Les signes et symptômes du cancer du col de l'utérus comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes.
des règles plus abondantes ou plus longues qu'à l'accoutumée ; des pertes vaginales nauséabondes ; des douleurs du vagin (en particulier pendant les rapports sexuels), du bassin ou du bas du dos.
La cause principale du cancer du col utérin est liée à l'infection persistante par des virus de la famille des papillomavirus ou HPV (Human Papilloma Virus). L'infection par HPV est une maladie sexuellement transmissible qui est retrouvée dans la grande majorité des cancers du col.
Des douleurs pelviennes peuvent être l'un des symptômes d'alerte d'un cancer du col de l'utérus. "Malheureusement le plus souvent, quand la femme a mal au niveau de la région pelvienne (partie basse du ventre), on est sur un cancer qui est déjà bien avancé", prévient le Pr Carcopino.
Lorsqu'il est diagnostiqué à un stade précoce (stade I et stade II) – ce qui représente heureusement la plupart des cas – ses chances de guérison oscillent entre 70 % et 90 %.
Le symptôme le plus courant du cancer de l'utérus est un saignement vaginal anormal. Cela comprend des changements des menstruations (périodes plus abondantes, plus longues ou plus fréquentes que la normale), des saignements entre les règles, des saignements après la ménopause et de légers saignements vaginaux.
Le cancer du col de l'utérus peut apparaître à tout âge, à partir de 25-30 ans avec un pic d'incidence entre 20 et 40 ans, l'âge médian de découverte est de 53 ans.
Chaque année, près de 3000 femmes développent un cancer du col de l'utérus et 1000 femmes en meurent. Le cancer du col de l'utérus est attribuable dans la grande majorité des cas à une infection persistante par un papillomavirus humain (HPV) à haut-risque, infection très fréquente, transmissible par contact sexuel.
Cela peut être une source d'anxiété et c'est normal ! Le désir et les rapports sexuels ne sont, en général, pas affectés par une hystérectomie. La chirurgie ne modifie pas votre capacité à ressentir du plaisir. Vous n'avez pas besoin de votre utérus pour avoir un orgasme !
Le risque est plus élevé chez les femmes : qui ne passent pas régulièrement de tests de dépistage pour le cancer du col de l'utérus; qui ont un système immunitaire affaibli à cause d'une maladie grave ou de la prise de certains médicaments; qui fument.
Les cancers du col de l'utérus sont généralement diagnostiqués chez des femmes âgées de 35 à 45 ans. Dans certaines régions du monde, le cancer du col de l'utérus est beaucoup plus fréquent et beaucoup plus grave.
Les douleurs du cancer ne sont pas forcément un signe de gravité. Elles dépendent principalement de l'endroit où est située la tumeur. Des douleurs neuropathiques peuvent apparaître lorsque la tumeur ou des métastases compriment ou envahissent une partie du système nerveux : un nerf, la moelle épinière* ou le cerveau*.
Condylomes (symptômes d'infections par les VPH à faible risque de cancer) Les condylomes sont des verrues qui se manifestent sous forme de petites bosses sur la peau ou les muqueuses : des organes génitaux (pénis, scrotum, vulve, vagin, anus); parfois, de la gorge.
Le frottis du col de l'utérus permet de prélever superficiellement des cellules pour les analyser au microscope et/ou de réaliser un test HPV-HR. Cet examen dépiste un éventuel cancer du col de l'utérus.
Ils n'apparaissent que lorsque la tumeur a commencé à se développer et peuvent faire penser à d'autres pathologies telles que la fatigue, des pertes vaginales, des douleurs lors des rapports sexuels ou encore une perte d'appétit.
Le cancer du col utérin touche le plus souvent les femmes autour de 40 ans, avec un pic de mortalité autour de 50 ans. Pris en charge à un stade relativement précoce, les chances de survie s'élèvent à 90 %, contre 35 % pour les cancers du col de l'utérus diagnostiqués à un stade avancé.
Papillomavirus humain : plusieurs cancers possibles
Des saignements anormaux (en dehors des règles ou après la ménopause), des douleurs lors des relations sexuelles et des difficultés à uriner doivent vous pousser à consulter rapidement un gynécologue.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Les symptômes caractéristiques du cancer de l'ovaire
Les troubles gynécologiques : perturbation des règles, saignements ou pertes vaginales anormales, tensions dans les seins... ; Les perturbations locales liées à la masse tumorale : les douleurs pelviennes, abdominales, les lombalgies, les envies urgentes d'uriner...
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Cette propagation porte le nom de métastase. Région de la cavité thoracique située entre les poumons, le sternum et la colonne vertébrale qui contient le coeur, les gros vaisseaux sanguins, le thymus, la trachée, l'oesophage et les ganglions lymphatiques.
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
Lorsque le cancer du col de l'utérus est diagnostiqué à un stade avancé, la prise en charge radiothérapeutique et chirurgicale concerne l'ensemble de l'utérus (col et corps) et rend le plus souvent impossible une future grossesse.
Certains champignons comme le Reishi, le Maitake, le Shiitaké et le Corrolius vercicolor sous forme de compléments alimentaires peuvent également aider à supporter les effets de la chimiothérapie et stimuler le métabolisme, ces champignons sont d'ailleurs utilisés au Japon.