Quand les professionnels de santé évoquent l'autonomie de la personne âgée, ils font référence à sa capacité à vivre correctement sans l'assistance d'une tierce personne. Cette notion englobe aussi bien les capacités physiques (exemples : capacités à se lever seule, à marcher, à se laver, etc.)
La personne autonome est celle qui décide et agit seule, sans recours à une aide ; la personne dépendante est celle qui, suite à une maladie ou un accident, n'est plus capable de réaliser les diverses activités de la vie quotidienne (activités physiques, sociales…) sans recourir à une aide.
Une activité physique pour conserver l'autonomie
Pour une personne en situation de perte d'autonomie physique, il est conseillé d'opter pour une activité sportive douce comme la marche, la natation, la danse, le golf ou encore le jardinage.
Deux notions légèrement différentes...
L'autonomie revêt une dimension psychique et intellectuelle. La personne autonome est apte à décider et à choisir librement. La dépendance, quant à elle, s'apparente à l'impossibilité pour une personne de réaliser des activités - physiques, psychiques, sociales…
La responsabilité d'une personne âgée dépendante
Selon la loi, une personne âgée qui devient dépendante est à la charge de sa famille et donc de ses enfants. La dépendance d'une personne âgée vient s'ajouter aux responsabilités familiales et professionnelles.
L'autonomie permet à un enfant de se débrouiller au quotidien, de devenir de plus en plus indépendant et de pouvoir prendre ses propres décisions. Le besoin d'autonomie évolue pendant toute l'enfance et l'adolescence. Devenir autonome, c'est acquérir peu à peu une forme de contrôle sur soi-même et sur sa vie.
Le droit de disposition tel qu'il est contenu implicitement dans la loi dur les droits du patient, laisse au malade la possibilité de disposer de lui-même. Ce droit de disposition relève de ce qu'on appelle aujourd'hui « le principe d'autonomie ».
En France, le principal outil pour évaluer le degré d'autonomie de la personne âgée est la grille AGGIR. Grâce à l'analyse de 10 grandes variables, elle permet de déterminer le GIR (Groupe Iso-Ressources) des personnes âgées.
La gymnastique douce, la marche ou encore la natation sont autant d'activités physiques qui permettent de conserver son capital musculaire, de prévenir les chutes et de retarder la perte d'autonomie. La stimulation cognitive : la perte de mémoire et la confusion mentale apparaissent peu à peu avec l'âge.
Synonyme : indépendance, liberté, souveraineté. Contraire : asservissement, dépendance, hétéronomie, soumission.
Devenir autonome
L'autonomie, c'est la capacité de réaliser des choses par soi-même, de se débrouiller seul. Chaque personne manifeste très tôt son désir d'autonomie : le bébé attrape son doudou, il rampe, essaie d'attraper un objet, finit par faire ses premiers pas ...
De leur point de vue, le terme « autonomie » renvoie à la capacité de l'individu de faire des choix dans sa vie. L'autonomie sociale en revanche, correspond aux différents domaines de la vie quotidienne : logement, santé, sociabilité, etc.
En philosophie morale, l'autonomie (du grec αὐτονομία, autonomia) est la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite, sa propre loi.
L'allocation personnalisée d'autonomie (APA) peut bénéficier à l'ensemble des personnes âgées dépendantes nécessitant un soutien. Elle est soumise à des conditions d'âge, de résidence et de perte d'autonomie. Elle concerne autant les personnes résidant à domicile que celles hébergées dans un établissement.
En médecine, le terme d'autonomie désigne deux notions. La première a trait aux droits des patients, et à la liberté de choix dont le patient jouit, telle qu'elle est exprimée notamment dans la charte du patient hospitalisé. La seconde notion est la capacité, pour un individu, d'assurer les actes de la vie quotidienne.
Entre 6 à 7 ans, l'enfant sera capable de faire son lit seul et sans aide, de se brosser les dents et les cheveux seul et sans aide, de choisir ses vêtements, de s'habiller et de ranger ses vêtements, de répondre au téléphone. Vers l'âge de 8 à 9 ans, votre enfant peut régler son réveil et se réveiller seul.
Justifiez-les. Vous définissez les relations entre autonomisation et prise de responsabilité Vous êtes autonome pour déterminer ce qu'il faut penser, ce qu'il y a à faire, quand il faut le faire, où il faut le faire, comment il faut le faire, avec qui le faire, combien de fois il faut le faire...
Conformément à cette loi sur l'obligation alimentaire, enfants, petits-enfants, adoptés, gendres et belles-filles ont la responsabilité d'épauler les parents. De ce fait, ils ont l'obligation de payer la maison de retraite si leurs parents âgés ne peuvent pas le faire.
Qui est concerné ? Les descendants : Enfant, petit-enfant, arrière petit-enfant sont concernés par l'obligation alimentaire à l'égard de leurs père, mère ou de leurs ascendants : Personne dont on est issu : parent, grand-parent, arrière-grand-parent,... dans le besoin.
Dans le cas où les revenus de la personne âgée hébergée en maison de retraite ne seraient pas suffisants pour payer le loyer demandé par la maison de retraite,il est possible de demander l'aide sociale. Il est important de savoir que le montant l'aide sociale accordé pourra récupérée sur la succession au décès.