Juste appréciation, reconnaissance et respect des droits et du mérite de chacun.
Qualité morale qui invite à respecter les droits d'autrui : Agir en tout avec justice. 3. Droit de dire ce qui est légalement juste ou injuste, condamnable ou non, ce qui est le droit : Exercer la justice avec rigueur, impartialité.
Définition de la justice
La justice est un principe moral de la vie sociale fondé sur la reconnaissance et le respect du droit des autres qui peut être le droit naturel (l'équité) ou le droit positif (la loi). La justice est aussi le pouvoir d'agir pour faire reconnaître et respecter ces droits.
le principe de gratuité, qui n'exclut cependant pas l'existence de frais de justice ; le principe de neutralité – corollaire de l'exigence d'impartialité et d'indépendance – qui assure que le juge, dans son application de la règle de droit, n'est pas influencé par des pressions extérieures ou par ses propres opinions.
Étymologie. Du latin iustitia , de iustus (« juste »), lui-même dérivé de ius (« le droit »).
Grands principes de la justice : égalité, permanence, loyauté… La responsabilité du service public de la justice.
La justice est séparée en deux principaux types de justice, la justice dite générale (ou légale) et la justice particulière qui peut être commutative ou distributive. Les différences faites entre les types de justice sont encore largement de rigueur dans la pensée actuelle.
La Justice fait respecter les règles de la vie en société. Elle sanctionne les actes et comportements interdits par la loi, mais pas seulement ! Elle protège les personnes les plus fragiles comme les enfants. Elle est aussi là pour mettre fin à des conflits*.
L'égalité des droits et l'équité procédurale; La transparence et l'intégrité; Le respect des droits des victimes; Le respect de la complémentarité entre les divers intervenants du système de justice pénale.
injustice n.f. Caractère de quelqu'un, de quelque chose qui est injuste.
Trois théories de la justice : utilitarisme, libéralisme, communautarisme. Dans son dernier ouvrage ambitieusement intitulé Justice. What's the Right Thing to Do ?, Michael Sandel livre le contenu d'un cours dispensé aux étudiants de licence (« undergraduates ») à l'Université de Harvard depuis de nombreuses années.
Pour le philosophe Hobbes, la justice n'existe pas à l'état de nature. L'ordre de justice se met en place à partir du moment où l'être humain vit en société. Pour assurer la sécurité de cette société humaine, il est nécessaire que chacun obéisse aux lois de son pays, que chacun les respecte.
Platon, déjà, plaçait la justice au centre de la République, son ouvrage majeur. Pour les philosophes, la justice est le but de toute politique, dans la mesure où elle vise à établir une égalité véritable et anonyme, qui ne tient compte ni de la situation sociale ni de la personnalité des individus.
1. Qui a le souci de la justice, qui respecte le droit et l'équité : Se montrer juste à l'égard de ses subordonnés. 2. Qui est conforme au droit, à l'équité : Une décision juste.
Justice et droit semblent donc à première vue indissociables. Le juste est ce qui est légal et ce qui respecte la loi prescrite par le droit. La justice est donc la conformité aux prescriptions des lois, afin de protéger les individus des injustices qu'ils subissent dans leurs rapports aux autres.
Le droit marque la chose à respecter, que l'on réclame pour soi comme on la doit aux autres ; la justice en revanche est la conformité à cette chose, la règle qui la fait respecter.
QUE SIGNIFIE CE SYMBOLE ? Les notions d'équilibre, d'harmonie et d'ordre président à l'existence de la Justice ; la balance caractérise ces trois aspects et les matérialise en trois interprétations différentes suivant l'inclinaison des deux plateaux.
Création de la notion de justice par le droit
La civilisation romaine est la première à avoir constitué des théories juridiques qui nous soient parvenues. Le droit romain, peut donc être considéré comme le premier système juridique.
À la tête du ministère se trouve le garde des Sceaux, ministre de la Justice. Il est nommé garde des Sceaux puisqu'il est le gardien du grand sceau de France, apposé sur la Constitution et les grandes lois de la République.
L'organisation de la justice repose sur le respect de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (1789) et la Convention européenne des droits de l'homme (1950). La justice est indépendante car séparée des pouvoirs (exécutif et législatif), gratuite, égale et ouverte à tous sans aucune discrimination.
En somme, le Socrate de Xénophon soutient que l'action juste et l'action légale coïncident puisque la nature de la légalité est le bénéfique, et ce qui est bénéfique est toujours juste. On peut ainsi dire que, par principe, la loi est la justice et donc que Socrate adopte une position légaliste.
Plus que tout autre animal, le Lion est admiré par l'homme. Ainsi, depuis des temps immémoriaux, il est considéré comme un symbole de Justice et de bravoure. Comme symbole de Justice, en l'associant à l'image du pouvoir, il devient garant de sa légitimité, que ce pouvoir soit temporel ou spirituel.
Parmi les divinités de la justice, il faut également citer Shamash, dieu de la justice et de l'équité dont le rôle est illustré dans le code d'Hammurabi (du nom d'un roi de Mésopotamie, il s'agit du plus ancien texte juridique connu, daté d'environ 1750 avant J.C.).