Les symptômes de sevrage les plus connus sont : tremblements, transpiration, anxiété et nervosité, angoisse, sentiment de «malaise», insomnie, nausées et vomissements. Ces symptômes ne sont pas dangereux en soi et disparaissent habituellement au bout de 7 à 10 jours d'abstinence.
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Les premières manifestations débutent environ 24 heures après l'arrêt de la prise d'alcool : tremblements, maux de tête, fatigue générale, vertiges, nausée, vomissements, bouche sèche, anxiété, culpabilité, irritabilité, troubles dépressifs, insomnie, confusion. Ces symptômes atteignent un pic entre 24 et 48 heures.
Le Delirium Tremens survient rapidement chez les personnes qui sont très dépendantes à l'alcool, lorsqu'elles arrêtent de boire. C'est la conséquence la plus grave du syndrome de manque.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Le sevrage de la nicotine dure environ 15 jours à 3 semaines, en fonction des individus, ses symptômes éventuels les plus fréquents sont les troubles du sommeil (insomnie, sommeil agité), l'irritabilité, l'anxiété, les humeurs dépressives, l'hyperactivité et l'augmentation de l'appétit.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Il se pourrait que l'alcool cause chez vous une hypoglycémie, c'est à dire une baisse du taux de sucre dans le sang. Les symptômes sont les sueurs, les tremblements, des palpitations, de la faim, etc. Pour éviter cela, modérez votre consommation d'alcool et ne buvez surtout pas en étant à jeun (estomac vide).
Depuis septembre 2014, les médecins peuvent prescrire un nouveau médicament pour réduire l'envie de boire : il s'agit du Selincro®. Le Selincro® est composé d'une molécule appelée nalméfène. Celle-ci agit directement sur les zones du cerveau responsables de la forte envie de boire.
fortes variations d'humeur, une irritabilité propos incompréhensibles et incohérents, des problèmes d'élocution. troubles de la mémoire et de la concentration. plaintes au sujet de maux de tête, d'insomnie, de culpabilité, d'angoisse ou de solitude.
État de manque,
état induit chez un sujet dépendant physiquement d'une drogue par la privation brutale de cette drogue ou d'un substitut. (Il est caractérisé par des douleurs musculaires et viscérales, un profond état d'angoisse qui conduisent le toxicomane à se procurer cette drogue à tout prix.)
La personne qui est dépendante à une drogue a de la difficulté à s'en passer. La dépendance provoque aussi des réactions physiques plus ou moins fortes chez la personne lorsqu'elle est en état de manque. Ces symptômes sont communément appelés « symptômes de sevrage ».
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Parfois, mettre un podcast ou écouter un livre audio pendant que vous marchez peut vous aider à vous vider la tête et vous permettre de vous détendre sans alcool. Vous pouvez toujours le faire tout en vous distanciant socialement, et sortir de chez soi en ce moment est tout particulièrement bénéfique !
Profiter du soleil
«Une personne qui ne dort pas bien est plus susceptible d'être impulsive et de se tourner vers l'alcool ou une autre substance, ou encore de commencer à y avoir recours pour l'aider à s'endormir», ajoute-t-elle. Profiter du soleil de manière responsable entraîne d'autres bénéfices.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.