La Pléiade est aujourd'hui une collection à caractère encyclopédique, véritable référence dans le monde universitaire. Caractérisée par la richesse de son contenu et la rigueur de sa forme, elle est considérée comme le « fleuron des Éditions Gallimard » et la « Rolls-Royce de l'édition ».
La Pléiade, qui s'est d'abord appelée la Brigade, est un groupe de poètes français du XVIe siècle dont le but est notamment de valoriser la langue française tout en s'inspirant des mythologies et des littératures antiques (grecque et latine).
Ils imposent l'alexandrin, l'ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures et abordent les quatre principaux thèmes de la poésie élégiaque : l'amour d'une femme, la mort, la fuite du temps et la nature qui les entoure, et parfois ensemble (« Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle... »).
« Notre prix de vente est tributaire du prix de revient d'un volume », ajoute-t-il. Or, à elle seule, la reliure, fabriquée depuis 1931 par la maison Babouot à partir de moutons anglais ou néo-zélandais, représente déjà 40 % à 50 % du coût.
La Pléiade (XVIe siècle)
D'abord appelé « la Brigade », ce groupe s'est caractérisé par son refus de l'héritage littéraire médiéval et par son admiration pour la littérature antique.
Leurs principes communs furent élaborés en doctrine par Joachim du Bellay, sur un ton véhément et passionné, dans La Défense et illustration de la langue françoise, premier manifeste littéraire moderne (1549).
Les principes majeurs de la Pléiade
Le souci majeur de ce mouvement est de faire reculer l'ignorance par la diffusion de la culture antique. Pour les poètes de la Pléiade, la langue française mérite d'être défendue car elle est appauvrie par la tutelle du latin.
Tel est le programme que se donne La Pléiade, qui regroupe alors 7 membres : Joachim du Bellay, Pierre de Ronsard, Baïf, Rémy Belleau, Jodelle, Pontus de Tyard et Dorat.
L'intérêt de la Pléiade, outre le faible volume pour la quantité de pages, c'est la présentation et les notes. Et puis, il y a des textes qu'on ne trouve guère qu'en Pléiade: la Franciade de Ronsard, ou Séraphîta de Balzac: introuvables en poche (il me semble).
L'ornementation, les figures de style sont liées à l'essence même de la parole poétique. Ainsi, Du Bellay, dans la Défense et illustration, examine de façon systématique la manière de créer des néologismes qui vont permettre d'enrichir la langue.
Pierre de Ronsard : biographie du poète, auteur de Sonnets pour Hélène. BIOGRAPHIE DE PIERRE DE RONSARD - Poète français, Pierre de Ronsard est un poète majeur du XVIe siècle. Auteur de "Mignonne, allons voir si la rose...", il fut le chef de file de la Pléiade.
« Pléïade » est un nom emprunté à une constellation de sept étoiles. L'humanisme est un courant de la Renaissance (XVIe siècle) qui se caractérise par la foi en l'homme, par l'intérêt pour toutes les formes de la connaissance et par la redécouverte de la littérature antique.
La Pléiade est un groupe de 7 poètes du XVIe siècle. Ils cherchent à renouveler la poésie en s'éloignant des modèles médiévaux. Inspirés par les idées de la Renaissance, ils utilisent un français moderne et de nombreuses références à l'Antiquité.
La Pléiade la plus célèbre est celle de la Renaissance française qui réunit, sous Henri II, autour des figures majeures de Ronsard et de Du Bellay : Rémi Belleau, Étienne Jodelle, Baïf, Pontus de Tyard, et Peletier du Mans.
La Pléiade est le nom donné a posteriori à sept poètes capitaux du XVIème siècle : Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Étienne Jodelle, Rémy Belleau, Jean-Antoine de Baïf, Jacques Peletier, et Pontus de Tyard.
C'est un poème de cour destiné à divertir le public. Ronsard utilise une image banale, celle de la rose comme beauté de la femme. Mais il renverse cette banalité en personnifiant la rose. En effet, Ronsard écrit que la rose a "sa robe" et "ses beautés laissé choir".
La Pléiade est un groupe de poètes. Le nom de ce mouvement littéraire du siècle s'inspire de la constellation des Pléiades. Ces poètes cherchent à renouveler la poésie en des modèles médiévaux. Inspirés par les idées de , ils utilisent un français moderne et de nombreuses références à l'Antiquité.
Par l'utilisation de mots qui existent déjà (les vieux mots, les dialectes provinciaux, les mots techniques). L'invention de nouveaux mots dérivés du latin (révolu, floride, inversion…) ou du grec (ode, lyrique, stratagème, périphrase…)
Tout d'abord, il convient de repérer l'œuvre qui vous intéresse (en l'espèce Tropismes, situé en début de volume), puis les fameuses « notes et variantes » qui s'y rapportent – à vrai dire, le seul intérêt de La Pléiade reste, à mes yeux, son appareil critique, sans équivalent.
Les poètes de l'École lyonnaise ou de la Pléiade sont des humanistes : rejetant l'héritage (notamment poétique) du Moyen Âge, ils se tournent vers la littérature antique et mettent l'être humain et ses sentiments au cœur de leur poésie (► voir p. 46, 49 et 64).
La Pléiade est un groupe de sept poètes français du XVIe siècle rassemblés autour de Pierre de Ronsard et Joachim Du Bellay. Ce mouvement littéraire émane d'un groupe de poètes d'abord connus sous l'appellation de « Brigade »[1],.
On peut également citer les écrivains français François Rabelais (Gargantua, 1534), Clément Marot et Michel de Montaigne (Les Essais, 1580) les poètes Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay, le philosophe anglais Thomas More (L'Utopie, 1516), le penseur italien Machiavel (Le Prince, 1532).
Au 3ème siècle avant J. -C., la Pléiade désignera un groupe de sept poètes grecs d'Alexandrie. En France, vers le milieu du 16ème siècle, Pierre de Ronsard prend l'initiative de regrouper autour de lui et de Joachim du Bellay une « Brigade idéale » de poètes, afin de former une nouvelle Pléiade.
Voici les principaux courants littéraires :
Le classicisme (1650-1700) Les Lumières (1720-1770) Le romantisme (1820-1850)