La survie nette après 5 ans pour le cancer de l'intestin grêle est de 54 %, ce qui signifie qu'environ 54 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer de l'intestin grêle survivront au moins 5 ans.
Des douleurs épigastriques (dans la région de l'estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu'elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d'autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie …
Fréquents aussi bien chez l'homme que chez la femme, les cancers colorectaux sont en partie évitables car des facteurs de risque modifiables ont été identifiés : l'alcool, le surpoids, l'obésité, le tabac, l'alimentation, la sédentarité.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Gaz et ballonnements : il se peut qu'une tumeur obstrue le passage des selles qui retiennent de l'air et engendrent des gaz et une sensation de ballonnement. Fatigue : les tumeurs ont tendance à saigner, ce qui signifie que vous perdez du fer.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Ce bilan comporte un examen du foie (échographie, scanner ou résonance magnétique nucléaire) car lorsqu'un cancer colorectal se généralise, il envahit souvent le foie. Une radiographie des poumons est également réalisée, surtout dans les cas de cancer du rectum, à la recherche d'éventuelles métastases pulmonaires.
Les cancers digestifs désignent l'ensemble des tumeurs malignes qui se développent avec comme point de départ le tube digestif - l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon, le rectum et jusqu'a l'anus - ou les glandes qui lui sont annexées - le foie ou le pancréas.
Dans la majorité des cas, les polypes intestinaux ne sont responsables d'aucun symptôme, et sont découverts à l'occasion d'une coloscopie. Quelques fois, des symptômes digestifs peuvent alerter : présence de sang rouge ou noir dans les selles, constipation, douleurs abdominales, anémie par carence en fer.
Les douleurs du côlon
Également appelé syndrome du côlon irritable, cette pathologie génère douleurs, constipation et diarrhée. Si des douleurs sont concentrées dans la région en bas à droite de l'abdomen et sont associées à de la fièvre apparaissent, une appendicite doit être suspectée.
Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn (MC) et la rectocolite hémorragique (RCH). Toutes deux se caractérisent par une inflammation de la paroi d'une partie du tube digestif, due à une dérégulation du système immunitaire intestinal.
Lombaires : vessie, utérus, prostate, ovaires, côlon
Le côlon et la fin de l'intestin grêle donneront également ce type de lombalgie. Des constipations, des diarrhées, des crampes ou également des ballonnements illustrent plutôt une souffrance du côlon.
La plupart des polypes demeurent longtemps asymptomatiques. L'émission de sang dans les selles, en provenance du rectum, constitue le symptôme le plus fréquent. Un polype volumineux peut provoquer des crampes, des douleurs abdominales, une occlusion ou une invagination.
Les douleurs aux jambes, souvent confondues avec des douleurs de croissance chez les enfants, peuvent être un symptôme de cancer. Les différencier peut sauver des vies. En Europe et aux États-Unis, les cancers les plus courants chez les jeunes sont les leucémies, les tumeurs cérébrales et les lymphomes.
La survie (survie nette standardisée) des personnes atteintes d'un cancer colorectal s'élève à 63% 5 ans après leur diagnostic pour les personnes diagnostiquées en 2010-2015, légèrement plus élevée chez la femme (65%) que chez l'homme (62%).
La coloscopie est un examen généralement rapide de 30 minutes environ. Il est habituellement indolore, néanmoins parfois inconfortable. Pour ces raisons, il est réalisé dans 95 % des cas sous anesthésie générale.
Certains types de cancer peuvent entraîner un gain de poids. Le cancer de l'ovaire et le cancer colorectal, par exemple, peuvent causer l'accumulation de liquide dans les jambes ou l'abdomen. Ce type d'œdème porte le nom d'ascite.
Si vous êtes atteint du cancer du pancréas, vous pourriez avoir différents types de diarrhée. Chez certaines personnes dont un canal biliaire est bloqué, les selles peuvent avoir la couleur de l'argile.
Le première cause de gonflement est à rechercher dans l'assiette : en effet, de nombreux aliments fermentent lors de la digestion et libèrent des gaz qui provoquent ballonnements et flatulences. La fermentation est une étape de la digestion. Elle a lieu dans l'intestin et a pour but de détruire les fibres alimentaires.
Il n'y a aucune raison de s'alarmer en cas de flatulences jugées excessives. Quand elles sont associées à des douleurs abdominales, une sensation de ballonnement ou des modifications du transit, on fait probablement face à une colopathie fonctionnelle ou syndrome de l'intestin irritable.
Le syndrome de l'intestin irritable est caractérisé par une gêne ou une douleur abdominale récurrentes accompagnées par ≥ 2 des éléments suivants: douleur liée à la défécation, modification de la fréquence des selles (diarrhée ou constipation) ou de la consistance des selles.