Les symptômes ressemblent à ceux de la dépression classique : tristesse permanente et humeur dépressive, perte d'intérêt pour les activités du quotidien, fatigue intense dès le réveil (non résolue par le sommeil), irritabilité et autres changements d'humeur, troubles du sommeil et perte ou gain de poids.
La dépression saisonnière est une forme de dépression qui est directement liée aux changements de saison et qui se manifeste au même moment de l'année. Pour la plupart des gens qui en sont atteints, les symptômes apparaissent au début de l'automne et perdurent jusqu'au printemps.
Les symptômes sont présents principalement durant l'automne et l'hiver, surtout au cours des mois de novembre, décembre et janvier. On observe la dépression saisonnière dans des régions éloignées de l'équateur, où les périodes d'ensoleillement sont réduites durant la période hivernale.
La dépression saisonnière survient majoritairement l'hiver, mais des symptômes peuvent apparaitre dès l'automne. La diminution de la luminosité en serait la cause principale.
Les symptômes ressemblent à ceux de la dépression classique : tristesse permanente et humeur dépressive, perte d'intérêt pour les activités du quotidien, fatigue intense dès le réveil (non résolue par le sommeil), irritabilité et autres changements d'humeur, troubles du sommeil et perte ou gain de poids.
Burn-out. Le burn-out se manifeste par un épuisement physique et émotionnel. La plupart du temps, il est déclenché par un stress chronique subi sur une longue durée, par exemple au travail, en raison d'une maladie ou de problèmes familiaux. Le burn-out est considéré comme un facteur de risque pour la dépression.
> La fatigue est l'un des nombreux symptômes des épisodes dépressifs. Elle s'accompagne d'un trouble de l'élan vital et se mêle entre autres à un abattement affectif, des troubles cognitifs de la concentration et une inhibition psychomotrice. >
En mai 2020, 13,5 % des personnes âgées de 15 ans ou plus vivant en France1 déclarent des symptômes évocateurs d'un état dépressif, une proportion en hausse de 2,5 points par rapport à 2019. L'augmentation est plus marquée chez les femmes et les moins de 44 ans, et tout particulièrement chez les 15-24 ans.
La durée d'un premier épisode dépressif est variable (de quelques semaines à plusieurs mois). La plupart des épisodes dépressifs dure moins de six mois. Si l'épisode dépressif est isolé, on parle de guérison.
début brutal ou en quelques semaines ; spontané ou réactionnel à un événement ou une série d'événements ; phase d'état avec un nombre de symptômes plus ou moins importants et une intensité plus ou moins forte; cette phase dure 4 à 6 mois ; fin progressive de l'épisode : spontanément ou sous l'effet des traitements.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Lors d'un épisode dépressif, la personne atteinte de ce trouble présente une humeur morose (sentiment de tristesse, d'irritabilité, de vide) ou une perte de plaisir ou d'intérêt pour les activités, pendant la majeure partie de la journée, presque tous les jours, pendant au moins deux semaines.
Le tryptophane, acide aminé responsable en large partie de notre joie de vivre (car fabriquant la sérotonine), peut se trouver en bonne quantité dans la banane. Egalement, l'avoine, ou les céréales complètes et légumineuses en sont riches.
Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la norépinéphrine ou noradrénaline (IRSN) Telle que la venlafaxine (Effexor®), Duloxétine (Cymbalta®), Milnacipran chlorhydrate (Ixel®). Ils sont parmi les plus efficaces des antidépresseurs, car ils agissent sur deux types de neurotransmetteurs à la fois.
La dépression ne se guérit pas à force de volonté. C'est une maladie qui nécessite la mise en œuvre d'un traitement spécifique. Les stratégies thérapeutiques existantes sont efficaces dans au moins 70% des cas. Des pistes émergent pour les cas de dépression résistante.
La dépression se manifeste par un déréglement chimique à l'intérieur du cerveau. Il s'agit d'une faille de neurotransmission lors de laquelle le bon fonctionnement de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, l'ocytocine et la sérotonine est entravé.
La dépression se retrouve également chez les personnes présentant d'autres troubles physiques, variés et non spécifiques, d'ordre : digestif (diarrhée, douleurs abdominales, constipation, nausées, vomissements) ; cardiaque (palpitations, douleurs thoraciques) ; neurologique (crampes, maux de tête).
La prise d'un antidépresseur courant en dose unique peut modifier les connexions du cerveau en quelques heures seulement. C'est ce que montre le scanner cérébral de sujets ayant absorbé sous forme de pilule un inhibiteur de recapture de la sérotonine.