La confidentialité : s'assurer que seul le destinataire puisse lire le message en le rendant illisible par d'autres. L'authenticité : s'assurer que le message provient bien de l'expéditeur par une signature vérifiable. L'intégrité : s'assurer que le message n'a pas été modifié depuis son envoi.
La cryptographie symétrique, aussi appelée cryptographie à clef secrète, désigne l'une des trois façons de chiffrer un message (et, plus généralement, de l'information). Les deux autres grands types de cryptographie sont la cryptographie asymétrique (dite à clef publique) et la cryptographie hybride.
La cryptographie permet surtout de protéger les réseaux informatiques contrôlant les infrastructures capitales d'un pays, comme les hôpitaux, les aéroports ou les systèmes de défense et les données confidentielles de nos entreprises.
Le principal objectif du chiffrement consiste à garantir la confidentialité des données numériques stockées sur des systèmes informatiques ou transmises via Internet ou d'autres réseaux.
La cryptologie ne se limite plus aujourd'hui à assurer la confidentialité des secrets. Elle s'est élargie au fait d'assurer mathématiquement d'autres notions : assurer l'authenticité d'un message (qui a envoyé ce message ?) ou encore assurer son intégrité (est-ce qu'il a été modifié ?).
Symétrique par le fait d'utiliser une clé identique avec le même algorithme de chiffrement pour le chiffrement et le déchiffrement. Asymétrique par le fait d'utiliser une clé pour chiffrer (clé publique) et une autre clé pour déchiffrer (clé privée) avec le même algorithme de chiffrement.
Quels sont les 4 grands principes en cryptographie ? Pour assurer ces usages, il existe quatre fonctions principales : le hachage avec ou sans clé, la signature numérique et le chiffrement.
Son invention est reprise par un Allemand, le Dr Arthur Scherbius. C'est la naissance d'Enigma, une machine portable utilisant des rotors sur cylindres afin de chiffrer et déchiffrer des messages. La machine fut utilisée par les Allemands pendant la seconde guerre mondiale.
La cryptographie asymétrique est également utilisée pour assurer l'authenticité d'un message. L'empreinte du message est chiffrée à l'aide de la clé privée et est jointe au message. Les destinataires déchiffrent ensuite le cryptogramme à l'aide de la clé publique et retrouvent normalement l'empreinte.
L'invention du chiffrement très simple qui consiste à décaler l'alphabet d'une ou plusieurs lettres est attribuée à l'empereur romain Jules César.
Le mot cryptographie est un terme générique désignant l'ensemble des techniques permettant de chiffrer des messages, c'est-à-d permettant de les rendre inintelligibles sans une action spécifique.
Clé de chiffrement symétrique et asymétrique
Il existe deux principaux types de clé de chiffrement. Une clé peut être symétrique ou asymétrique. En réalité, il s'agit là encore d'un abus de langage, puisque c'est plutôt le chiffrement lui-même qui est symétrique ou asymétrique, mais le terme est très utilisé.
Le principe est simple : on écrit un message en n'utilisant que les 26 lettres de l'alphabet et on le code en remplacant une lettre par une autre lettre. Ceci peut être considéré comme une application f de l'ensemble des lettres {A,B,C,... X,Y,Z} dans lui-même.
Les algorithmes de cryptage sont les étapes d'une procédure qui transforme du texte clair en texte chiffré. À l'origine, on trouve les techniques de cryptage manuelles, ou chiffrement, utilisées depuis des siècles. C'est pourquoi le terme chiffre ou chiffrement est souvent synonyme d'algorithme de cryptage.
En cryptographie classique, le chiffrement est symétrique, émetteur du message en clair et récepteur ont besoin initialement de partager un même secret, la « clé », un mot, une phrase et dans le cas des systèmes à dictionnaire, celui-ci.
Les formations et les diplômes
Bac + 5 : master en cryptologie, réseaux et protocoles ; mathématiques et applications au codage et à la cryptologie ; cryptologie et sécurité informatique... ou diplôme d'ingénieur avec spécialisation en cryptographie et sécurité des systèmes informatiques.
Supposition que le chiffrement assure l'intégrité ; Clefs asymétriques trop petites ; Générateurs de nombres aléatoires non sûrs ; La « soupe cryptographique ».
Transformation d'un message en clair en un message codé compréhensible seulement par qui dispose du code : L'agent a effectué le cryptage de la dépêche. (Si l'on veut formellement intégrer la notion de « clé », il est préférable d'utiliser le terme chiffrement.) 2.
la cryptographie, qui comprend l'ensemble des méthodes de protection d'une information. Elle sert à garantir la confidentialité d'une information lors de communications ou de son stockage, en utilisant le chiffrement.
Le terme asymétrique s'explique par le fait qu'il utilise deux clefs différentes, l'une, la clef publique, pour chiffrer, l'autre, la clef privée, pour déchiffrer. L'utilisateur qui souhaite recevoir des messages engendre un tel couple de clefs.
Ce principe exprime que la sécurité d'un cryptosystème ne doit reposer que sur le secret de la clef. Autrement dit, tous les autres paramètres doivent être supposés publiquement connus. Il a été reformulé, peut-être indépendamment, par Claude Shannon : « l'adversaire connaît le système ».
Différence entre chiffrement et codage
La différence essentielle réside dans la volonté de protéger les informations et d'empêcher des tierces personnes d'accéder aux données dans le cas du chiffrement. Le codage consiste à transformer de l'information (des données) vers un ensemble de mots.
Quelques algorithmes de cryptographie asymétrique très utilisés : RSA (chiffrement et signature); DSA (signature); Protocole d'échange de clés Diffie-Hellman (échange de clé);
Avantages et inconvénients du chiffrement symétrique
Le chiffrement asymétrique est plus difficile à comprendre et à utiliser. L'inconvénient est que la clé secrète doit être partagée avec le destinataire. Dans le cas du PEM, la clé secrète est chiffrée avec le mot de passe de l'utilisateur.
3 7 1 3 mots, 7 lettres, 1 vérité : je t'aime.