Interrogation à travers laquelle on sollicite l'avis de notre interlocuteur. Cette expression peut également signifier : peut aussi servir à demander des nouvelles de l'interlocuteur.
Contraction de "que" et "est-ce" visant à introduire une question posée directement. La phrase se terminera systématiquement par un point d'interrogation. Exemple : Qu'est-ce que tu vas faire aujourd'hui ?
exp. ما المقصود بذلك؟
La chose dont il s'agit, qu'on désigne, ou que vous savez : Laissez ça. Je n'ai jamais dit ça. 2.
C'est moi (= 1ère personne du singulier) qui le dis. C'est lui (3ème personne du singulier) qui le dit. C'est nous (1ère personne du pluriel) qui le disons. C'est vous (2ème personne du pluriel) qui le dites.
Pourquoi n'écrit-on pas « je me suis dis » ? Parce qu'il s'agit du verbe pronominal « se dire », conjugué à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ».
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit. Exemple : J'ai dit bonjour à tout le monde.
Locution-phrase
(Familier) S'emploie pour marquer approbation de ce qui vient d'être dit.
Désigne une personne ou une chose dont on a précédemment parlé. Exemple : Le témoignage dudit coupable ne tient pas debout !
» sans accent grave sur le a est la seule orthographe possible.
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose. « C'est » et « s'est » se prononcent de la même manière, mais on les utilise différemment car chacun a sa propre signification. Ce sont donc des homophones.
"Je me suis coupé" est le passé composé du verbe pronominal "se couper" et signifie plus ou moins "couper soi-même sa propre peau". Par exemple : je me suis coupé en me rasant. "Je suis tombé" est le passé composé actif de "tomber" : j'ai trébuché sur une pierre et je suis tombé.
« Je ». On écrit donc « je ne peux plus », et non « je ne peut plus ».
"d'accord!"
— Qui dit Noël dit dépenses ! Qui dit (un mot) dit (un autre mot) est une expression en français qui veut dire qu'une chose mène à une autre ou qu'une chose est toujours accompagnée par une autre chose.
La réponse est donc « convient », terminaison en « t » de la 3ème personne du singulier au présent de l'indicatif pour les verbes du 3ème groupe. Il ne faut pas se laisser parasiter par le pronom « te » qui est ici le COI (« est-ce que ça convient à toi ? ») et non sujet du verbe « convenir ».
"Qui ne dit pas son nom", variante : "qui n'ose pas dire son nom" = qui dissimule sa véritable nature, qui n'affiche pas ouvertement son identité, qui ne s'affirme pas clairement comme tel, qui n'avoue pas vraiment ce qu'il est...
Règle : « par ailleurs » s'ajoute à la première partie de la phrase ou à la phrase précédente sans forcément avoir un rapport avec elle (absence de lien logique). « Par ailleurs » prend alors le sens de « d'un autre côté », « en outre ».
Définitions : impassible - Dictionnaire de français Larousse.
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Formule interrogative moins familière et plus polie que "ça va ?". Leur sens est pourtant le même puisqu'on s'enquiert de la santé physique ou morale d'une personne. On s'attend à la réponse "Bien" ou "Mal". Exemple : Comment vas-tu ce matin ?
Où est Charlie ? (Where's Wally? au Royaume-Uni et en Australie, Where's Waldo?
On utilise « ça » lorsqu'on peut le remplacer par « cela ». - « çà » est un adverbe de lieu. - « sa » est un adjectif possessif. On utilise « sa » lorsqu'on peut le remplacer par « la sienne » ou par « ses ».