La veisalgie est provoquée par une consommation d'alcool excessive au regard du poids corporel, et se manifeste par une kyrielle de symptômes pas sympas : nausées, maux de tête, diarrhées, tremblement, faiblesse… Ces symptômes se déclarent lorsque le taux d'alcool dans le sang se rapproche de nouveau de zéro.
Allongez-vous un peu ou allez vous promener. Dans certains cas, en respirant à fond et rapidement une dizaine de fois à la suite, l'envie de vomir peut s'atténuer, voire disparaître et éviter que le vomissement ne survienne. Après avoir vomi, ménagez votre estomac ; n'absorbez rien pendant quelques heures.
La plupart du temps, l'alcool est exclusivement éliminé par notre foie, mais il ne peut éliminer cet excédent plus rapidement. On passe alors par un apport en oxygène supplémentaire, l'injection de liquide par intraveineuse, la dialyse et des médicaments afin de prévenir toutes complications.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Dormir ne diminue pas le taux d'alcool dans le sang.
Une alcoolémie de 1,5 g/l dans le sang à trois heures du matin est encore de 0,6 g/l le lendemain à 9h.
"Boire de l'eau avant de se coucher évite la déshydratation pendant votre sommeil et aide faire baisser la température corporelle, ce qui assure un endormissement serein", écrivent-ils.
Au lieu de cela, l'experte conseille de « commencer à réduire progressivement votre consommation de liquide environ trois heures avant le coucher », ce qui permettra à votre corps d'assimiler l'eau et d'aller aux toilettes avant de vous blottir sous les couvertures.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Le coca permet de faire le plein de glucide
Par ailleurs, le Coca, comme toutes les boissons, permet au corps de se réhydrater en cas de vomissements et de diarrhée. Ça ne vous rappelle rien ? La gastro, bien sûr ! Et le sucre du Coca permet au corps de refaire le plein de glucides.
Est-ce que le stress peut provoquer des nausées ? Il faut y penser si vous êtes dans une période de grande inquiétude ou d'anxiété avec des troubles du sommeil associés. Car le stress peut en effet donner des nausées accompagnées selon les cas de fatigue, de perte d'appétit ou d'insomnie.
Pour résumer, le coca n'est pas un bon soluté de réhydratation et il est préférable d'avoir recours aux sachets commercialisés en pharmacie. Il peut toutefois être utilisé en cas de gastro-entérite pour son action anti-vomitive présumée grâce à sa forte teneur en sucre et en acide phosphorique.
Autre explication: les changements chimiques à l'œuvre quand une eau est exposée longtemps à l'air. Elle va absorber de petites quantités de dioxyde de carbone, qui va se transformer en acide carbonique. Ce qui abaisse le pH de l'eau et la rend un peu plus acide.
On le répète : boire de l'eau régulièrement entre deux verres d'alcool ne fait aucunement baisser l'alcoolémie. En revanche, cela peut aider à éviter les effets désagréables de la fameuse « gueule de bois » du lendemain, confirme la diététicienne nutritionniste Ysabelle Levasseur.
Les personnes qui ont bu de l'alcool avant d'aller se coucher ronflent plus fréquemment. En effet, la consommation d'alcool provoque un relâchement de la musculature des voies respiratoires.
Limiter la déshydratation
D'une part, ils permettent de lutter contre l'effet "déshydratant" de l'alcool qui est l'une des causes de la gueule de bois. Étant diurétique, l'alcool provoque une élimination excessive d'eau via les urines : l'équivalent d'un litre d'eau pour quatre verres d'alcool, en moyenne.
Une carence en glucose entraîne des perturbations et un fonctionnement anormal du cerveau. Voilà pourquoi, dans les heures suivant la prise d'alcool, ceux qui ont trop bu ressentent de la faiblesse, de la fatigue, des vertiges, de l'anxiété, de l'accablement, des difficultés de concentration, des troubles visuels, etc.
C'est une situation d'urgence. Couchez votre ami sur le côté en position latérale de sécurité et appelez les secours pour demander de l'aide (18 ou 112). Enfin, si vous savez que votre ami a trop bu et même s'il dit qu'il peut assurer quand même, découragez-le de prendre le volant ou même son vélo.
Rester avec la personne ivre au besoin toute la nuit
Le fait de réveiller la personne ivre à intervalles réguliers peut être suffisant dans certains cas après quelques heures de surveillance. Mais parfois, lorsque la personne est extrêmement ivre, il est vivement recommandé de rester avec elle, au besoin toute la nuit.