Les principaux symptômes mis en jeu dans les troubles du comportement alimentaire sont les suivants : hyperphagie prandiale (augmentation des apports caloriques pendant les repas), hyperphagies extra-prandiales (grignotage, compulsions alimentaires, accès boulimique et hypophagie.
Il existe trois principaux types de troubles de l'alimentation : l'anorexie nerveuse, la boulimie et l'hyperphagie boulimique. Les signes d'un trouble de l'alimentation commencent souvent avant qu'une personne ait l'air malade. Par conséquent, le poids ne devrait jamais être le seul facteur à considérer.
La solution ? La prise en charge multidisciplinaire en ambulatoire : psychiatre, pédopsychiatre ou psychologue, médecin traitant, groupe de parole, de relaxation, d'expression et de conscience corporelles, suivi diététique, thérapie familiale, etc.
En fait, les troubles alimentaires n'ont rien à voir avec la nourriture. Ils sont plutôt liés à la façon dont une personne se sent par rapport à elle-même et les événements qui se produisent dans sa vie.
Comportementalement parlant, le stress va déclencher des compulsions alimentaires, des hyperphagies, notamment des hyperphagies nocturnes (1,2), ainsi que des addictions alimentaires. Ces troubles vont avoir pour conséquences une prise de poids mais aussi l'apparition de maladies métaboliques telles que le diabète.
Le suivi médical en cas de boulimie et d'hyperphagie boulimique. Le suivi des personnes boulimiques est pluridisciplinaire (psychiatre, pédiatre, médecin traitant, psychologue, diététicien). Le suivi psychologique doit être long (au moins une année, voire plusieurs années) pour s'assurer de la guérison.
On parle d'hyperphagie boulimique lorsque les épisodes récurrents de crises de boulimie ne sont pas associés à des comportements compensatoires (vomissements, utilisation de laxatifs...). En général l'hyperphagie boulimique occasionne un surpoids ou une obésité et génère une souffrance psychique.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. »
Les compulsions alimentaires
Ce trouble est différent de l'hyperphagie boulimique. Les compulsions alimentaires consistent à grignoter tout au long de la journée ou à manger toujours un peu au-delà du seuil de satiété ou pour des raisons autres que la faim physiologique. Certains parlent de « manger leurs émotions ».
La néophobie alimentaire c'est la réticence et/ou le rejet à manger des aliments nouveaux. Cela va alors se traduire par un comportement différent de l'enfant face à son assiette.
Les compulsions alimentaires peuvent avoir plusieurs causes : stress, fatigue, anxiété, mal-être, émotions difficiles, baisse d'estime de soi, dépression, manque de sommeil... Elles peuvent aussi être le symptôme d'un trouble du comportement alimentaire (TCA).
Les troubles les plus fréquents, en dehors du grignotage et de la suralimentation, sont l'anorexie et la boulimie. Ils touchent dans 9 cas sur 10 des jeunes filles ou femmes, mais les garçons et les hommes peuvent être concernés.
Les symptômes communs incluent la faim, les tremblements, l'anxiété, les vertiges, la transpiration, la fatigue, et des sauts d'humeur. Une sous-alimentation peut facilement provoquer une l'hypoglycémie, en particulier lorsqu'elle est combinée avec un entrainement sportif intense.
Les maladies d'origine alimentaire (également appelées empoisonnement ou intoxication alimentaire) surviennent lorsqu'une personne tombe malade à la suite de l'ingestion de nourriture contaminée par un microorganisme nuisible. Ces microorganismes peuvent être des bactéries, des parasites ou des virus.
Si la perte d'appétit ne survient que de manière épisodique (le temps d'une grippe ou après une indigestion, par exemple), inutile de s'inquiéter. En revanche, si la sensation de faim disparaît de manière permanente et continue, il est recommandé de consulter rapidement son médecin.
Ne pas manger suffisamment peut avoir à long terme des impacts désastreux sur votre état de santé : fatigue chronique, perte de cheveux, troubles digestifs, ostéoporose, …
Une forme atypique d'anorexie
Les points communs entre l'orthorexie et l'anorexie sont nombreux : le caractère restrictif de l'anorexie se retrouve fréquemment dans les cas d'orthorexie rapportés.
Définition "morfal" n.m. Personne qui mange beaucoup, avidement, malproprement.
L'hyperphagie, que l'on appelle aussi hyperphagie boulimique est un trouble alimentaire caractérisé par une surconsommation d'aliments. Il ne s'agit pas d'un besoin métabolique ou énergétique mais d'un trouble issu d'une atteinte psychologique et/ou psychique.
Les hyperphages mangent souvent même lorsqu'ils n'ont pas faim et continuent de manger jusqu'à ce qu'ils soient remplis et même au delà. Il peuvent aussi se goinfrer en mangeant rapidement et en ne faisant pas attention à la quantité d'aliments qu'ils ingurgitent.
Trouble de l'oralité (« dysoralité ») : trouble développemental des fonctions orales alimentaires. Il peut s'agir de troubles par absence de comportement spontané d'alimentation, ou par refus d'alimentation avec pour résultante que manger n'est pas ou plus un plaisir.
Les fruits secs ou les petites baies
Les fruits secs tels que le raisin sec, l'abricot, la figue sont très énergétiques, et sont très riches en fibres, en sucres lents et en vitamines. Les fruits secs sont un concentré de minéraux et de nutriments qui auront un effet nourrissant pour le corps et apaisant pour l'esprit.