).
La banane pour stimuler le transit intestinal
La banane est une bonne source de fibres alimentaires, une portion de 100 g contient près de 2,6 g de fibres, soit un peu plus que la pomme (2,4 g). Sa bonne teneur en fibres en fait un allié de choix pour améliorer le transit intestinal.
Mieux : ces bonnes bactéries (les probiotiques) soulageraient le syndrome du côlon irritable et les diarrhées. Il faut l'acheter le plus basique possible (nature) : privilégiez les brassés ainsi que les yaourts au lait entier en pot de verre, mais ni les yaourts aromatisés, ni les sucrés.
Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
Une coloscopie devra alors être faite car il s'agit de l'examen de référence.
Eviter les chewing-gums. Boire beaucoup d'eau plate. Éviter les aliments glacés (qui provoquent des crampes). Réduire les matières grasses (qui stimulent les mouvements intestinaux).
saignement par le rectum ; sang dans les selles ; changements dans les habitudes de défécation qui durent plus d'une semaine, tels qu'une constipation ou une diarrhée ; douleurs abdominales.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
En outre, il prévient l'inflammation intestinale car les bactéries du microbiote transforment cet amidon en acide butyrique, un acide gras à chaîne courte, essentiel à la santé du côlon. Les pâtes et le riz cuits, puis refroidis pour être mangés en salade, sont ainsi extrêmement bénéfiques pour la santé des intestins.
Les framboises, tout comme les mûres, contiennent plus de fibres que les fraises et les bleuets. Elles contiennent également beaucoup d'eau qui facilite le transit intestinal.
Manger de l'avocat dans le cadre d'une alimentation quotidienne peut aider à améliorer la santé intestinale, selon une nouvelle étude de l'Université de l'Illinois.