La polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique est une affection rare qui se caractérise par une neuropathie sensitivo-motrice démyélinisante, segmentaire et multifocale de mécanisme probablement dys-immunitaire et répondant à un traitement immunomodulateur.
Le traitement dépend de la gravité de la PIDC, de l'âge, de l'état global du patient et des contre-indications aux traitements validés : stéroïdes, perfusion d'immunoglobulines (IgG), plasmaphérèse. Les patients avec PIDC purement motrice doivent recevoir des IgG plutôt que des stéroïdes.
La personne atteinte de polynévrite ressent des fourmillements dans les doigts des mains et des pieds, des engourdissements et, parfois, des douleurs faisant penser à celles ressenties lors d'une brûlure ou d'un broiement. Les troubles sensitifs apparaissent en effet les premiers, le plus souvent la nuit.
Traitement de la PIDC
L'immunoglobuline (solution contenant de nombreux anticorps différents prélevés chez un groupe de donneurs) peut être administrée par voie intraveineuse ou sous-cutanée. Elle peut soulager les symptômes.
Il s'agit d'une altération des os du pied causée par une perte de sensibilité aux sensations de douleur et une circulation sanguine réduite. Dans ce cas, les articulations des pieds diabétiques subissent de graves dommages, se déforment et affectent également la manière de marcher de ceux qui en souffrent.
Les symptômes comprennent ceux-ci: engourdissement, picotements ou sensation de brûlure dans les mains ou les pieds. douleur moyenne ou intense. sensations inhabituelles comme une chaleur ou une impression de brûlure quand vous touchez quelque chose de froid.
Il existe autant de traitements que de causes de la polynévrite. "S'il s'agit d'une chimiothérapie, le traitement consistera en un équilibrage des doses du traitement, indique notre expert. En cas de diabète, un contrôle étroit de la maladie limitera l'évolution de l'atteinte des nerfs périphériques.
Les symptômes de la polynévrite
L'avant du pied traîne donc à la marche (on parle de "steppage" à la marche). Le déficit musculaire peut ensuite s'étendre. D'autres symptômes accompagnent la diminution de force : hypotonie, amyotrophie (fonte musculaire), abolition des réflexes ostéotendineux achilléens puis rotuliens.
Diagnostic de la polynévrite. Une polynévrite sera suspectée en cas de déficits sensitifs diffus ou multifocaux et/ou de faiblesse musculaire sans hyperréflexie. Cependant, en cas de signes relativement diffus mais qui ont commencé de façon asymétrique, la cause peut être une mononeuropathie multiple.
Classiquement, la polyneuropathie est d'évolution lente et progressive, avec une prédominance de symptômes sensitifs (engourdissement, fourmillements des extrémités, trouble de l'équilibre ou de la coordination= ataxie). Parfois, il s'associe un tremblement d'attitude et d'action.
La neuropathie est une atteinte d'un ou de l'ensemble des nerfs du système nerveux périphérique. A l'origine de paresthésies (fourmillements, picotements...), elle peut conduire à la paralysie. Les causes sont nombreuses : diabète, éthylisme chronique ou insuffisance rénale.
Diagnostic. Le diagnostic repose sur les symptômes et les résultats de l'examen neurologique, notamment la diminution ou la perte des réflexes tendineux profonds. On peut réaliser une ponction lombaire pour confirmer le diagnostic à condition qu'elle ne retarde pas le traitement.
Troubles de l'appareil locomoteur : arthrite ou arthrose, blessure ou pathologie des membres inférieurs, déformations des pieds, troubles musculaires ou neuromusculaires. Troubles de l'équilibre, souvent causés par des maladies de l'oreille interne, ou par certaines des affections neurologiques citées plus haut.
La polynévrite est une maladie inflammatoire qui affecte l'extrémité des nerfs du système nerveux périphérique. Les causes sont multiples (diabète, alcoolisme, médicaments...) et son évolution est généralement lente. Environ 5 % de la population est touchée et sa fréquence augmente avec l'âge.
La VITAMINE B3 prévient la neuropathie périphérique induite par la chimio. C'est peut-être un espoir pour les patients qui souffrent de douleur « nerveuse » ou neuropathique en raison de leur chimiothérapie.
Les causes les plus fréquentes de polyneuropathies sont l'alcool, le diabète, les carences alimentaires, et un certain nombre de médicaments qui peuvent s'avérer neurotoxiques.
En cas d'alcoolisation chronique
L'éthanol agit sur les fibres nerveuses, au niveau de la gaine de myéline (la graisse formant la gaine des cellules nerveuses), et peut provoquer une atteinte de plusieurs nerfs, appelée polyneuropathie ou polynévrite, qui va toucher les deux membres inférieurs.
Dans les douleurs neuropathiques localisées, des traitements topiques, en général très bien tolérés, peuvent aussi être utilisés. Il s'agit soit d'un emplâtre médicamenteux d'anesthésique local (lidocaïne, VERSATIS) ou d'un patch cutané de capsaïcine, molécule du piment rouge (QUTENZA).
L'affection musculaire due à l'alcool s'appelle également «myopathie musculaire». Elle peut être soit aigüe, soit chronique. La myopathie aigüe engendre des douleurs peu après la consommation d'alcool. Alors que la myopathie chronique se développe au fur et à mesure.
La vitamine B12 (méthylcobalamine) est utilisé pour régénérer les neurones et la gaine de myéline qui protège les nerfs. Elle est bénéfique dans le traitement et la prévention des troubles neurologiques et, des neuro-pathies périphériques.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Certaines preuves indiquaient que les exercices de musculation amélioraient modérément la force musculaire des patients atteints de neuropathie périphérique.
Faiblesse des muscles des membres, très grosse fatigue, ce sont les manifestations de la myasthénie, une maladie neuromusculaire chronique qui touche 5 Français sur 100 000.