1Le mot hébreu désignant la paix, le shalom, vient d'une racine signifiant plénitude, intégrité, et son système de référence dans la littérature juive est lié à la notion de shlemout, perfection.
Shalom alekhem (שָׁלוֹם עֲלֵיכֶם ; lit. « la paix soit sur vous »), la forme complète du salut hébraïque équivalent à « salut ! ». La réponse appropriée est alekhem hashalom, « sur vous soit la paix ».
C'est l'une des trois tâches strictement réservées à la femme dans la tradition juive. Tous les convives se souhaitent «Shabbat Shalom», une heureuse fête du sabbat, qui durera jusqu'au lendemain, samedi, à la même heure.
Chant de bienvenue de la veille du Shabbat
Shalom Alekhem est aussi le titre d'un piyyout, une poésie traditionnelle chantée le vendredi soir, lorsque commence le repas du Shabbat.
Que veut dire le mot shalom ? Le mot shalom s'utilise en français pour saluer la personne à qui on s'adresse, au début ou à la fin d'une conversation. C'est un mot qui est surtout employé par les personnes de confession juive. Ce mot est emprunté à l'hébreu, où il veut dire « paix ».
Mazal Tov ou Mazel tov est une interjection hébraïque incorporée au yiddish, qui est souvent employée au sein de la communauté juive en lieu et place de félicitations.
Selon Haïm Korsia, c'est un signe de « soumission à Dieu », et non de « reconnaissance ». Plus généralement, la kippa permet au Juif d'afficher son humilité et son respect à travers sa croyance pour sanctifier le Nom de Dieu (voir yarmulke défini supra).
Dans la tradition juive, depuis le Moyen-Âge, ce sont surtout les hommes qui la portent, soit en toute circonstance, soit uniquement pour les moments plus rituels de leur vie, quand ils prient ou étudient les textes.
Dans le judaïsme, le septième jour de la semaine (de la tombée de la nuit le vendredi à celle du samedi), est un jour de repos. Il renvoie à la Création et à la sanctification du nom de Dieu. La Bible condamne le non-respect du Shabbat.
Étymologie. (Date à préciser) Du latin amen (« ainsi soit-il »). Transcription dans la Vulgate du mot grec de la Septante, lui-même issu de l'hébreu אמן. Il se prononce pareil : « amen » et vient du mot « émouna », qui signifie « foi ».
Apprendre à dire le merci courant
En hébreu, la façon la plus simple et la plus courante de dire « merci » est « todâ » « תודה ».
Le mot Amen, de l'hébreu אָמֵן (ʾāmēn) (« ainsi soit-il », « que cela soit vrai, se vérifie » mais aussi « en vérité ») est une déclaration de foi et d'affirmation, trouvée dans la Bible hébraïque et le Nouveau Testament.
Il était tout à fait logique que l'auteur plante sa plume pour écrire "Je t'aime" en hébreu. La prononciation diverge quand il s'agit d'une femme ou d'un homme. Une femme déclarant sa flamme dira "Ani ohevet oth'a" alors qu'un homme dira plutôt "Ani ohev otah' ".
Par exemple, je t'aime en Hébreux se dit "ani ohev otakh" et s'écrit "אני אוהב אותך" , difficile à comprendre sous cette forme non ?
« Oui » se dit « Ken » (10 points à ceux qui se rappellent qui est Ken Adams) et « non » se dit « Lo » (qui se prononce « Loh »).
L'interdit du mélange lacté/carné
Cet interdit se rapproche également de celui d'abattre le même jour une mère et son petit, rejoignant ainsi l'interdiction de cruauté envers les animaux. Enfin, une interprétation plus récente est d'ordre symbolique : le refus de mélanger la vie (le lait) et la mort (la viande).
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/).
La signification du bouclier de David veut que lorsque David était recherché par Saül, il s'est caché dans une grotte où, lorsque les soldats entrèrent, une araignée aurait tissé une toile prenant la forme d'une étoile à six branches cachant David.
Les Juifs observants portent des vêtements munis de tsitsit afin de se conformer à une prescription biblique. Dans le judaïsme orthodoxe, le tsitsit n'est porté que par les hommes.
Le shabbat (ou chabbat) tient une importance centrale dans la vie des juifs religieux. Mais que signifie ce terme ? Il s'agit du jour de repos hebdomadaire des personnes de confession juive. Il se déroule du vendredi soir au coucher du soleil au samedi soir à la tombée de la nuit.
Le porteur de kippa veut signifier qu'il y a quelque chose de plus haut que lui. C'est un signe -d'humilité. La coutume s'est propagée dans le judaïsme, généralement à l'intérieur des synagogues, pour des offices ou lorsqu'on prononce un « kaddish » (la prière des morts).
La dernière étape de la cérémonie est le bris du verre, censé rappeler la destruction du Temple de Jérusalem, et par là signifier qu'aucune joie ne peut être entière tant que le Temple de Jérusalem n'est pas reconstruit.