Et l'Éternel dit à Abram : « Pars hors de ton pays, hors de ton enfantement, hors de la maison de ton père, vers le pays que je te ferai voir pour que je fasse de toi une grande nation, et que je te bénisse et que je grandisse ton nom.
La ligature d'Isaac (hébreu עֲקֵדַת יִצְחַק, Akedát Yitzhák ou עֲקֵידָה Akedah ; arabe ذبح Dhabih), aussi connu sous le nom de sacrifice d'Isaac ou sacrifice d'Abraham, est un épisode biblique de la Genèse, dans lequel Dieu demande à Abraham de lui offrir son fils Isaac en holocauste sur le mont Moriah.
Abraham voulait être juste et recevoir les bénédictions que sont le bonheur et la paix. Grâce à la fidélité d'Abraham, le Seigneur a fait une alliance avec lui. Cette alliance a donné à Abraham le droit de recevoir la prêtrise avec les bénédictions et les responsabilités qui l'accompagnent.
Abraham est alors considéré comme le gardien de la foi et de la vérité. Personnalité/Caractère : De par l'origine de son prénom, Abraham est caractérisé par un sens exacerbé de la justice et de la vérité. À la fois rigoureux et clément, il est le symbole même du patriarcat.
Dans la tradition juive, Abraham est appelé Avraham Avinou (en hébreu : אברהם אבינו), « notre père Abraham », signifiant qu'il est à la fois le progéniteur des Juifs (y compris les convertis) et le père du judaïsme.
Ibrahîm (arabe : إبراهيم) est un personnage du Coran. Dans l'islam, il correspond au personnage d'Abraham de la Genèse. Il porte le surnom de Hanif, et est communément appelé Khalil Allah (l'ami intime de Dieu) et Sayyidina Ibrahim (notre père/maître Ibrahim).
Abram part pour devenir lui-même, c'est-à-dire autre que lui-même. Il part pour entrer en alliance avec cet Autre qui lui parle. Il part pour donner vie, pour devenir père. Le départ est l'événement – lieu d'une refondation généalogique, non à partir de la terre ou de l'ethnie, mais à partir d'un appel, d'une vocation.
Des interprétations plus psychanalytiques avancent l'idée que, si c'est Abraham lui-même qui attribue à Dieu cette exigence de sacrifice, c'est parce qu'il a un compte inconscient à régler avec son fils, ce fils qui pourrait un jour lui ravir sa place et vivre pour lui-même.
Les bénédictions qu'il recherchait étaient celles de la prêtrise détenue par les dirigeants des dispensations qui l'avaient précédé : Adam, Hénoc et Noé et leur postérité juste. Abraham a reçu la prêtrise du prophète Melchisédek (voir Traduction de Joseph Smith, Genèse 14:25, dans le Guide des Écritures ; D&A 84:14).
L'institution de la circoncision est d'origine biblique et remonte à Abraham. Ainsi, le juif est lié par une alliance inscrite en lui, dans sa chair même, bien avant qu'il puisse être conscient de lui-même.
La Terre promise (hé. הארץ המובטחת, translit.: ha'aretz hamuvtakhat) représente ce que dès la Genèse, la Torah (Bible hébraïque) désigne sous le nom de « Terre d'Israël » dans le pays de Canaan, « pays où coulent le lait et le miel », qui, selon les textes, fut promise par Dieu au patriarche hébreu Abraham (Gen.
Abram, son neveu Lot, et leur famille quittent l'Égypte et retournent au pays de Canaan. Quand un conflit éclate entre les bergers des troupeaux d'Abram et ceux de Lot, Abram agit en artisan de la paix entre eux. Abram et Lot se séparent et une armée d'envahisseurs capture la famille de Lot qui habite à Sodome.
Les textes parlent des âges extraordinaires atteints par les grands personnages bibliques. Abraham, l'ancêtre d'Israël, mourut à 175 ans. C'est moins que les patriarches d'avant le déluge, notamment un des plus célèbres, Mathusalem qui a vécu 969 ans. Plus proche de nous, Moïse atteignit les 120 ans.
Le signe de cette alliance est donné, non seulement par la naissance extraordinaire, mais aussi, et surtout, par le sacrifice de son fils unique, Isaac, que Dieu demande à Abraham. Le sacrifié est sauvé en dernier lieu en le remplaçant par un bélier céleste.
L'apôtre Paul a enseigné que la manière de donner est aussi importante que ce que l'on donne. Il a dit : « Que chacun donne comme il l'a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie » (2 Corinthiens 9:7).
Quand ils furent arrivés à l'endroit que Dieu lui avait indiqué, Abraham y éleva l'autel et dis- posa le bois, puis il lia son fils Isaac et le mit sur l'autel, par-dessus le bois. Abraham étendit la main et saisit le couteau pour immoler3 son fils.
Si donc Abraham a aussi reçu son identité de père, c'est parce qu'il a eu foi en la promesse. Cet acte est unique, il ne se renouvelle pas. Il est fondateur car il marque la radicalité absolue de l'acte divin.
Le Livre d'Abraham est un livre canonique de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours. Ce livre est inclus dans la Perle de grand prix et contient un récit qu'aurait rédigé Abraham, le personnage de la Genèse, du temps où il était en Égypte.
Ils avaient entre 5 et 14 ans et ont été tués au 15e siècle dans le cadre d'un rituel: au Pérou, les restes d'au moins 251 enfants, preuve du plus grand sacrifice humain de ce genre dans l'Histoire, seront bientôt rassemblés dans un musée.
La fonction première du sacrifice est de rendre hommage à Dieu par le biais d'un repas festif. Mais le sacrifice a aussi, accessoirement, une fonction pédagogique. Il permet, en effet, de manifester à la fois l'altérité de Dieu et sa similarité.
Palmes de la victoire : symbole du sacrifice et de la victoire. Elles sont aussi le symbole du martyre. Rameau d'olivier : symbole de paix et de Gloire Rameau de chêne : symbole universel de force, de puissance, de majesté, de longévité et de résistance.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
D'Abraham, le patriarche, à Moïse, l'homme de la Loi, la Bible retrace les étapes de la naissance de Dieu.
« Il avait une taille moyenne et n'était ni grand ni petit. Il avait un teint éclatant, ni trop blanc ni trop brun. Ses cheveux n'étaient ni crépus ni lisses. Il reçut la Révélation à l'âge de quarante ans et continua à la recevoir dix ans à La Mecque et dix ans à Médine.
Selon ces récits, Idris aurait tenté de négocier avec l'Ange de la mort pour augmenter ses jours et permettre d'augmenter ces œuvres d'adoration. Transporté au cieux, son esprit aurait été enlevé par 'Izrâ'îl pour le déposer au quatrième ciel.