Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Favoriser le zinc et le magnésium dans votre alimentation
Le zinc est un minéral indispensable à notre système immunitaire, mais pas seulement. Il joue un rôle important dans la santé hormonale. Pour augmenter naturellement sa progestérone, il faut miser sur de plus grands apports en zinc.
En cas de règles irrégulières, de bouffées de chaleur, de sueurs nocturnes, d'insomnies, de sécheresse vaginale, de baisse de la libido, d'irritabilité, de maux de tête et de peau sèche, il se peut que le niveau d'œstrogène soit bas.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Pour augmenter votre taux de progestérone, il est recommandé de consommer des aliments riches en vitamine B6. C'est le cas de la banane, de la pomme de terre, des épinards et des haricots. De même, les noix et fruits de mer renferment la vitamine B6 qui stimule la sécrétion de progestérone.
Œstrogènes et progestérone, les hormones qui font gonfler
C'est le revers de la féminité. Les oestrogènes et la progestérone interviennent dans la fabrication de la graisse et contribuent à la rétention d'eau.
La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
La progestérone biosimilaire ne fait pas grossir, c'est le déséquilibre hormonal qui peut faire prendre des kilos. En revanche, certains progestatifs de synthèse peuvent entrainer une prise de poids, variables selon les femmes.
Votre foie et vos reins sont en fait surchargés par les différentes hormones sécrétées durant ce premier trimestre (progestérone, œstrogène, gonadotrophine chorionique humaine…). Ils ne peuvent remplir leur rôle de détoxification des toxines du corps, ce qui entraine plus de fatigue.
La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM. « Les femmes sont plus critiques à l'égard de leur corps durant la phase lutéale [post-ovulatoire] du cycle, entre l'ovulation et les règles, dit Mme Klump.
· risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, · modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
Hormone stéroïde dérivée du cholestérol, sécrétée par le corps jaune (follicule ovarien ayant expulsé l'ovule) pendant la seconde phase du cycle menstruel, par le placenta pendant la grossesse et, à un moindre degré, par les corticosurrénales et les ovaires.
Alliant progestérone et oestroègnes, il sert à soulager les bouffées de chaleur et les désagréments liées à la ménopause. Mais il est aussi accusé d'augmenter le risque cardiovasculaire des patientes.
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).
Voie orale : prendre les capsules à distance des repas, de préférence le soir au coucher.
DHEA : l'hormone de jeunesse pour une belle peau.
Le polype, qui est une excroissance de l'endomètre (muqueuse qui recouvre la paroi utérine) et survient chez les femmes qui souffrent d'un excès d'œstrogènes ou d'une insuffisance de progestérone, peut provoque une infertilité féminine car il empêche lui aussi la nidation de l'oeuf.
La ménopause survient à la suite d'une diminution progressive de la synthèse de deux hormones reproductrices, les œstrogènes et la progestérone. Il s'ensuit un arrêt de l'ovulation et donc la fin de la période de fertilité.
La prise de progestérone par voie orale est utilisée en fin de grossesse en vue d'éviter une naissance prématurée, malgré l'absence d'efficacité démontrée. La progestérone est une cause connue de cholestase intrahépatique, qui survient au 3e trimestre de la grossesse.
Les hormones
«Les œstrogènes agissent sur plusieurs neurotransmetteurs qui peuvent avoir un impact sur la régulation du sommeil et la progestérone peut avoir un effet hypnotique. La variation de niveau de ces hormones peut affecter notre rythme circadien.»
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).