des problèmes de langage; une désorientation dans le temps et l'espace; un jugement amoindri; et. une perte de perception de la profondeur.
Un trouble ou déclin cognitif correspond à une altération d'une ou plusieurs fonctions cognitives, quel que soit le mécanisme en cause, son origine ou sa réversibilité. Un trouble cognitif peut avoir une origine neurologique, psychiatrique, médicamenteuse, etc.
Le trouble cognitif léger est un état clinique caractérisé par des problèmes de mémoire, du langage, de la pensée ou du jugement qui sont plus graves que ce à quoi on pourrait s'attendre dans le cas d'un vieillissement normal.
Les tests cognitifs se présentent sous forme d'exercices mentaux diversifiés. Il s'agit, par exemple, de retenir des informations ou encore de réagir le plus rapidement possible à des images ou à des mots.
Le test de l'horloge est utilisé pour la détection précoce et le suivi d'une démence. Sa publication originale par Shulman et al. date de 1993. [1] Il teste la visuoconstruction, la mémoire, la perception spatiale, les fonctions exécutives et la résolution de problèmes.
Le test de Dubois consiste à montrer au patient une liste de 5 mots et à lui demander de les répéter immédiatement, puis de recommencer l'exercice après 5 minutes.
Diagnostic. Le professionnel de la santé établit son diagnostic en évaluant les changements cognitifs et comportementaux de la personne, en tenant compte de toutes les causes possibles et en discutant avec elle de la gravité et de la fréquence des symptômes.
Le test de l'horloge est un test simple et rapide à utiliser pour dépister des troubles des fonctions cognitives tels que la praxie, l'attention, le langage, l'orientation dans le temps et l'espace, et les fonctions exécutives.
AVC / Traumatismes crâniens
Les troubles cognitifs proviennent d'un dommage cérébral, ayant entraîné des séquelles durables. On retient principalement le traumatisme crânien et l'Accident Vasculaire Cérébral (AVC), une défaillance de la circulation du sang qui peut affecter en partie le cerveau.
Le vieillissement constitue l'un des principaux facteurs de risque des troubles cognitifs. S'ils peuvent être légers et n'altérer que superficiellement la mémoire des personnes âgées, ces troubles peuvent toutefois évoluer vers la perte d'autonomie et la démence. D'où l'importance d'une prise en charge précoce…
Bien que la maladie d'Alzheimer soit le trouble neurocognitif le plus répandu, il en existe d'autres types, comme : La maladie de Creutzfeldt-Jakob. Les dégénérescences fronto-temporales.
L'entraînement cognitif tel que l'apprentissage de langues, les jeux ou les activités sociales participent aussi au ralentissement du processus. En résumé, misez sur l'alimentation, l'activité physique et la stimulation par le jeu pour faire travailler votre mémoire et ainsi ralentir l'apparition de troubles cognitifs.
Le test cognitif est une évaluation d'ensemble de l'intelligence et de la propension des candidats à être performants au poste auquel ils postulent. Il est basé sur des processus mentaux tels que la pensée, le langage, la prise de décision, l'apprentissage et la mémoire.
Le neuropsychologue évalue les fonctions cognitives (tel que l'attention, la mémoire, le langage ou les fonctions exécutives) pour établir un profil cognitif, préciser un diagnostic, ou proposer une prise en charge.
C'est l'un des pires ennemis modernes de la mémoire: la tentation de faire plusieurs choses en même temps. La mémorisation demande un effort pour lequel le cerveau doit être disponible. "Les capacités attentionnelles diminuent à partir de 50 ans, c'est physiologique, explique le Dr Boutoleau-Bretonnière.
Dans la majeure partie des cas, le test de l'horloge consiste à distribuer une feuille blanche vierge sur laquelle la personne qui passe le test doit dessiner un cercle représentant le contour de l'horloge (on parle alors de dessin d'horloge libre).
hypnotiques, certains antidépresseurs, neuroleptiques, L-Dopa (prescrit en cas de maladie de Parkinson).
Les premiers symptômes de la démence sénile restent les troubles de la mémoire, ainsi que de l'altération de la capacité de réflexion et d'orientation. Ils se développent petit à petit jusqu'à engendrer chez la personne âgée une perte quasi totale de ses aptitudes à communiquer avec son environnement.
Lorsqu'ils surviennent de manière épisodique, les troubles de la mémoire sont en général bénins, et ne doivent pas inquiéter la personne qui les subit. En revanche, s'ils apparaissent de manière plus fréquente ou plus intense, et qu'ils impactent la vie quotidienne, il devient nécessaire de consulter son médecin.
Les troubles cognitifs du déprimé se manifestent par un désintérêt, une lenteur à la prise de décision, des difficultés d'attention, de concentration et une perte de l'incitation à agir.