Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Wesh est un mot qui figure dans notre argot français depuis bien longtemps. Entendu dans la culture hip-hop et provenant de l'arabe algérien, wesh est employé comme adverbe interrogatif pour demander comment ça va. Nombreux sont les adolescents à l'utiliser pour se dire bonjour. Il est souvent suivi de l'adjectif bien.
C'est le cas de « wesh », qui vient d'un mot algérien signifiant « quoi » et qu'on peut placer à peu près n'importe où dans une phrase. À noter que « Wesh, ma gueule », signifie : « Oui, mon pote », de manière très affectueuse.
Originaire de l'arabe algérien, « wech » – « wesh » en est une variante orthographique – est un adverbe interrogatif apparu aux alentours de 1983 et utilisé alors principalement par les jeunes. On le retrouve dans les expressions « qui y a-t-il ? » (wech kayn ?) et « comment vas-tu ? » (wech rak ?).
La dernière expression qui se répand comme un mantra parmi les vidéos de l'application est “y'a pas wesh”. À l'origine, l'expression se limitait simplement à “y'a pas à” qui était toujours suivi d'un verbe à l'infinitif. Par exemple, un ado pourrait dire “y'a pas à donner des devoirs pendant le week-end”.
Le mot wesh est un mot d'argot des adolescents et des jeunes adultes, difficile à définir et à cerner car il a beaucoup d'emplois différents. Wesh s'emploie déjà comme terme de salutation. Il est un peu l'équivalent de « salut, ça va ? » On emploie aussi wesh comme interjection, pour exprimer l'agacement.
Locution verbale
(Argot) (Europe) Être en colère, frustré ou dégoûté.
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe wAllah (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ne sont pas ...
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ».
Kono, qu'est-ce que tu as ? ماذا لديكِ يا "كونو"؟
C'est le diminutif du mot négro, dénué, dans ce sens, de toute connotation raciste et injurieuse. Il est inspiré du terme anglais nigger ou nigga, très populaire aux Etats-Unis au sein de la communauté afro-américaine.
Signal de détresse radiotélégraphique international, faisant partie des appels, des messages et du trafic de détresse, transmis en morse sous la forme de trois lettres accolées sans intervalles notées SOS (…– – – …). 2. Familier. Demande d'aide, de secours et, en particulier, demande pressante d'argent.
exp. ما المقصود بذلك؟
ماذا تفعل هنا (جوهان) ؟ Grover, qu'est-ce que tu fais ? (غروفر)، ماذا تفعل ؟
Nom commun
(Injurieux) Pédé, tapette, pédale.
Mashallah est un mot d'origine arabe qui veut dire littéralement « Allah l'a voulu, Dieu l'a voulu, selon la volonté de Dieu ».
Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
De l'arabe وحق ربي , w'haq rabbi (« je te jure par Dieu »).
Il est plus courant d'écrire inchallah avec un s plutôt qu'un c : inshallah . On le retrouve parfois avec deux a ( inchaallah , inshaAllah ), mais plus souvent en deux mots séparés par une apostrophe : insh'Allah , inch'allah .
De l'arabe ما شاء الله , mā šāʾAllāh (« Dieu l'a voulu »), composé de ما , ma (« que »), شاء , sha (« vouloir ») et الله , Allāh (« Dieu ») → voir Mashalla et Allah.
Il est parfois vidé de son sens pour devenir une interjection assez générique. oklm: «Au calme.» Cette abréviation a été récemment popularisée par le single du même nom du rappeur Booba.
Familier. Apprécier, aimer ; prendre du plaisir à.