Un trouble ou déclin cognitif correspond à une altération d'une ou plusieurs fonctions cognitives, quel que soit le mécanisme en cause, son origine ou sa réversibilité. Un trouble cognitif peut avoir une origine neurologique, psychiatrique, médicamenteuse, etc.
Ils se caractérisent par une altération des fonctions cérébrales, en particulier de la mémoire. Les symptômes sont très variables, selon la zone du cerveau atteinte.
Les troubles cognitifs sont une altération d'une ou de plusieurs fonctions cognitives comme la perte de mémoire par exemple. Le trouble cognitif est souvent lié à l'âge lors du vieillissement d'une personne, mais peut avoir diverses autres causes comme un traumatisme cérébral, une maladie ou autre.
Le syndrome confusionnel est un trouble soudain, fluctuant et en général réversible de la fonction cognitive. Il est caractérisé par une incapacité à prêter attention, une désorientation, une incapacité à penser clairement, et des fluctuations du niveau de vigilance (conscience).
L'aphasie est un trouble du langage allant de la difficulté de trouver ses mots à une perte totale de la faculté de s'exprimer. Elle est causée par dommages du cerveau provoqués dans la majorité des cas par un accident vasculaire cérébral. Le rétablissement dépend de la gravité de la lésion.
Les principales maladies neurodégénératives se manifestant par des troubles neurocognitifs sont représentées par : • la maladie d'Alzheimer ; les maladies dites apparentées, notamment la maladie cérébrovasculaire, la maladie à corps de Lewy, les dégénérescences fronto-temporales.
Le test de l'horloge est utilisé pour la détection précoce et le suivi d'une démence. Sa publication originale par Shulman et al. date de 1993. [1] Il teste la visuoconstruction, la mémoire, la perception spatiale, les fonctions exécutives et la résolution de problèmes.
1. Quels sont les médicaments qui agissent sur la cognition (dont la mémoire)? Il y en a deux types : les inhibiteurs de l'acétylcholinestérase (IAChE) et la mémantine. On compte trois IAChE : le donépézil (dont le nom commercial est l'Aricept), la rivastigmine (Exelon) et la galantamine (Reminyl).
Les principaux facteurs de risque de chutes observés chez les sujets ayant des troubles cognitifs sont les troubles de l'équilibre et de la marche, les anomalies de la vision, la malnutrition, les effets iatrogènes médicamenteux, la peur de tomber, l'instabilité neurocardiovasculaire (en particulier l'hypotension ...
Les patients perdent progressivement la mémoire, le raisonnement et le sens critique, peuvent devenir amnésiques ou être désorientés. Les symptômes incluent la dégénérescence des mouvements comme les tremblements au repos ou la rigidité musculaire. Le malade peut avoir des difficultés dans l'exécution d'un mouvement.
L'Académie américaine de neurologie recommande de pratiquer 150 minutes d'activité physique par semaine après 65 ans pour améliorer la mémoire.
Les troubles cognitifs du déprimé se manifestent par un désintérêt, une lenteur à la prise de décision, des difficultés d'attention, de concentration et une perte de l'incitation à agir.
Chez les personnes présentant une perte de mémoire, certains symptômes sont sujets de préoccupation : Difficulté à accomplir les activités quotidiennes habituelles. Difficulté à se concentrer et fluctuation du niveau de conscience (symptômes qui évoquent le syndrome confusionnel)
Le déclin cognitif commence à 20 ans pour certaines fonctions, mais on ne le ressent vraiment qu'à 45 ans environ. Il se manifeste sensiblement par un déclin lent mais progressif de la mémoire à court terme et de la mémoire de travail, des fonctions exécutives.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Le test de l'horloge est un test simple et rapide à utiliser pour dépister des troubles des fonctions cognitives tels que la praxie, l'attention, le langage, l'orientation dans le temps et l'espace, et les fonctions exécutives.
Parlez lentement et calmement, avec des mots simples, des phrases courtes, une consigne à la fois, en accompagnant vos paroles de gestes pour faciliter leur compréhension; Soyez patient et ne lui coupez pas la parole brusquement.
Bien que la maladie d'Alzheimer soit le trouble neurocognitif le plus répandu, il en existe d'autres types, comme : La maladie de Creutzfeldt-Jakob. Les dégénérescences fronto-temporales. La maladie à corps de Lewy.
La maladie à corps de Lewy corticaux présente plusieurs similitudes avec la maladie d'Alzheimer. Le début est insidieux et son évolution, lente et progressive. Elle perturbe la mémoire et les autres fonctions cognitives. Elle provoque des chutes et entraîne la dépendance.
Le ginseng qui est souvent considéré comme un stimulant de la mémoire et de la concentration. Proche du ginseng, l'éleuthérocoque qui aurait une action sur la mémoire mais ses effets sont plutôt considérés comme des effets anti-fatigue.
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.
Pour stimuler sa mémoire, il existe trois plantes complémentaires : le ginkgo biloba, le thé vert et la rhodiola rosea.